« Des précaires gérés par d’autres précaires : bel exemple d’égalité des chances et d’école républicaine ! « Depuis la rentrée 2006, selon leur collectif, les précaires de l’éducation nationale se sentent lâchés. Ils dénoncent les licenciements massifs en conséquence de la réduction du budget de l’éducation nationale, les contrats de vacation qui remplacent les CDD (200 heures par an soit 3 mois) : l’éducation nationale préfère employer trois précaires par an sur un poste qu’assurer un minimum de continuité pédagogique. Dans l’administration les contrats ne sont plus que de 10 mois.
Des conditions qui seraient difficilement acceptables dans une entreprise privée et qui fleurissent au sein de l’éducation nationale. Les précaires entendent ne pas être oubliés et multiplient leurs interventions.
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