« Pour les personnels enseignants des premier et second degrés et les personnels d’éducation : une journée, le cas échéant fractionnée en deux demi-journées, est consacrée hors temps scolaire à la concertation sur le projet d’école ou d’établissement… et, dans les établissements publics locaux d’enseignement, à la concertation sur le projet de contrat d’objectif… ainsi qu’à la définition d’un programme d’action en faveur de l’orientation et de l’insertion professionnelle des jeunes ». Un arrêté publié au Journal Officiel du 17 novembre redéfinit la Journée de solidarité à l’Ecole. Les élèves seront en vacances et les enseignants réunis dans les établissements. La date sera fixée dans le premier degré par l’IEN, par le chef d’établissement dans le second degré.
Les personnels non enseignants effectueront 7 heures de travail « aux dates déterminées par l’autorité responsable de l’organisation du service ».
On se rappelle le fiasco de la Journée de solidarité l’an dernier. On ne sait toujours pas quelle est la rentabilité de cette présence enseignante un jour supplémentaire dans des clases vides…
Au J.O.