Une Convention interministérielle au BO promeut l’égalité filles-garçons dans le système éducatif, dans les documentations d’orientation. En jeu, le chômage ou la précarité plus fréquents du côté des femmes ainsi que leur sous-représentation aux poste de direction: « elles sont plus souvent que les hommes confrontées au chômage, aux emplois précaires, au temps partiel contraint, et souvent moins bien rémunérées. En outre, l’emploi des femmes se caractérise par une concentration dans le secteur tertiaire, ainsi que par une large sous-représentation aux postes de direction. »
Pour remédier à cette situation, la convention conçoit un plan d’une durée de 5 ans:
éviter les stéréotypes liés à au sexe dans les brochures d’aide à l’orientation, inciter les éditeurs scolaires à augmenter la présence des femmes dans les manuels scolaires, féminiser les noms des métiers et des grades, promouvoir les filières scentifiques auprès des filles, prévention des comportements et violences sexistes, former les enseignants à cette notion.