Dossier spécial
A. Qu’est ce que le Cadre Européen Commun de Référence ?
Le Cadre commun offre une base commune pour l’élaboration de programmes de langues vivantes, de référentiels, d’examens, de manuels…en Europe.
Il décrit aussi ce que les apprenants d’une langue doivent apprendre afin de l’utiliser dans le but de communiquer ; il énumère également les connaissances et les habiletés qu’ils doivent acquérir afin d’avoir un comportement langagier efficace.
Cela englobe aussi le contexte culturel qui soutient la langue.
Description du Cadre Européen.
C’est un document papier publié par les Editions Didier (Voir bibliographie ci-dessous) de 192 pages comprenant 9 chapitres
B. Le Cadre Commun dans son contexte politique et éducatif .
Le Chapitre 1 définit les buts, les objectifs et les fonctions du Cadre de référence à la lumière de la politique générale en langues du Conseil de l’Europe et, en particulier, de la promotion du plurilinguisme en réponse à la diversité linguistique et culturelle de l’Europe. Ce chapitre expose ensuite les critères auxquels le Cadre de référence doit satisfaire.
II. Approche retenue.
Le Chapitre 2 développe l’approche retenue. Il se fonde sur une analyse de l’usage de la langue en termes de stratégies utilisées par les apprenants pour mettre en oeuvre les compétences générales et communicatives afin de mener à bien les activités et les opérations que supposent la production et la réception de textes qui traitent de thèmes donnés, ce qui leur rend possible l’accomplissement des tâches auxquelles ils se trouvent confrontés avec les conditions et les contraintes de situations qui surviennent dans les domaines variés de la vie sociale. Les termes soulignés indiquent les paramètres de description de l’utilisation de la langue et de la capacité de l’utilisateur/apprenant à l’utiliser.
III. Les Niveaux Communs de référence.
Le Chapitre 3 introduit les niveaux communs de référence. Le progrès dans l’apprentissage des langues au regard des paramètres du schéma descriptif peut être étalonné selon une série mobile de seuils fonctionnels définis par les descripteurs appropriés. Cet appareil doit être assez riche pour tenir compte de toute la gamme des besoins de l’apprenant et, en conséquence, des objectifs fixés par différents partenaires ou exigés des candidats pour une qualification en langue.
IV. L’utilisation de la langue et l’apprenant/utilisateur
Le Chapitre 4 expose dans le détail (mais de manière ni exhaustive ni définitive) les catégories (étalonnées si possible) nécessaires à la description de l’utilisation de la langue par l’apprenant/utilisateur en fonction des paramètres identifiés et qui couvrent tour à tour : les domaines et les situations qui constituent le contexte de l’utilisation de la langue ; les tâches, buts et thèmes de la communication ; les activités, les stratégies et les opérations de communication et les textes, en particulier en relation avec les activités et les supports.
V. Les compétences de l’apprenant/utilisateur.
Le Chapitre 5 entre dans le détail des compétences générales et communicatives de l’utilisateur/apprenant étalonnées dans la mesure du possible.
VI. Les opérations d’enseignement et d’apprentissage des langues
Le Chapitre 6 envisage les opérations d’apprentissage et d’enseignement des langues et traite de la relation entre acquisition et apprentissage, de la nature et du développement d’une compétence plurilingue ainsi que des options méthodologiques de type général ou plus particulier en relation aux catégories exposées dans les Chapitres 3 et 4.
VII. Les tâches et leur rôle dans l’enseignement et dans l’apprentissage des langues.
Le Chapitre 7 présente plus en détail le rôle des tâches dans l’apprentissage et l’enseignement de la langue.
VIII. Diversification linguistique et curriculum.
Le Chapitre 8 s’intéresse aux implications de la diversification linguistique dans la conception du curriculum et traite de points tels que : plurilinguisme et pluriculturalisme ; objectifs d’apprentissage différenciés ; principe de conception d’un curriculum ; scénarios curriculaires ; apprentissage continu des langues ; compétences modulaires et partielles.
IX. Evaluation.
Le Chapitre 9 présente les diverses finalités de l’évaluation et les types d’évaluation qui y correspondent à la lumière de la nécessité de réconcilier les critères concurrents d’exhaustivité, de précision et de possibilité opératoire.
La Bibliographie générale propose un choix d’ouvrages et d’articles que les utilisateurs du Cadre de référence consulteront pour approfondir les questions soulevées. La bibliographie renvoie aux publications du Conseil de l’Europe pertinentes ainsi qu’à des ouvrages publiés ailleurs.
L’Annexe A commente l’élaboration des descripteurs de compétence langagière. On y explique les méthodes et les critères d’étalonnage ainsi que les exigences pour la formulation des descripteurs des paramètres et catégories présentés ailleurs.
L’Annexe B donne une vue d’ensemble du projet qui a permis, en Suisse, de formuler et d’étalonner les exemples de descripteurs. Les échelles de démonstration du texte sont inventoriées avec leur numéro de page.
L’Annexe C contient les descripteurs pour l’auto-évaluation d’une série de niveaux adoptés par le Projet DIALANG de la Commission européenne pour Internet.
B. Les Niveaux Communs de Référence
Il y a six niveaux :
– Le niveau introductif ou de découverte (A1)
– Le niveau intermédiaire ou de survie (A2)
– Le niveau seuil (B1)
– Le niveau avancé ou utilisateur indépendant (B2)
– Le niveau autonome ou de compétence opérationnelle effective (C1)
– La maîtrise (C2)
Pour résumer :
A1 : l’apprenant peut comprendre et utiliser des expressions familières et quotidiennes ainsi que des énoncés très simples qui visent à satisfaire des besoins concrets. Il peut se présenter ou présenter quelqu’un et poser à une personne des questions la concernant (où elle habite, ses relation, ce qui lui appartient…) et il peut répondre au même type de questions. Il peut communiquer de façon simple si l’interlocuteur parle lentement et distinctement et se montre coopératif.
A2 : l’apprenant peut comprendre des phrases isolées fréquemment utilisées en relation avec des domaines immédiats de priorité (informations personnelles et familiales simples, achats, environnement proche, travail). Il peut communiquer lors de tâches simples et habituelles ne démandant qu’un échange d’informations simple et direct sur des sujets familiers et habituels. Il peut décrire avecdes moyens simples sa formation, son environnement immédiat et évoquer des sujets qui correspondent à des besoins immédiats.
B1 : L’apprenant peut comprendre les points essentiels quand un langage clair et standard est utilisé et s’il s’agit de choses familières dans le travail, à l’école, dans les loisirs…Il peut se débrouiller dans la plupart des situations recontrées en voyage dans une région où la langue cible est parlée. Il peut produire un discours simple et cohérent sur des sujets familiers et dans ses domaines d’intérêt.
Il peut raconter un événement, une expérience ou un rêve, décrire un espoir ou un but et exposer brièvement des raisons ou explications pour un projet ou une idée.
B2 : Il peut comprendre le contenu essentiel de sujets concrets ou abstraits dans un texte complexe, y compris une discussion technique dans sa spécialité. Il peut communiquer avec un dégré de spontanéité et d’aisance tel qu’une conversation avec un locuteur natif ne comportant de tension ni pour l’un, ni pour l’autre. Il peut s’exprimer de façon claire et détaillée sur une grande gamme de sujets, émettre un avis sur un sujet d’actualité et exposer les avantages et les inconvénients de différentes possibilités.
C1 : L’apprenant peut comprendre une grande gamme de textes longs et exigeants, ainsi que saisir des significations implicites. Il peut s’exprimer spontanément et couramment sans trop apparemment devoir chercher ses mots. Il peut utiliser la langue de façon efficace et souple dans sa vie sociale, professionnelle ou académique. Il peut s’exprimer sur des sujets complexes de façon claire et bien structurée et manifester son contrôle des outils d’organisation, d’articulation et de cohésion du discours.
C2 : L’apprenant peut comprendre sans effort pratiquement tout ce qu’il/elle lit ou entend. Il peut restituer faits et arguments des diverses sources écrites et orales en les résumant de façon cohérente. Il peut s’exprimer spontanément, très couramment et de façon précise et peut rendre distinctes de fines nuances de sens en rapport avec des sujets complexes.
Le Cadre Commun de Référence développe et définit pour chaque niveau les différentes compétences
(CE/CO ; EE/EO) avec des exemples…
D. Le Portfolio
Ils sont, en réalité, au nombre de 3 : « Mon premier portfolio » pour les élèves du Primaire, le « Portfolio Collège »et le « Portfolio pour jeunes et adultes »(voir bibliographie)
Ce sont des livrets personnels d’auto-évaluation qui devrait suivre un apprenant « tout au long de sa vie » et utilisable pour une ou plusieurs langues (même en Primaire où dans la partie Dossier, on trouve « Mes contatcs avec d’autreS langueS et cultureS »).
I. En Primaire, le Portfolio « suit » l’élève pendant ses 3 années d’apprentissage de la langue vivante, avec cachet de l’école…
C’est un document qui, déplié, est de la taille d’environ 1 A3 et demi.
Il se compose de deux parties :
1. Le recto: autour des 4 compétences, ce que l’élève peut faire.
Il est simple d’utilisation : pas de termes comme compréhension orale, expression écrite…il est formé d’une grande croix qui représente les 4 compétences et l’élève doit cocher ce qu’il est capable de faire.
Exemples :
– Quand j’écris, je peux…et suit toute une liste : je peux former toutes les lettres sans modèle, recopier des phrases courtes / écrire sur une fiche mon nom, ma date de naissance, ma nationalité, mon adresse…/je peux écrire une liste de choses à acheter, à rassembler, à faire…etc
– Quand j’écoute, je peux…comprendre des consignes simples / je peux comprendre des questions sur l’endroit où j’habite, sur ce que je fais, sur les gens que je connais…/ je peux comprendre le sujet d’une histoire courte ou d’un dialogue…/ je peux comprendre la descritpion de quelqu’un, d’une situation, d’un lieu…/ je peux comprendre quelqu’un quand il parle d ce qu’il aime ou de ce qu’il n’aime pas./ je peux comprendre un dialogue simple, une histoire courte.
2. Le verso : plus personnel.
Il comprend le cursus de l’élève et le Dossier « mes contatcs avec d’autres langues et d’autres cultures » qui se décline en 4 sous-parties :
a. Ma famille et mes amis : où l’élève notera s’il a des parents, des amis d’origine étrangères ; des plats étrangers qu’il mange à la maison ; les films, les dessins animés, les BD, les livres d’autres pays qu’il connaît ; des histoires, chansons, comptines ; et s’il possède des objets venant d’autres pays.
b. Mes goûts :
S’il aime voir des films, des vidéos, des danses d’autres payx ; s’il collectionne des objets d’autres pays ; s’il aime des sports, al cuisne, des jeux venant d’autres pays.
c. Je parle, je comprends, je connais :
d’autres langues (à l’oral ou à l’écrit seulement ou les 2) ; s’il peut reconnaître d’autres écritures ; citer des personnes célèbres d’autres pays ; s’il peut situer sur une carte et dire les langues parlées ; s’il connait le drapeau, monnaie, fêtes d’autres pays.
d. Mes échanges, mes voyages.
II. Le Portfolio Européen des Langues pour jeunes et adultes.
C’est une publication CRDP de Basse-Normandie et des Editions Didier (voir bibliographie)
C’est encore un document personnel que l’apprenant va garder tout au long de sa vie et qu’il complétera au fur et à mesure.
Il peut servir pour s’auto-évaluer dans les différentes langues que l’on apprendra (prévu pour 6 langues) du niveau A1 au niveau C2.
Le portfolio comprend 36 pages :
Une première partie : les compétences en langues et une partie biographie langagière.
Les compétences
Ecouter, lire, prendre part à une conversation, s’exprimer oralement en continu, écrire.
NB : C’est possesseur lui-même qui coche ce qu’il peut faire.
Pour chaque compétence, les pages sont découpées en différents niveaux (A1 à C2) et pour chaque niveau des cases à cocher quand l’apprenant estime qu’il peut faire telle ou telle chose.
Exemple : Rubrique « Ecouter »
A1 : Le titre : Je peux comprendre des mots familiers et des expression très courantes
3 sous-parties à cocher :
1. Je comprends quand on me salue, quand on me demande comment je vais ou quand on me dit aurevoir.
2. je reconnais des consignes claires et simples
3. Je comprends des expressions familières et simples de la vie quotidienne (acceptation, refus, remerciements, etc.)
La biographie langagière.
La personne note elle-même son parcours pour une langue donnée : nombre d’années, horaires habdomadaires, cours particulier…; ses expériences socio-culturelles (stages, actions réalisées à l’étranger ou en relation avec le pays…)
Ensuite une partie sur les activités réalisées : lectures de livres ou de journaux, films vus en VO, échanges avec locuteurs, exposés réalisés dans la langue, participation à des expositions ou publications, partcipation à des clubs de langue…
E. Bibliographie
Publications de référence
– Cadre européen de référence pour les langues. Ouvrage collectif
Pour le Conseil de l’Europe. Editions Didier.
Paris, 2001 ; ISBN 227805075-3
– Mon premier portfolio des langues
Division des langues vivantes, Direction générale IV, Conseil de l’Europe, Strasbourg
Editions Didier, 2001
Référence : 4721767 Code ISBN :2278050435
– Mon premier portfolio, livret d’utilisation à destination des maîtres du premier degré
de Francis Debyser et Christina Tagliante.
Editions Didier, 2001
– Portfolio européen des langues pour le collège
Editions Didier.
– Portfolio européen des langues pour jeunes et adultes
Division des langues vivantes, Direction générale IV, Conseil de l’Europe, Strasbourg
CRDP de Basse-Normandie et Editions Didier, 2001
Référence CRDP : 140B3760 ; ISBN : 2866184467
– Il quadro comune europeo a disposizione della classe. Un percorso verso l’eccellenza
de Marco Mezzadri, chez Guerra Edizioni.
2004, 208 pages. ISBN : 88-7715-709-7
– Quadro comune europeo di riferimento per le lingue: apprendimento, insegnamento, valutazione”,
validata dal Consiglio d’Europa, è pubblicata, su licenza dello stesso Consiglio d’Europa,
in esclusiva per l’Italia da RCS Scuola S.p.A., La Nuova Italia – Oxford University Press.
– Vedovelli Mario , Guida all’italiano per stranieri, La prospettiva del Quadro comune europeo per le lingue, Roma, Carocci Editore, 2004, ISBN. 88-430-2274-1
– Vedovelli M., L’italiano degli stranieri, Roma, Carocci editore, 2003, ISBN 88-430-2310-1
– Vedovelli, M. (a cura di), Manuale della certificazione italiano L2, Roma Carocci editore, 2005, ISBN 88-430-3167-8
Mariani L., Portfolio – Strumenti modulari per documentare, orientare e valutare i percorsi di apprendimento, Bologna, Zanichelli, 2000.
Textes de référence complémentaires
– Le cadre commun texte complet (190 pages)
http://culture2.coe.int/portfolio//documents/cadrecommun.pdf
Texte intégral avec hyperliens (196 pages)
http://culture2.coe.int/portfolio//documents/Cadre de reference avec hyperliens.pdf
– Le portfolio européen des langues (site du Conseil de l’Europe)
http://culture2.coe.int/portfolio/inc.asp?L=F&M=$t/208-1-0-1/main_pages/welcomef.html
– le portfolio : guide à l’attention des enseignants (112 pages)
Ce Guide vise à
* servir de base à des cours centrés sur la fonction pédagogique d’un Portfolio européen des langues
* servir de manuel aux enseignants isolés qui utilisent le PEL dans leurs salles de classe
Le Guide
– présente le PEL, en montrant des exemples et en avançant des données qui se rapportent aux projets pilotes (Chapitre 1)
– étudie l’introduction du PEL dans un cours de langue (Chapitre 2) et l’utilisation des niveaux communs de référence du Conseil de l’Europe en vue de la planification et du suivi de l’apprentissage et de l’enseignement (Chapitre 3)
– traite de la contribution que le PEL peut apporter à l’autonomie de l’apprenant (Chapitre 4) et de la capacité de l’apprenant à s’auto-évaluer
– analyse brièvement d’autres défis posés par le PEL (Chapitre 6)
Chaque chapitre contient
– des points de réflexion pour chaque enseignant et/ou pour des discussions en groupes
– des activités pour la salle de classe pertinentes pour les aspects du PEL en question
Des exemples d’échelles de descripteurs du Cadre européen commun de référence et des listes de descripteurs pour l’auto-évaluation du modèle suisse d’un PEL se trouvent dans les deux annexes. Ces descripteurs font du Guide un instrument très utile pour la planification, le suivi et l’évaluation de l’enseignement/apprentissage.
http://culture2.coe.int/portfolio//documents/ELPguide_teacherstrainersf.pdf
– La grille de compétences globales : l’échelle (de A1 à C2)
http://www.agercel.com/eyl/grille.htm
– Le portfolio (format pdf)
http://www.agercel.com/eyl/pass.pdf
– Développer la dimension interculturelle dans l’enseignement des langues,
Une introduction pratique à l’usage des enseignants.
http://www.coe.int/T/F/Cooperation_culturelle/education/Langues/Politiques_linguistiques/
– Sur le site de l’académie de Versailles
http://www.ac-versailles.fr/pedagogi/langues/interlangues/portfolio.htm
– Liste de diffusion autour du PEL de l’Académie d’Orléans-Tours
http://www.ac-orleans-tours.fr/anglais-liens/SiteContacts/Porfolio/portfolio.htm
pour s’inscrire : http://weblistes.ac-orleans-tours.fr/wws/info/interlangues
– DIALANG
http://www.dialang.org/
C’est un petit programme (gratuit créé par l’Europe) que l’on télécharge et qui permet de s’évaluer et voir à quel niveau on se trouve (sauf pour l’expression orale bien sûr). Possibilité de s’évaluer dans plusieurs langues dont l’italien.
– le test commence obligatoirement par un exercice avec une série de verbes (une centaine?) il faut dire s’ils existent ou non.
– ensuite, on choisit parmi une série d’items ce que « je sais faire » (ou pas).
Le programme vous case alors dans la grille de référence (de A1 à C2). Puis on peut choisir de s’évaluer pour la CO (extraits que l’on entend : émission de radio, dialogues….) pour chaque extrait des questions (QCM, textes à trous, vrai-faux ; 30 en tout)…on peut voir la correction au fur et à mesure ; à la fin, on peut revoir toutes les erreurs faites.
Il y a aussi des exercices de grammaire, des exercices de CE (les textes peuvent être assez longs)…à chaque fois le programme vous explique dans quel niveau de la grille vous vous situez.
A la fin, bilan, conseils.
Mais dans les exercices, on peut passer d’une phrase où il faut mettre un subjonctif imparfait à une autre où il faut « mettre l’article indéfini devant un substantif » !
NB : pour que le programme fonctionne, il faut être connecté. Si Dialang ne fonctionne pas, c’est qu’il faut télécharger un petit programme supplémentaire (gratuit aussi) que l’on trouvera sur la page téléchargement de Dialang.
F. Certifications en italien
– Le DCL. Diplôme de Compétence en Langue
http://jlblille.free.fr/examens/dcl.htm
– Le CLIP. Test de connaissance de la langue italienne à usage professionnel
http://www.ac-reims.fr/datice/italien/certificazioni italiano.htm#clip
http://jlblille.free.fr/textes_off/clip.htm
– Le CILS (de l’Université de Sienne): Certificazione dell’italiano come lingua straniera.
http://www.ac-reims.fr/datice/italien/certificazioni italiano.htm#cils
Niveau 1
µ http://jlblille.free.fr/langue/cilsniveau1.htm
Niveau 2
http://jlblille.free.fr/langue/cilsniveau2.htm
Niveau 3
http://jlblille.free.fr/langue/cilsniveau3.htm
Niveau 4
http://jlblille.free.fr/langue/cilsniveau4.htm
– Le CELI ( de l’Université de Pérouse): Certificazione della conoscenza della lingua italiana
Annales 2003 et 2004 pour les niveaux (format pdf)
http://www.ac-reims.fr/datice/italien/certificazioni italiano.htm#celi
Niveau 1
http://jlblille.free.fr/langue/celiniveau1.htm
Niveau 2
http://jlblille.free.fr/langue/celiniveau2.htm
Niveau 3
http://jlblille.free.fr/langue/celiniveau3.htm
Niveau 4
http://jlblille.free.fr/langue/celiniveau4.htm
Niveau 5
http://jlblille.free.fr/langue/celiniveau5.htm
Bibliographie :
« la verifica delle competenze linguistiche .Misurare e valutare nella certificazione CELI. Linee guida alla certificazione dell’università per stranieri di Perugia »
Giuliano Grego Bolli-Maria Grazia Spiti
Guerra Edizioni
ISBN : 88-7715-366-0
– Le PLIDA (Progetto Lingua italiana Dante Alighieri)
http://jlblille.free.fr/textes_off/PLIDA.htm