Les 40 ressources pédagogiques de la semaine (du 19 au 26 novembre 2021) 

Pédagogie

Harcèlement : Le sociologue et le politique

"Le climat scolaire, c'est d'abord une affaire d'adultes". Au moment même où la commission de l'éducation de l'Assemblée nationale examinait la proposition de loi sur le harcèlement scolaire, Benjamin Moignard (Université de Cergy) en démontrait, sans le savoir, le peu d'intérêt. D'un coté , le député (Modem) Balanant crée un nouveau délit inscrit au Code pénal pour résoudre la question. De l'autre, Benjamin Moignard démontre que le harcèlement à l'école dépend prioritairement des relations entre les adultes et de leur capacité à travailler ensemble. Suivez le guide.

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CICUR : Pour une nouvelle donne des savoirs scolaires

"Il y a depuis 40 ans une indifférence aux savoirs qui s'est installée dans l'école française". Spécialiste en comparaison internationale en éducation, Roger François Gauthier est un de responsables du CICUR (Collectif d’interpellation du curriculum) qui tenait le 20 novembre son premier colloque. Il revient sur les ambitions du CICUR : rien moins que redessiner les savoirs enseignés au collège et au lycée pour réconcilier les jeunes avec l'Ecole et le monde.

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Alain Bouvier : Aucun pays ne rêve de revenir à l'école d'avant la crise sanitaire

Il y a des livres qui n'épargnent personne. Pas les syndicats. Pas les professeurs. Même pas le Café pédagogique ! Mais qu'on peut lire pour tester des idées, sortir des routines, renforcer ses convictions. Ancien recteur, professeur à l'université de Sherbrooke (Québec), Alain Bouvier, en franc tireur, essaie, dans une chronique qui s'étire tout au long de la pandémie (Sur l'école à la française, L'Harmattan), de montrer comment la crise sanitaire change l'école. Il le fait en réglant des comptes contre les "statuquologues" et "l'autruchisme" et en promouvant "l'hybriditude". Pour lui la crise a changé durablement la façon d'enseigner avec l'enseignement hybride mais aussi en faisant évoluer les relations entre enseignants et familles. Il dessine la vision libérale d'une école hybride et décentralisée. Et il s'en explique dans cet entretien.

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Les AESH : Une forêt fragile, un arbre malade : l’inclusion scolaire

Elles étaient entre 3 et 4000 AVS en septembre 2003 ; elles seraient autour de 120 000 AESH en octobre 2021. Elles, parce qu’elles sont à plus de 95% des femmes et dans leur grande majorité, payées sous le seuil de pauvreté. Et c’est à elles qu’incomberait en grande partie, la réussite des parcours scolaires des élèves reconnus en situation de handicap et bénéficiant de ce type d’accompagnement ? Si on continue comme cela, l’inclusion scolaire, au cœur de la loi de l’été 2013, va droit dans le mur.

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Jean Houssaye : Pédagogie et utopie

" En  éducation  aujourd'hui,  nous  sommes  en  panne  d'espoir  et  nous  avons  tendance  à désespérer du politique en la matière. Le risque est grand d’adopter des discours spécialisés, aseptisés et désengagés, fortement basés sur des critères de rationalité qui ne tiennent pas compte des projets sociaux de l’éducation" Dans la Revista Teias, Jean Houssaye veut réveiller l'utopie pédagogique. Se réclamant de P Freire, il appelle à une autre perspective. "L’éducation doit être envisagée en tant que projet de libération et la pédagogie doit conduire à l’accomplissement des valeurs civiques et démocratiques". Pour lui, " l’éducation a toujours été traversée par une force de proposition et une force de soupçon, par l’affirmation d’une volonté et  par  la  dénonciation  de  la  critique.  Pendant  longtemps,  la  volonté l’a emporté sur la critique. C’était le bon temps, celui où pédagogie et politique se disaient directement et conjointement. Ce monde s’est effacé parce que la critique est devenue première, quitte à se faire volonté. Il ne peut plus y avoir vraiment “projet” politique en pédagogie, mais seulement intention politique en pédagogie, ouverture politique en pédagogie, expérience politique en pédagogie.  La politique est plus que jamais nécessaire en pédagogie.  On sait que la pédagogie est éducation au politique, on sait qu’elle doit l’être, on sait qu’elle ne peut l’être vraiment que dans une société démocratique, mais on sait qu’elle ne peut vouloir une politique : elle est dessein politique, mais non dessin politique, même si elle a la politique comme destin. Mais, à ceci une condition : que la pédagogie reste liée à l'utopie, faute de quoi elle n'est plus qu'un service de la politique".

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Colloque AFAE : Elèves au singulier, élèves au pluriel

Les élèves seront au centre du prochain colloque de l'AFAE à Besançon du 18 au 20 mars. " Prendre toute la mesure de la place de l’élève, des élèves, au sein et en dehors du système éducatif invite à considérer autrement ceux-ci, en proposant une lecture qui réhabilite les publics scolaires tels qu’ils sont et non tels que l’institution scolaire les définit eu égard à des normes, dont celle de la réussite académique. La crise sanitaire a offert l’occasion permettant de prendre toute la mesure de la diversité des publics et de leur expérience qui est faite d’épreuves, parfois de difficultés mais aussi de diverses formes de dépendance. Les vulnérabilités et le mal-être des élèves sont apparus au grand jour lors du confinement, bien qu’ils lui préexistaient.... Le défi est ambitieux car s’il peut apparaître comme une modalité particulière permettant de comprendre, du point de vue des premiers concernés que sont les élèves, le fonctionnement et les difficultés de l’institution scolaire, il soulève de nombreuses questions à commencer par les conséquences pratiques d’une telle ambition : quelles place et légitimité accorder à l’expérience des élèves, qui sont plus que des élèves, pour en faire un allié, un appui au service de leur réussite, de leur parcours ? Que faire de l’éducation informelle qui façonne largement le rapport à l’école et aux apprentissages ? Jusqu’à quel point l’institution scolaire serait prête à « déplacer les lignes » pour accorder aux élèves une réelle place, au sein de la classe, de l’établissement, à l’interface de l’école et de la vie ?" Découvrez les axes du colloque.

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Comment définir l'éducation prioritaire ?

"Définir l’éducation prioritaire et préciser ses limites n’est pas un exercice aisé", écrit l'OZP qui continue la publication de sa série sur "les ZEP laboratoire de l'éducation nationale". Comment l'éducation nationale définit-il l'éducation prioritaire ?  "Cette page de présentation du MEN, dans sa version actuelle, décrit l’essentiel du dispositif, surtout lorsqu’elle en reprend "les 6 principes" et les 6 axes du référentiel, en mettant en valeur le travail en équipe, le dialogue avec les parents, le rôle des formateurs REP+... On comprend moins bien qu’elle ignore les coordonnateurs, qui sont depuis longtemps l’une des chevilles ouvrières du dispositif, et qu’elle ne fasse référence qu’en filigrane à la liaison entre les degrés à l’intérieur des réseaux. Le dédoublement y occupe une part très (trop ?) importante, et donne l’impression qu’il résume à lui tout seul le dispositif. Des mesures sociales sont développées, qui relèvent davantage de la lutte interministérielle contre la pauvreté que de l’éducation prioritaire, comme s’il s’agissait de compenser ce déséquilibre. Enfin, la liaison avec la politique de la Ville, un fondamental mais qui est resté le plus souvent plus théorique que réel, est passée sous silence, y compris sous la forme des cités éducatives", relève l'OZP.

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Lutter contre les inégalités

"Lutter contre les inégalités, ou... supprimer les pratiques qui les produisent ?" E Charmeux pose la question sur son blog. Pour elle l'égalité de traitement dans l'école ne fait que reproduire les inégalités. "Nul besoin de réfléchir longuement pour comprendre que si l'école propose, de manière égale, à chacun de ces enfants, un programme extérieur élaboré par un ministre, du fond de son bureau, selon des démarches semblables pour tous, la réception par chacun d'eux ne pourra être qu'inégale... La seule voie à suivre : la mise en commun de toutes ces richesses, c'est-à-dire, le mélange !!   La véritable erreur, gravissime, celle qui "bancalise" le travail en classe, si intelligent et pétri de bonne volonté qu'il soit, c'est le travail individuel, qui les mettant chacun sur la même ligne de départ, qu'ils soient entraînés ou non, ne peut produire que des inégalités à l'arrivée, avec, en prime, — il s'agit d'êtres humains — la conscience des causes de leurs échecs, porte ouverte à la révolte. C'est donc lui qu'il faut faire disparaître en premier, lui, et tout ce qui s'attache à cette individualisation de l'apprentissage".

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Le ministère étudie la réforme de la forme scolaire

Ce sont 250 millions qui sont proposés dans un appel à manifestation d'intérêt du PIA4 pour "l'innovation dans la forme scolaire". " Cet appel à manifestation d’intérêt propose de financer des expérimentations de nouveaux dispositifs de formes scolaires pour identifier les plus prometteurs et créer un réseau national d’acteurs engagés dans une démarche d'expérimentation, de recherche et de partage.". Le document appelle des projets d'au moins 2 millions chacun. Il s'agit de " décloisonner les enseignements disciplinaires, centrer l’enseignement sur les processus d’apprentissage2, sur l’acquisition de connaissances et de compétences durables et transposables3, favoriser les compétences dites du XXIe siècle4, réinvestir tout apprentissage d’un sens immédiatement compréhensible par les élèves, adapter l’enseignement aux caractéristiques et aux besoins particuliers des élèves, renforcer la coéducation avec les parents d’élèves, réaffirmer la place de l’oral dans le processus d’apprentissage et dans sa valorisation". Dans les changements envisagés il y a la modification du temps scolaire et des espaces , le développement de la coopération entre enseignants etc. Des idées à creuser. Mais des projets d'au moins 2 millions, soutenus par un dossier aux normes des PIA, on se doute que ce ne sont pas des projets qui viennent du terrain. Mais plutôt qui risquent d'utiliser le terrain...

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Comment influencer les pratiques pédagogiques des professeurs ?

Le dernier colloque du Cnesco l'a montré : rien de plus dur que de légitimer aux yeux des enseignants une réforme. Alors comment les influencer ? Roland Goigoux, Juliette Renaud, et Isabelle Roux-Baron réfléchissent à cette question dans une publication des Presses universitaires de Louvain. Ils écartent l'idée qu'il suffirait de diffuser des expérimentations "efficaces" ou de transmettre des connaissances. Ilsne croient pas plus en la vertu de "l'accompagnement". Ils invitent à concevoir des outils avec les enseignants en passant par la co-conception d'un outil à la fois didactique et ergonomique. "En France comme ailleurs, ceux qui pilotent les systèmes éducatifs se trompent s’ils croient : qu’il suffit de communiquer les connaissances scientifiques aux enseignants pour qu’ils modifient leurs pratiques en conséquence ; qu’on peut imposer aux enseignants (et espérer qu’ils appliquent fidèlement) des dispositifs qui ont fait la preuve d’une certaine efficacité dans des situations expérimentales ; qu’une innovation ne peut être correctement diffusée et utilisée que si elle est soutenue par une formation ad hoc ou un accompagnement individuel. Les solutions que nous préconisons reposent sur d’autres types de collaborations entre décideurs, chercheurs, formateurs et enseignants. Elles supposent : d’accorder confiance et considération au travail des enseignants, de prendre appui sur leurs savoirs d’expérience ;  de miser sur la conception et la diffusion d’outils ou scénarios didactiques innovants pour influencer les pratiques des enseignants et leur permettre d’acquérir de nouvelles connaissances sur les apprentissages ;  de considérer l’activité de conception d’outils comme une activité scientifique à part entière associant étroitement chercheurs et enseignants dès le début du processus jusqu’aux phases d’essaimage".

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Bruno Devauchelle : A quoi servent les "grands messes" du numérique ?

L'observation des usages pédagogiques du numérique montre que les enseignants utilisent bien plus ces moyens pour eux-mêmes (préparation des enseignements, utilisation de la projection écran en classe) que pour et surtout par leurs élèves (activités d'apprentissages instrumentées, manipulations individuelles de moyens numériques). Outre la question des moyens matériels (nombre d'appareils, qualité des connexions, problème d'infrastructures et d'accès etc.), ils évoquent souvent la question de la formation et des ressources, sans oublier, mais c'est plus rarement évoqué, les contraintes propres aux exigences de l'enseignement et des programmes (une partie de la forme scolaire). Pour dynamiser ces pratiques, il y a bien longtemps que les décideurs tentent de trouver des solutions : colloques, journées de valorisation, salons et autres grandes manifestations, que ce soit à l'échelle locale ou à l'échelle nationale. On peut s'interroger sur l'efficacité de ces initiatives, en regard d'une part de ce que cela provoque au quotidien dans les salles de classe, et d'autre part en regard des participants à ces journées par rapport aux non-participants.

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Eveline Charmeux : Pour que la démocratie entre à l'école

La bande des 6 a frappé. Eveline Charmeux, Alain Miossec, David Sire, Jean-Louis Briand, Laurent Carle et Simon, un IEN retraité mais anonyme, publient un ouvrage qui propose un autre modèle d'école. Une école pas seulement républicaine mais démocratique.  Le livre explique pourquoi et comment c'est possible et comment cette évolution de l'école est un préalable à la construction d'une société solidaire. Mais avant cela, les 6 se livrent à un démontage en règle des réformes de JM Blanquer dans le premier degré. Entretien avec Eveline Charmeux.

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Bruno Devauchelle : Eduquer au réel et au virtuel

Alors que les médias se sont emparés du terme "meta" et qu'une des entreprises mondiales se renomme en Meta et lance le nom de "metaverse", il est nécessaire de repréciser la question du lien entre le réel et le virtuel. Chacun de nous prolonge désormais sa vie physique par une vie dite numérique. Mes amis, ma famille, mes informations, mes jeux, etc. chaque jour, en ligne j'utilise des services qui continuent ma vie en présence, ma vie physique. Les enfants, dès leur plus jeune âge, vivent cette expérience et en font l'ordinaire de leur quotidien. Parfois partagés entre le réel de l'école, de la famille et les moyens numériques auxquels ils accèdent ils tentent ainsi de construire leur représentation du monde. Désormais nous vivons dans une continuité entre présence, distance et virtuel. Pokémon, Fortnite et autres Second Life sont des témoins récents de cela. Eduquer aujourd'hui nécessite donc d'intégrer ces trois dimensions, auxquelles il faut ajouter le monde des "fausses nouvelles" (deep fake, fake news, etc.) qui vient percuter les trois autres et le brouiller

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Dédoublements : L'analyse de l'OZP

Poursuivant sa série d'articles sur "les ZEP laboratoire du système éducatif", l'Observatoire des zones prioritaires en vient à la politique de dédoublements. "Le dédoublement des classes dans le premier degré de l’éducation prioritaire est présenté dans le discours officiel comme la mesure emblématique du quinquennat dans le domaine de l’éducation prioritaire mais aussi dans le domaine social", écrit l'OZP. "Pour l’instant son efficacité, eu égard à son coût élevé, n’apparait pas de façon probante. Et après ? Il n’est pas certain, pour des raisons budgétaires, que les effectifs par classe soient réduits "à tous les niveaux de l’enseignement prioritaire", comme le suggère l’éditorial du Monde du 17.11.21. Il est encore moins probable qu’il soit généralisé à l’ensemble du premier degré, même si certaines propositions électorales vont dans ce sens. Il est possible par contre, comme le propose le SNUipp, qu’un élargissement s’opère par le biais d’un développement de la co-intervention - ou même d’un retour plus ou moins avoué à la formule du "plus de maîtres" - beaucoup moins onéreuse et pédagogiquement plus porteuse."

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Le passage de la 3ème à la 2de en Rep+

"Traverser le gué" : un rapport de recherche coordonné par A Richard Bossez et R Cornand (du LAMES Aix Marseille Université) étudie le passage de 3ème à la seconde dans les Rep+ de l'académie. Pour eux c'est "un moment clé dans la différenciation des parcours scolaires des élèves". Ils montrent de fortes inégalités en lien avec l'origine sociale et le territoire. Ainsi dans l'académie d'Aix Marseille les élèves de Rep+ ont deux fois plus de chances d'aller en 2de professionnelle que les élèves hors éducation prioritaire (43 contre 21%).Le taux de réussite au DNB est lié à l'origine sociale : taux moyen de 87% contre 73% pour les enfants d'inactifs. Dans le processus d'orientation en fin de 3ème, le rapport montre des effets de territoire : notamment des biais de notation amenant à des écarts d eniveau important avec les lycées plus mixtes socialement. Il relève des effets scolaires : par exemple moins d'autonomie au travail pour les élèves venant de Rep+. Les choix des familles jouent aussi : elles se sentent moins légitimes à lapoursuite d'études longues et sont moins ambitieuses. Le rapport note des effets de genre : les filles vont davantage en lycée général que les garçons. Enfin il relève des effets ethniques : "Si l’on prend comme indicateur le parcours scolaire des élèves, structuré par l’orientation après la troisième, puis après la seconde et l’obtention du baccalauréat, il n’y a pas de différence significative entre les enfants de la population « native » et ceux issus de l’immigration, toutes choses égales par ailleurs. La seule différence globale repérable statistiquement est à l’avantage des filles issues de l’immigration (comparées aux filles « natives ») : elles reçoivent un léger coup de pouce au moment de l’orientation troisième seconde et conservent cet avantage au niveau du baccalauréat. Ce résultat cache cependant des disparités selon l’origine migratoire, mais aussi selon le rang dans la fratrie".

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J'ai rendez vous avec les parents

Comment aborder la réunion de parents ? Rédiger par deux enseignantes, Marjorie Camus-Charron et Virginie Coëdelo, ce guide promet de "préparer sans stress" la réunion de parents. Il indique ce qu'il faut faire, ce qu'il faut éviter de faire, comment faire passer des messages aux parents et quand en référer au chef d'établissement ou au directeur. Le guide s'adresse plus particulièrement aux professeurs des écoles. Mais il y des idées à reprendre pour le second degré.

Marjorie Camus-Charron et Virginie Coëdelo, J'ai rendez-vous avec les parents, De Boeck Supérieur, ISBN 978-2-8073-2984-6, 14.90e

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Apprenons le risque aux élèves

"Notre académie est impactée chaque année par de nombreuses catastrophes relevant du risque sanitaire, du risque incendie, du risque canicule, du risque sécheresse, du risque sismique, du risque érosion ou du risque inondation. Dans un contexte de mobilisation et de lutte contre le réchauffement climatique, il est important que nos élèves soient préparés à la menace que les aléas climatiques et/ou environnementaux font peser tout à la fois sur les écosystèmes locaux et sur les habitants de notre région". L'académie de Nice lance un concours "Apprenons le risque" qui veut sensibiliser les élèves et les rendre des citoyens actifs face aux risques. Le concours s'adresse aux collégiens et lycéens de l'académie. Une bonne idée ?

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Le rapport du HCFEA sur l'adolescence souligne les apports positifs des collèges

Basé sur deux études réalisées auprès des jeunes adolescents des années collège, le rapport du Haut Conseil de la Famille, l'enfance et de l'âge (HCFEA) souligne les apports positifs du collège. Il étudie principalement 5 catégories de jeunes. "Les  collégiens  en  situation de handicap, ceux qui vivent dans une famille défavorisée, ceux dont le collège est en réseau d’éducation prioritaire, ceux scolarisés en zone rurale, enfin les élèves en retard scolaire. Des points saillants de mal-être parmi ces enfants apparaissent. Bien que dénoncée depuis  de  nombreuses  années,  la  persistance  de  taux  plus  importants  de  harcèlement  à  l’encontre des collégiens en situation de handicap persiste. Les enfants de familles socialement défavorisées cumulent, plus que d’autres, plusieurs vulnérabilités : leur perception de leur santé et de leur bien-être est moins bonne, ils sont plus souvent touchés par le surpoids, voire l’obésité, et leur activité physique et sportive est insuffisante. On notera cependant que c’est chez ces adolescents que la qualité des relations – relations amicales et amoureuses mais aussi relation à leurs enseignants au collège – est préservée. Ce constat induit qu’il y a, au sein du collège, un véritable levier d’action au profit de ces élèves. Ce qui est confirmé par un autre résultat de l’enquête : les élèves de collège d’éducation prioritaire ressentent un meilleur  bien-être mental et un plus fort sentiment de soutien de la part des enseignants. Ce qui peut témoigner d’un effet positif des dispositifs déjà mis place. À l’inverse, les collégiens en retard scolaire ont une perception globale dégradée de leur vie et de leurs perspectives,  et  sont  plus  souvent  en  surpoids.  Enfin  les  élèves  des  collèges  ruraux  se différencient  des  autres  par  un  niveau  d’expérimentation  et  de  consommation  d’alcool  qui  nécessitent une vigilance, avant que ne s’installent au lycée des comportements à risque". Le rapport souhait "une offre spécifique de médecine de l'adolescence" et souligne les carences de la médecine scolaire. Il recommande de "retarder l'heure du début des cours le matin" pour augmenter le temps de sommeil des élèves.

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L'HEBDO PREMIER DEGRE

Daniel Gostain : « Ma vie du dedans »

L’école est le haut lieu de transmission des savoirs. Mais c'est surtout un lieu où l’on apprend à penser. Pourtant, comme l’explique Daniel Gostain, professeur des écoles spécialisé en aide relationnelle (option G), dans les textes sur l’école, on lit très rarement ce verbe, penser. « Penser l’école, penser à l’école C’est un combat vital, un combat politique, un combat humain ».  Daniel Gostain essaie de donner des billes aux élèves pour apprendre à penser, à analyser, à verbaliser, à mettre les mots sur ce qu’ils vivent et ce qu’ils ressentent. « Depuis des années, je milite pour que des espaces de pensées soient inscrits dans les emplois du temps des classes, car on ne peut pas véritablement apprendre, surtout pour les enfants qui n'ont pas la chance de bénéficier de ces espaces à la maison, sans penser ce qu'on apprend et ce qui s'y joue ». « Ma vie du dedans » est un des dispositifs proposés par D. Gostain pour permettre de penser ses ressentis.

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La Classe Plaisir : Naissance d'un pont

Je coordonne et anime un dispositif CLAS (Contrat Local d'Accompagnement à la Scolarité) sur Argenteuil, et nous travaillons avec des principes et techniques de pédagogie coopérative. Le "Quoi de Neuf ?" y est central. Je voulais vous partager mon expérience d'hier. 

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Narramus pour élèves allophones

Le Casnav de Nancy-Metz propose des traductions audio et écrites des albums Narramus "afin de faciliter l’utilisation de ces outils dans des classes accueillant des élèves allophones, ou pour un travail individualisé visant le transfert de la langue première de l’élève vers le français langue seconde". Par exemple on dispose de "Le machin" en traduction audio et écrite en 12 langues. On a aussi la traduction audio des mots de l'histoire(12 langues) et la tarduction écrite des mots (12 langues aussi).

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Maths et activités physiques

Comment lier les 30 minutes d’activité physique quotidienne à des fins de pauses actives ou de classes apprenantes et les mathématiques ? Des propositions du groupe maths premier degré de la Vienne.

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L'HEBDO LETTRES

Lettres d’amour interclasses

Peace and love au collège ? Et si, à rebours de la violence du cyberharcèlement, l’Ecole  invitait à écrire des lettres d’amour, entre élèves, entre classes, entre établissements ? Fruit d’une collaboration entre Grégory Devin, Violaine Gouzien et Lionel Vighier, cet étonnant projet de correspondances amoureuses relie des 4èmes du collège Pablo Picasso à Montesson et du collège Marcel Grillard à Bricquebec-en-Cotentin. Le jeu de rôles et d’écriture conduit à incarner un personnage imaginaire, à rédiger en son nom une lettre d’amour, à l’adresser à un autre élève, qui répondra à son tour, par une lettre de rupture. Le travail, savoureux, montre l’intérêt de mener une écriture plus authentique dans le cadre scolaire. Et d’abattre les murs de la classe pour favoriser interactions entre élèves et coopération entre enseignant.es. Eclairages à 3 voix …

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Organiser son propre Goncourt des Lycéens

A Casablanca, Marrakech et Rabat, 9 classes de 2nde se sont lancées dans la lecture partagée de 5 romans contemporains. Un blog permet de mutualiser et valoriser les travaux des élèves, des articles critiques, des comptes rendus de rencontres et d’échanges avec les écrivain.es. Au lycée Descartes à Rabat, la classe de François Lermigeaux vient ainsi de réaliser une première émission de radio autour du roman de Victor Pouchet « Autoportrait en chevreuil ». A la fin de l’année, les élèves éliront leur roman préféré pour décerner leur propre prix littéraire : « le Prix de l’arganier ». « Nous n’étions pas très satisfaits par le Goncourt des Lycéens, explique Sandy Canon, parce qu’on trouvait l’organisation trop lourde et réduite sur quelques mois : nous avons préféré un projet annuel en phase avec la littérature francophone et notamment des auteurs marocains. » Le projet construit une belle communauté de lecteurs et lectrices : il ouvre des pistes pour sortir le livre de la classe, revitaliser les traditionnels «  défis lecture », se libérer de la logique quelque peu commerciale de certains prix littéraires lycéens.

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i-voix lycéennes : Déclaration romanesque des Droits de la Femme 

« Les personnages féminins de romans, représentantes des mères, des filles, des sœurs, constituées en Assemblée internationale, ont résolu d'exposer, dans une déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de la femme » : tel est le Préambule de la Déclaration qu’ont écrite et publiée les lycéen.nes du lycée de l’Iroise à Brest dans le cadre de leur projet i-voix. Iels font ainsi résonner tout à la fois la DDFC d’Olympe de Gouges et des récits contemporains racontant l’expérience féminine d'un monde sous domination masculine. Le travail veut en favoriser l’appropriation par une écriture créative et personnelle, par la participation motivante à un projet collectif, par la mise en œuvre d’une écriture palimpseste à la manière d’Olympe de Gouges, par la mise en valeur de l’universalité, dans l’espace et dans le temps, de sa Déclaration de 1791, par la tentative d’inscrire encore plus la fiction dans le réel, de considérer les personnages comme des personnes, d’envisager la littérature non comme un objet scolaire mais comme une expérience du monde.

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Parcours d’étude de la langue sur Moodle en 5ème

Professeure au collège Didier Daurat à Mirambeau, Aurore Delubriac propose des parcours sur la plateforme d’apprentissage Moodle pour inviter ses 5èmes à travailler des notions de langue selon un dispositif de classe inversée ou d’enseignement à distance. Contenus : « une capsule assortie d’un court test mesurant si la notion a été comprise, une vidéo H5P, un schéma résumant l’essentiel à retenir et un lien d’accès à Quizlet avec des activités ludiques pour aider à l’apprentissage de la notion. » Processus : « Chaque élève est invité à explorer le parcours et à avancer à son rythme. Les élèves sont avisés de la date à laquelle la notion sera reprise en classe. Les élèves doivent donc avoir travaillé et assimilé la notion pour le jour décidé. Afin d’en mesurer le degré d’acquisition, je les teste le jour J avec Plickers. En fonction de leurs résultats, je les oriente sur divers ateliers… »

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Premier bilan de la lecture "grande cause nationale"

J Castex a présenté le 24 novembre un premier bilan de la grande cause nationale dédiée à la lecture. Il souligne "un effort particulier en direction des élèves". Il s'agit de la diffusion des fables de la Fontaine à 3.5 millions d'élèves en 4 ans pour 4.5 millions d'euros. Le plan "bibliothèque d'école" a doté 6000 écoles de 900 000 livres pour 8.5 millions sur 4 ans. A cela s'ajoutent une série de concours (petits champions de la lecture, association Lire et faire lire, Goncourt des lycéens) qui prolongent des actions d'avant 2017. Un autre programme concerne l'Ecole : c'est le Pass culture, étendu aux collégiens et lycéesn, qui peut aussi servir à acquérir des livres. Mais la grande cause nationale concerne surtout les bibliothèques qui ont bénéficié de crédits pour étendre leurs horaires (60 M), acheter des livres (10M) et moderniser leurs locaux (30M).

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Lecture : Une note planante publiée au BO

"La place de la lecture chez les élèves en dehors du temps scolaire constitue un sujet de réflexion tout aussi important. Les professeurs communiquent avec les familles sur le travail conduit en lecture, sur les actions menées en lien avec les acteurs de la chaîne du livre, mais aussi sur la lecture comme loisir, à la maison. Ils encouragent la lecture personnelle des élèves, en particulier le week-end et durant les vacances". Il y a de belles âmes rue de Grenelle qui rêvent à leur lointaine jeunesse privilégiée et écrivent de belles notes de service. S'agissant de "la lecture grande cause nationale", la note égrène les quelques dispositifs (petits champions de la lecture, si on lisait à voix haute, prix Goncourt des lycéens) sponsorisés et oriente les enseignants vers des pratiques (cercle de lecture, carnet de lecture, rencontres d'auteurs). On aurait pu attendre de vrais moyens pour faire entrer la lecture dans tous les foyers.

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L'HEBDO SCIENCES

Cinq questions à David Boudeau, président de l'APBG

Président de l'APBG, l'association des professeurs de SVT, professeur en Vendée, David Boudeau prépare avec ses équipes les Journées nationales des 26 au 28 novembre. C'est l'occasion d 'un tour d'horizon sur la vie de l'association.

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Maths : Le jeu du calisson aux Mercredis de l'Apmep

Mercredi 24 novembre, Olivier Longuet présente le jeu du calisson (voir l'article du Fil des maths) en direct lors d'un "mercredi de l'Apmep". Vous pouvez suivre à distance cette présentation.

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Préparer le Fibonacci Day

Les sorciers de Salem, le site du Laboratoire de Mathématiques Raphaël Salem (CNRS, Université de Rouen Normandie), propose de nombreuses activités mathématiques autour des suites de Fibonacci : tours de cartes, nombre d'or au coeur des fleurs, etc.

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Mathématiques au cycle 4 : motivation, engagement, réussite

Cette brochure "synthétise les productions des professeurs du groupe de réflexion sur l’enseignement des mathématiques au cycle 4 de l’académie de Créteil durant l’année 2017/2018. L’objectif général que s’était fixé le groupe était de concevoir et d’expérimenter diverses activités favorisant la motivation des élèves et permettant d’améliorer leurs acquis en mathématiques".

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Les Français et la science

Commandée par l'Université de Lorraine, l'enquête "les Français et la science" confirme la défiance envers les politiques pour dire la vérité sur le coronavirus. 7 français sur 10 ne leur font "pas du tout confiance". Pour autant la confiance des français dans la science reste élevé (84%). Mais, contrairement à certains pays, comme la Suède ou le Japon, qui se caractérisent par une vision très positive  des effets de la recherche scientifique sur la société, la France est marquée par une forte ambivalence : plus  de la moitié des Français estime que la science apporte à l’homme « autant de bien que de mal ». Ce  positionnement  qui  met  l’accent  sur  la  tension  entre  des  jugements  d’apparence  contradictoires  est  en  progression  sur  près  de  50  ans,  rendant  désormais  minoritaires  les  personnes  considérant  les  effets  bénéfiques de la science comme étant supérieurs à ses effets négatifs : en 1972, plus d’1 personne sur 2  pensait que la science apporte plus de bien que de mal, ils sont 1 sur 4 en 2020. Plus de la moitié des Français ne souhaite pas que les scientifiques expérimentent sur des animaux et ce malgré le fait que ces tests puissent aider à résoudre ou à augmenter les connaissances des problèmes de  santé  des  humains. Il sosnt aussi hostiles au nucléaire et ses déchets et aux OGM.

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L'HEBDO SCIENCES HUMAINES

Jean-Christophe Fichet : Tous les atouts des cartes

Avec cartolycée, Jean-Christophe Fichet, professeur au lycée Porte de Normandie de Verneuil sur Avre, a créé plus qu'une cartothèque particulièrement adaptée aux programmes du lycée. Le site permet maintenant une véritable initiation au croquis géographique en proposant des séquences clés en main. Il initie aussi les enseignants aux outils cartographiques. Il est aussi un lieu d'entraide entre professeurs d'histoire-géographie.

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SES : La pauvreté en France

Comment évolue la pauvreté ? Est-on pauvre pour toujours ? Les prestations sociales diminuent-elles la pauvreté ? Quels territoires sont les plus touchés par la pauvreté ? L'Insee se penche sur les 9 millions de pauvres. Il explique comment il évalue le taux de pauvreté et le seuil de pauvreté. Mauvaise nouvelle : seules 20% des pauvres sortent de la pauvreté durablement dans un délai de 3 ans.

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Bifurcations : Le magazine du Printemps de l'économie

Le Printemps de l'économie s'est déroulé du 12 au 15 octobre avec comme thème central "Bifurcations, l'heure des choix".  Les vidéos des 31 sessions sont visibles en ligne. Le magazine du Printemps (52 pages) revient sur les thèmes avec des signatures prestigieuses : R Passet, P Artus, K Schubert, O Postre, S Faucheux, P Aghion, P Naccache, P Brassac etc.Au sommaire : la lutte contre le réchauffement climatique, l'insertion professionnelle des jeunes, la protection sociale, révolution technologique et chomage de masse, régulation des GAFAM, révolution numérique et nouveaux prolétaires, le retour de l'Etat fort etc.

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Histoire : La seconde guerre mondiale en jeux vidéo

Comment le jeu vidéo rend il compte de la seconde guerre mondiale ? La BNF réunit le 24 novembre des chercheurs qui analysent en direct trois jeux indépendants (Through The Darkest of Times, Attentat 1942 et My Memory Of Us), qui se déroulent durant  la Seconde Guerre mondiale et évoquent la résistance en Allemagne et l’occupation de la Tchécoslovaquie et de la Pologne. La séance sera animée par Romain Vincent, enseignant en histoire-géographie, doctorant sur les usages pédagogiques du  jeu vidéo et créateur de la chaîne JVH  (Jeux Vidéo & Histoire), et Eugen Pfister,  enseignant à l’université des Arts de Berne et Sybil Collas, narrative designer. L'événement peut être suivi à distance.

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Emilie Dumanoir : Travailler la persévérance en cours d'histoire

La persévérance est une qualité bien nécessaire aux élèves. Surtout depuis 18 mois, avec le covid qui vient déranger la marche rythmée de l'école. Surtout quand vous êtes élève en lycée professionnel et qu'il y a bien des raisons de décrocher des études. La persévérance c'est ce que Emilie Dumanoir, professeure au lycée professionnel Louis Modeste Leroy à Evreux, a fait découvrir à ses élèves de bac pro ASSP, avec le soutien de Nadège Bourigau, professeure documentaliste. Accompagnée de ces deux professeures , les élève ont mené à bien un projet sur le génocide des Tutsi au Rwanda contre vents et covid...

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Histoire : Qui a tué James O'Sullivan ?

En élucidant un meurtre qui a eu lieu dans l’usine-internat de La Sauvagère dans la périphérie lyonnaise, les élèves vont pouvoir découvrir les aspects de « l’âge industriel. » Chaque suspect du crime permet à l’élève d’acquérir des connaissances concrètes sur un des aspects du programme concernant ce chapitre. Une évaluation des connaissances, au travers d’un jeu intégré, est faite à l’issue de la découverte de chaque suspect. Ainsi les élèves vont découvrir, le monde du patronat, le monde ouvrier, le fonctionnement d’une usine, l’immigration européenne, la modernisation des campagnes, la vie des ouvriers, les idéologies socialistes et communistes et la place de l’Eglise au travers du catholicisme social. Ce jeu, réalisé par Anne-Constance Gousseau, vient de Nouvelle Calédonie.

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Géo : Rencontrer les paysages que j'habite

Proposé par des géographes du CNRS, ce projet invite les enseignants et les élèves à produire des photographies de paysages et à les caractériser. "Le  concept  « HABITER »  fédère  l’ensemble  des  thèmes  abordés  dans  les  apprentissages géographiques. La manière dont nous percevons les lieux dans lesquels nous vivons à travers nos activités : se loger, se déplacer, se nourrir, se distraire, se cultiver, se soigner, apprendre, travailler, consommer, aménager, ... nous permet d’habiter pleinement notre territoire.  Les  photographies  de  paysage  constituent  des  représentations  de  nos  lieux  de  vie,  et  révèlent différentes  manières  d’habiter  nos  territoires.  La  rencontre  avec  les  paysages  que  j’habite,  en prenant des images numériques et / ou en découvrant les productions photographiques d'autres personnes, favorise pour chacun, chacune d’entre-nous l’appropriation des lieux de vie partagés. Elles permettent aussi de modifier nos regards, de rencontrer l’altérité." Un projet qui concerne la Franche Comté. Mais qui mérite d'être connu partout...

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SES : Le capital a t-il un genre ?

Genre et économie. L'heure des comptes ? Le prochain Café Sciences Sociales organisé par l’APSES et ses régionales d’île-de-France se déroulera le 15 décembre 2021 de 18h30 à 20h00 au Café de la mairie (Paris 3e). Il accueillera Sibylle Gollac, sociologue, chargée de recherche au CNRS, autrice de "Le genre du capital. Comment la famille reproduit les inégalités", La Découverte, ainsi que Hélène Périvier, économiste à l’OFCE-Sciences Po, autrice de "L’économie féministe", Presses de Sciences Po.

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L'HEBDO LANGUES

Le cinéma en classe d'espagnol

La 20ème Journée d’étude « Le cinéma en classe d’espagnol » aura lieu le samedi 22 janvier 2022 de 9h à 18h à la Faculté des Langues et Cultures Étrangères (FLCE) de l'Université de Nantes autour du long-métrage El olvido que seremos (L'oubli que nous serons), en présence du réalisateur, Fernando Trueba.

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Anglais : Compréhension orale

"Comment optimiser la compréhension orale en influant sur les stratégies d'apprentissage? L'expérience menée  ici en collège vise à réfléchir sur l'impact de la verbalisation des stratégies d'apprentissage sur la compréhension orale d'un document en langue vivante étrangère. Ce mémoire, rédigé par Camille Leblond, s'interroge sur les outils à apporter à l'élève pour lui permettre de développer au mieux cette compétence. Comment en effet apprendre à comprendre ?"

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Anglais : Why a gap year ?

"Lucie Graham, professeur d'anglais dans l'académie de Grenoble, invite les élèves de Seconde à réfléchir à leur propre orientation dans le cadre du parcours Avenir à partir de cette séquence composée de documents authentiques variés et riches. Une tâche de production complexe ancrée dans le réel leur est proposée, laquelle consiste à écrire un mail à "Gap Year Projects", une organisation qui aide les jeunes à préparer et organiser un tel projet."

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Par fjarraud , le vendredi 26 novembre 2021.

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