L’artisanat : fiches métiers
Ce site Internet, dédié à l’artisanat en France, propose plus de 250 fiches métiers.
http://www.artisanat.info/
Le visa vacances-travail, une clé pour les 18-30 ans en quête d’ailleurs
Faire un voyage itinérant financé par des petits boulots ou se fixer quelques mois pour un job dans une ville du Japon, de Nouvelle-zélande, du Canada ou d’australie : la possibilité est proposée aux jeunes – depuis 1999 dans les deux premiers pays et 2003 dans les deux autres- grâce aux visas vacances-travail. Depuis sept ans, la France a en effet conclu des accords bilatéraux avec ces quatre pays, qui offrent notamment des débouchés dans la restauration, le tourisme et les emplois saisonniers. Ces programmes s’adressent aux candidats âgés de 18 ans au minimum jusqu’à 30 ans ou 35 ans selon les cas, et sont soumis à plusieurs conditions, comme l’achat d’un billet d’avion, la souscription d’une assurance et la détention d’une certaine somme d’argent permettant d’assurer l’existence au cours des trois premiers mois.
http://www.talents.fr/web/article/0,1-0@2-3504,36-831079@51-821368,0.html
Quand la gestion prévisionnelle remplace le plan social
Les entreprises qui tergiversent sur la mise en place d’une gestion prévisionnelle de l’emploi et des compétences (GPEC) seront sans doute échaudées par deux récentes décisions de justice. Le 5 octobre, le tribunal de grande instance (TGI) de Paris, saisi par trois syndicats, a suspendu le plan de restructuration de Nextiraone (ex-filiale d’alcatel) jusqu’à ce que la consultation sur la GPEC soit menée à bien. Le juge a estimé que la société n’avait pas respecté une disposition du code du travail, introduite par la loi de cohésion sociale de janvier 2005, qui contraint les groupes de plus de 300 salariés à négocier avec les syndicats des accords de GPEC. Cette jurisprudence met les entreprises au pied du mur, estime Patricia Talimi, avocate au cabinet PDBG. Celles qui sont soumises à des variations d’activité ne peuvent risquer de voir ainsi un plan social différé.
http://www.talents.fr/web/article/0,1-0@2-3504,36-828864@51-767262,0.html
La transaction ou l’art de réussir une séparation
Plutôt que de laisser pourrir une situation, je préfère négocier un départ avec un collaborateur », affirme Philippe Trehan, président de la société Swipe, spécialisée dans la vente directe de produits cosmétiques. Il n’est pas le seul. Les départs transactionnels ne sont plus l’apanage des grands groupes. Les PME aussi y ont recours. La pratique n’est pas non plus réservée aux cadres, même s’ils en sont encore les principaux bénéficiaires. « Les entreprises sont de plus en plus disposées à se séparer de leurs cadres à travers des accords transactionnels », constate Cécile Penot-Dietrich, avocate en droit social (cabinet Ozenne Bongrand Penot).
Qu’est-ce qu’un accord transactionnel ? Un contrat par lequel un salarié et son employeur mettent fin à leur conflit par le biais d’une transaction financière.
Ce n’est pas par philanthropie que les entreprises ouvrent ainsi leur carnet de chèques et versent des indemnités plus généreuses que le minimum conventionnel, mais pour éviter un procès. Quand le licenciement repose sur des motifs en béton, le problème ne se pose pas. Les transactions concernent des séparations dont les motifs, bien que réels, risquent d’être difficiles à prouver ou à défendre lors d’un procès. Incompatibilité d’humeur, mauvais esprit ou insuffisance de motivation : un manager peut souhaiter se séparer de quelqu’un sans qu’il soit possible d’évoquer une faute ou même un motif réel et sérieux. Parfois, c’est le salarié lui-même qui sent que les choses tournent mal et qui laisse entendre qu’il accepterait un départ moyennant une compensation financière. La transaction est alors pour les deux partenaires le moyen de tourner la page rapidement et sans se déchirer. De même, dans le cas d’une procédure de licenciement mal engagée, soit à cause de vices de forme, soit parce que les motifs invoqués ne vont manifestement pas tenir devant les prud’hommes, il peut être intéressant d’envisager une transaction. On pourra ainsi minorer la sanction prud’homale et le salarié touchera son chèque sans attendre le procès. Quel que soit le contexte, l’entreprise qui a décidé de transiger doit respecter un certain nombre de règles, tant juridiques que psychologiques, si elle veut réussir cet acte de management plutôt délicat.
http://www.lentreprise.com/dossier/1.667.html
Bilan de personnalité
Faire un test de personnalité gratuitement en ligne. C’est ce que propose le site Super-secrétaire. Après avoir répondu à quelques questions, votre bilan-analyse de personnalité vous sera expédié par mél, dans les 48h.
http://www.super-secretaire.com/fr/se_former/mareussite.cfm
XML et Docbook, une initiation
Ces pages ont pour origine un cours destiné aux étudiants de 2ème année du Master Pro Métiers de la rédaction de l’université Lille III Charles de Gaulle, à Villeneuve d’ascq, depuis l’année universitaire 2005-2006. Le but principal de cet enseignement est de sensibiliser des étudiants (destinés à devenir des rédacteurs de documents, techniques ou pas) à la nécessité et l’utilité de la séparation données-traitement (c’est-à-dire texte-présentation, ou encore sens-apparence) dans la création d’un texte, surtout quand celui-ci est destiné à être manipulé par plusieurs personnes aux fonctions complémentaires.
http://www.grappa.univ-lille3.fr/polys/xml-DG/xml.pdf (38 pages – 494 Ko)
Brainstorming : remue-méninges avec croissants
Finis les séminaires ! Jacques Chaize, PDG de Danfoss Socla, propose à ses salariés une méthode bien plus efficace pour l’échange des bonnes pratiques et la remontée des idées. Tout le monde phosphore au World Café.
http://www.lentreprise.com/dossier/3.775.html
Savoir expliquer
Comment s’adapter à son interlocuteur ? Etre sûr qu’il ne perde pas le fil ? Quelle méthode choisir parmi la dizaine disponible ? Les conseils d’un expert pour triompher de cet exercice délicat.
http://management.journaldunet.com/0611/0611160-savoir-expliquer.shtml
Comment bien préparer un recrutement ?
Avant même de passer une annonce d’offre d’emploi ou de contacter un cabinet de chasseurs de têtes, et avant de rencontrer les candidats à l’embauche, vous devez évaluer les besoins de votre entreprise. Faites le point sur l’entreprise, votre marché, vos salariés, vos moyens ainsi que sur les perspectives de développement. Réfléchissez aussi à la nature du poste à pourvoir. Si votre entreprise compte plusieurs décideurs, soyez bien sûr que tout le monde est d’accord sur le profil que vous recherchez.
http://www.lentreprise.com/dossier/1.778.html
Communication de crise
Le dernier numéro du magazine Communication de crise. Au programme :
– L’éthique introuvable de la communication de crise (Thierry Libaert)
La gestion de crise entretient une relation ambiguë avec l’éthique. Par son objet même, elle est souvent assimilée à la préservation d’intérêt privé de nature économique ou financière, au détriment d’une opinion publique qu’il faudrait rassurer. A fortiori, les exemples du sang contaminé, de la vache folle, de l’amiante, de Tchernobyl, fonctionnent comme des illustrations où il s’agit moins de mauvaise gestion de crise que de défaillances morales. (…)
– L’exercice périlleux de l’anticipation (Benoît Mathieu)
Entrer dans une démarche d’anticipation pour une entreprise n’est pas sans risque. Dans un environnement social, politique et économique en constante évolution et de plus en plus complexe, cela conduit généralement à une remise en cause des modèles d’analyse sur lesquels l’entreprise a fondé son développement. Ce n’est jamais très facile de se remettre en cause. Mais c’est une nécessité pour qui veut survivre et croître. En tout cas, la démarche d’anticipation illustre une volonté de ne pas subir. Alors lançons-nous ! Que disent les oracles ? Que nous réserve l’avenir ? Avant de partir vers cette conquête de l’avenir, il faut d’abord répondre à deux interrogations essentielles : quelles est la question et de quel avenir parle-t-on ? En effet, l’approche et les moyens ne seront pas les mêmes s’il s’agit de déterminer la réaction d’un concurrent au lendemain du lancement d’un nouveau produit ou bien de savoir ce qui mobilisera l’opinion publique dans 5 ans. (…)
– Les politiques de management de crise (Thierry Libaert, notes de lecture)
The politics of crisis management
Rédigé par quatre experts du management des crises, cet ouvrage traite plus spécifiquement de la gestion de crises publiques. Comment les autorités publiques réagissent-elles et devraient réagir face aux crises ? Les auteurs définissent la crise comme « une menace sérieuse envers les structures de base ou les valeurs fondamentales et les normes d‘un système, qui, sous la pression de l’urgence et des circonstances incertaines nécessitent de prendre des décisions à caractère vital ». (…)
-Risque d’opinion : quelques perspectives pour le conseil (Thierry Portal)
L’évolution de la communication d’entreprise a permis, depuis quelques années, l’émergence de la thématique du risque d’opinion. A quel type de consulting ce nouvel entrant correspond-il ? Que peut-on attendre d’un conseil en la matière ? Quel avenir peut-on prédire à cette spécialité ?
– Il n’y a plus de pensée stratégique (Georges Peillon Neyrac)
Juin 1999 : les fantassins britanniques entrent dans Pristina, Kosovo. Ce sont les premiers éléments de la force multinationale commandée par l’OTAN qui doit mettre un terme à cette curieuse guerre de libération du peuple kosovar albanais contre l’occupant serbe. Des frappes aériennes contre Belgrade ont largement précédé les opérations terrestres. L’afflux de centaines de milliers de réfugiés kosovar albanais à la frontière avec la Macédoine a ému les opinons occidentales. Bernard Kouchner est nommé représentant spécial de l’ONU. (…)
– Le client-partenaire : la communication de crise possède un nouvel outil (Sébastien Jardin)
Nihib novi sub sole de dire que nous vivons aujourd’hui dans un environnement crisogène. Cette crisogénéïté croit de jour en jour. N’entendons-nous pas parler tous les jours de risques économiques, de risques sanitaires ou de risques météorologiques ? Il nous suffit d’allumer la télévision à 20h pour avoir la réponse à cette question. Rien de nouveau donc de dire que le monde dans lequel nous nous débattons est empli de peurs qui sont autant de facteurs de crises. Et quand on se concentre sur la question de la pérennisation de l’activité de nos entreprises, on ne peut que comprendre les craintes que nos managers ont sur l’avenir. (…)
– Réputation et OPA, les leçons d’arcelor (Jean-Yves Léger et Thierry Libaert)
Les dirigeants d’entreprises, et notamment de celles qui sont cotées, prennent aujourd’hui davantage en considération l’intérêt de la réputation de leur entreprise dans l’ensemble de leur communication financière. Le parcours a été un peu long et la communication souvent perçue sous le seul angle instrumental. Mais aujourd’hui, une étape est franchie grâce aux progrès des indicateurs : la réputation se mesure, elle a un prix, et celui-ci est souvent considérable. Au point même que le capital réputationnelle peut être supérieur à l’ensemble des actifs tangibles de l’entreprise. (…)
– Wei Ji, retour aux sources (Stéphane Saint Pol)
Dans son récent article « L’esprit Wei Ji », Didier Heiderich (magazine de la communication de crise et sensible N°11) rappelle un des principes de communication à adopter face à la crise : ne pas voir dans la crise simplement le danger qu’elle représente, mais tenter de saisir l’opportunité que peut représenter la crise, à l’instar de toute situation de changement. Cette piste de réflexion avait été avancée dès 1995 par Jean-Marc Lehu (« Pepsi Cola : l’été de tous les dangers », Décision Marketing N°4) (…)
– Une catastrophe, ça rapporte combien ? (Didier Heiderich)
« Payer pour être sauvé : la nouvelle réponse aux catastrophes » est un article signé Naomi Klein en août 2006. Selon l’auteur de « No logo », la Croix Rouge américaine a annoncé au printemps dernier un partenariat avec Wal Mart en réponse aux catastrophes : lorsque le prochain ouragan frappera les États Unis, la réponse sera une coproduction signée » Big Aid » et » Big Box. » (…)
http://www.communication-sensible.com/download/cccnl0012.pdf?PHPSESSID=e55f9d5d97b5c8a714906dff1c6985e0 (42 pages – 2,2 Mo)