La ville
24 janvier : en plein hiver, les petites rues d’Angoulême qui rappellent aux parisiens le quartier latin se transforment et prennent des allures de fête.
C’est dans une bande dessinée vivante que nous évoluons : les noms des rues sont des bulles de BD, des personnages sont dessinés sur les murs sur les affiches, et les « bulles », ces tentes aménagées pour accueillir les stands d’éditeurs dans lesquels les auteurs dédicacent leurs ouvrages, envahissent la ville, amenant avec elle des milliers de pélerins venus se recueillir, s’informer, se faire connaître, sur le lieu culte de la bande dessinée.
A angoulême, la BD est un mode de vie, et l’on rencontre aussi bien, au fil des rues, un mur décoré représentant Jack Palmer menant l’enquête, que la statue de Marguerite d’Angoulême (alias Marguerite de Navarre) dans le parc de l’hôtel de ville, qui abrite lui-même une « bulle ».
Cette année le festival de la BD n’a pas déçu les organisateurs ; il attire toujours plus de monde et fait la une de tous les journaux locaux pendant plusieurs jours, avec l’événement clé le samedi à 13h lorsque le grand prix est décerné à celui qui, l’année suivante, sera chargé de dessiner l’affiche pour le prochain festival et en présidera la 30e édition.
L’ambiance
Dans les bulles et dans les rues, les fans sont au rendez-vous ; animations, concerts, séances de dédicace…
Rencontres avec des auteurs
Dans les bulles, les auteurs dédicacent leur livres. Ci-dessous, Pétillon présente L’enquête Corse, les dernières mésaventures du détective Jack Palmer.
Itinéraires pour les élèves
Les organisateurs du festival n’ont pas oublié les scolaires et un accueil spécifique est prévu pour les classes.
Renseignements :
– Le site de la Mairie d’Angoulême
http://www.mairie-angouleme.fr/
– Le site de l’office du tourisme (en construction)
http://www.mairie-angouleme.fr/otsi.html
– Le site officiel du festival
http://www.bdangouleme.com/