« Tenir compte des questions des élèves, de leurs préoccupations, de leurs centres d’intérêt constitue un levier puissant pour que les élèves s’engagent dans l’apprentissage et par le fait même, cette voie par excellence les amène à construire leur apprentissage. De plus, s’intéresser à leurs questions et à leurs préoccupations suscite le renouvellement du questionnement, fait émerger de nouveaux champs d’intérêt et élargit ainsi les domaines de curiosité des élèves. C’est ce que permet une situation d’apprentissage ouverte ». Ces quelques lignes sont extraites du livre de Jean Archambault et Chantale Richter, « Une école pour apprendre », publié au Québec par les éditions Chenelière Education.
L’ouvrage vient de paraître mais il a éveillé l’intérêt de Mario Asselin sur son blog… et la fièvre s’est transmise jusqu’ici. Destiné aux professeurs des écoles québécois, l’ouvrage invite les enseignants à réfléchir à leurs pratiques, à échanger, à partager des valeurs. » Une école pour apprendre est une école dans laquelle on partage une conception de ce qu’est apprendre et où l’on déploie, en toute cohérence, une pratique pédagogique réfléchie, attentive à la démarche de l’élève qui apprend ». Le Café ne manquera pas d’en reparler.