Selon une enquête du département de sociologie de la Duke University, citée par Edweek, les Etats-Unis connaissent une parfaite parité dans le bonheur. Les sociologues américains ont compulsé 28 indicateurs et suivi leur évolution pour les filles et les garçons depuis 1985. Conclusion : tout va bien, les deux sexes évolueraient parallèlement vers le bien-être. Le rapport renvoie aujourd’hui un curieux écho après la fusillade de Red Lake. Mais il était déjà très controversé. Les féministes soulignent que les filles sont toujours désavantagées dans le système éducatif. D’autres sociologues rappellent que les enfants des classes supérieures ne vivent pas les mêmes expériences que les garçons noirs des classes moyennes. Judith S. Kleinfeld, une psychologue de l’université d’Alaska, contredit le rapport sur un autre point : « tout va plus mal pour les garçons. Nous risquons d’avoir une génération de garçons sans avenir. Les filles progressent et visent l’enseignement supérieur. Elles laissent derrière dans leur boue les garçons ». C’est qu’aux Etats-Unis comme ailleurs,les garçons lisent moins.
Article d’Edweek
Etude (en pdf)
Pour lire les pdf
Nos derniers articles
Retrouvez sur cette page les 10 ressources pédagogiques relayées cette semaine dans le Café pédagogique. LCA : Les mythes grecs, des mensonges pleins de vérités Le Grand livre des mythes
« Le territoire est dévasté » dit Abal-Kassim Cheik Ahamed, président de l’université de Dembéni. Comme lui, le directeur d’une école Guillaume Dupré Wekesa témoigne de la situation catastrophique de
« Des cris de singe en cours », « des remarques sur la peau noire », « le racisme monte doucement, les élèves en parlent depuis ce qui s’est passé
Après un premier trimestre bien rempli, le temps de vacances qui arrive est d’abord un temps partagé avec les proches et « en présence ». Alors que l’école sera mise entre parenthèses,
Apprendre des scolarités abimées, voilà le défi que proposent de relever les auteurices de cette publication des éditions Quart Monde, coordonnée par Régis Félix, ancien professeur et principal de collège,
« Il y a d’un côté les parents qui interviennent trop et mal dans l’école et de l’autre ceux qui ne prennent même pas la peine de venir au collège lors