Un mois
après, Libération revient sur les violences qui ont opposé de jeunes juifs
et de jeunes Maghrébins dans le XIIIème arrondissement de Paris. Les
témoignages recueillis par la journaliste au lycée Lurçat, l’établissement
des agresseurs, nient le caractère antisémite de l’incident : « sale
juif, sale noir, sale Arabe. On dit ça tout le temps entre nous ». Ils
évoquent le racisme ambiant dont sont victimes les élèves d’origine
maghrébine. Alors, tous racistes ? Un enseignant signale la montée du
communautarisme. Une autre indique que dans nombre de lycées « il est
devenu impossible de faire des cours sur la Shoah ou l’affaire Dreyfus ».
L’article se conclut par le témoignage d’un parent d’élève de l’école juive
où sont scolarisées les victimes : « depuis la deuxième Intifada, notre
communauté vit une sorte de psychose ». Le mot convient-il devant
l’affirmation de l’antisémitisme ? N’est-il pas temps pour l’école de se
mobiliser pour enseigner la tolérance ?
Article de Libération
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