| | L'école peut-elle échapper au krach ? | |
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| | SommaireAux Etats-Unis, la question ne se pose plus. En France, quel impact le développement de la crise financière aura-t-il sur l'éducation ? | |
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| | | Budget : La seule priorité ? | |
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| | SommaireLes contraintes budgétaires pèsent lourd. Peut-être même sont-elles la seule véritable politique poursuivie par le ministre de l'éducation nationale... | | | RepèresLa dépense intérieure d'éducation - Les évolutions - 2011-2013 : Trois années de vaches maigres | | | | | | Sarkozy : Je ne fermerai plus de classes... en 2012Le 21 juin, en visite dans une école à La Canourgue (Lozère), le président de la République a pris l'engagement de ne pas fermer de classes de l'enseignement primaire en 2012. Une annonce qui suscite de nouvelles inquiétudes ou l'incrédulité. | | | Ce que prépare le ministère pour 2012Comment maintenir l'offre éducative en supprimant autant d'emplois d'enseignants en 2012 ? Grâce soit rendu à l'enseignement catholique ! Touché de façon vitale par les suppressions de postes programmées à la rentrée 2012, il nous éclaire sur les solutions envisagées par le ministère. Elles auront des conséquences sur les conditions de travail et le statut des enseignants. | | | Démographie scolaire : Les hausses d'effectifs, un problème pour le gouvernementLe gouvernement fait face à des ciseaux. La première lame c'est la croissance du nombre d'élèves. A la rentrée 2010, le système scolaire français a accueilli près de 40 000 élèves en plus et c'est appelé à durer. La seconde c'est l'évolution du nombre d'enseignants. Une situation qui va devenir de plus en plus intenable et coupante... | |
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| | Chatel veut une "réorganisation académique" | |
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| | SommaireUn projet de décret prévoit une réorganisation en profondeur des services académiques autour des recteurs. Les inspecteurs d'académie ne seraient plus que leurs adjoints et les services seraient mutualisés sur le territoire académique. Le décret entrerait en application au 1er janvier 2012. | |
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| | | L'enseignement prioritaire en pleine mutation | |
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| | SommaireLes Réseaux Ambition Réussite disparaissent à la rentrée 2011. Cette information trouvée par hasard par l'OZP dans un document ministériel a été confirmée par le ministère dès le lendemain au Café. Les RAR deviendront des dispositifs ECLAIR. Enfin, pas tous... | | | Quel bilan pour les Réseaux Ambition Réussite ?Directeur de l'IREDU, Bruno Suchaut publie une étude sur les établissements en réseaux ambition réussite de Paris. "L'analyse des caractéristiques des populations d'élèves accueillies dans les collèges parisiens montre que les difficultés scolaires et sociales de trois établissements RAR ne sont pas plus élevées que celles de la plupart des collèges RRS", écrit-il. "Un seul collège RAR se distingue nettement de tous les autres avec une population qui présente des caractéristiques peu favorables à la réussite scolaire." | | | ECLAIR : Une nouvelle indemnité pour les enseignants laissée à l'appréciation du chef d'établissementUne circulaire publiée au B.O. du 13 janvier organise le versement de la nouvelle indemnité "pour fonctions d'intérêt collectif" crée pour les établissements CLAIR (préfet des études) et pour certaines fonctions des lycées (professeur référent pour les usages pédagogiques numériques, tutorat, référent culture). Cette indemnité annuelle, versée en fin d'année scolaire, sera totalement modulable par le chef d'établissement et par le recteur. | |
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| | Décrochage : 180 000 "perdus de vue". A qui la faute ? | |
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| | SommaireLuc Chatel vient d'entrer en croisade contre un fléau souvent fui par ses prédécesseurs :le décrochage scolaire. Le 12 mai 2011, Luc Chatel a visité une plateforme de coordination pour la prévention du décrochage scolaire à Châteauroux et annoncé que près de 180 000 jeunes sont "perdus de vue" par l'institution scolaire et sans diplôme. Ces plates-formes utilisent des listes de jeunes d'au moins 16 ans qui sont ni inscrits dans un établissement scolaire, ni en apprentissage et qui n'ont pas obtenu le diplôme de leur dernier cursus scolaire. Le maillage des 400 plates-formes vise à permettre un suivi de ces jeunes. 3 600 places nouvelles seraient offertes dans des établissements de la deuxième chance. | |
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| | | Comment lutter contre l'échec scolaire ? | |
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| | SommaireQui se soucie de l'échec scolaire ? Chaque année, environ 200 000 jeunes sortent du système scolaire sans diplôme ou avec une certification de faible qualité ; soit presque le tiers d’une classe d’âge. Parmi ceux-ci, 30 000 sont pratiquement analphabètes... | |
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| | La lutte contre le harcèlement, une nouvelle priorité ? | |
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| | Sommaire« Si déjà nous sortons d’ici avec un consensus politique sur le chantier à ouvrir, à long terme, pour que l’Ecole prenne en charge ce phénomène et que les politiques aident les acteurs de l’Education à pouvoir le faire, alors nous aurons franchi une étape déterminante », martèle E. Debarbieux en ouverture des Assises nationales sur le harcèlement à l'Ecole, le 2 mai 2011. Durant deux jours, hauts fonctionnaires du ministère et inspecteurs sont invités à écouter et à travailler avec les experts réunis par Eric Debarbieux. | | | Le cerveau est prêt. Et les jambes ?Lors de la seconde journée des Assises nationales sur le harcèlement, le 3 mai, de nouveaux experts ont intéressé les participants. Eric Debarbieux estime "qu'un espoir est né". Mais Luc Chatel n'annonce aucune mesure importante de formation initiale ou continue. Seul l'accord avec Facebook qui permettra de fermer un compte sur signalement de l'éducation nationale semble faire avancer les choses sur le terrain du cyberbullying. | | | | | | Debarbieux : Profiter de la fenêtre ouverte par les Etats générauxLes assises nationales sur le harcèlement à l’Écoles font suite à la remise du rapport Debarbieux et doivent déboucher sur des décisions ministérielles. A la veille de cet événement, Eric Debarbieux a répondu à nos questions sur le rapport et sur le chemin parcouru depuis les Etats généraux de la sécurité à l'école. | |
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| | | Plan numérique : Une fusée sans carburant ? | |
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| | Sommaire"L'avenir de l'école ne s'écrit pas à la craie". C'est par cette belle formule que Luc Chatel a présenté le 25 novembre 2010 un "plan de développement des usages numériques à l'Ecole" qui veut agir à la fois sur la formation, la gestion des équipements, la production de ressources et la formation des élèves. | | | Le référentiel collège et lycée numériquesDévoilé par le Café la veille de l'annonce par Luc Chatel de son Plan numérique, le référentiel "collège et lycée numérique " est finalement publié avec quelques mois de retard. | | | Les références incertaines de Luc ChatelL'argument utilisé par Luc Chatel pour justifier son plan numérique est mis en doute par un chercheur. Pour Alain Chaptal, les travaux de René Marzano "suscitent des interrogations importantes". Le ministre "a été imprudent en mettant en exergue ce seul travail". | | | Quelle efficacité pour le numérique ? L'étude de Jean HeutteNous revenons sur l’un des articles de Jean Heutte car, à notre connaissance, cette recherche scientifique (respectant les principes méthodologiques issus de la démarche expérimentale) est l’une des rares concernant l’impact de ces technologies sur les résultats des élèves. De plus, il semble bien qu’elle soit la première (et la seule) en France concernant l'école primaire. Malgré sa parution tardive (entre temps, Jean Heutte avait changé d'objets de recherche et de ce fait tardé à soumettre cet article...), c'est très certainement ce caractère unique qui en fait tout l'intérêt au moment où le ministre va annoncer son « plan numérique à l’école ». | |
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| | Formation des enseignants : La masterisation a-t-elle un avenir ? | |
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| | SommaireQuelques mois après la mise en place de la masterisation, les syndicats n'ont pas de mal à montrer son échec. Ce nouveau dispositif de formation des enseignants est-il amendable ? | | | Les stagiaires sont en difficulté affirme un rapport interne publié par le Café pédagogiqueLes stagiaires du second degré sont bien "en difficultés" estime un rapport du ministère
Expert reconnu de la formation des enseignants, Jean-Louis Auduc analyse le rapport sur l'accueil des enseignants stagiaires du second degré. A la différence du premier degré, où les stagiaires ont eu généralement un délai d'adaptation , les enseignants du second degré ont généralement été envoyés directement dans les classes. Et cela génère de nombreuses souffrances. | | | Formation des enseignants : Aujourd'hui un champ de ruines et demain ?"Il y a tous les ingrédients d’une crise majeure d’accès au métier enseignant", affirme Jean-Louis Auduc, directeur-adjoint d'IUFM. Mais des solutions existent. Pour lui elles passent par la reconnaissance du fait qu'enseigner est un métier. Il propose "une entrée en « biseau »" dans le métier enseignant associant stages, enseignement et formation au delà de l'entrée dans le métier. | | | Former des enseignants : Une approche comparatisteDe nombreux travaux ont mis en évidence "l'effet enseignant" , par exemple récemment ceux de D. Wiliam et de Barber et Moushad au Royaume-Uni. Voilà une bonne raison d'observer la façon dont les enseignants sont formés dans le monde. Une autre est évidemment en rapport avec la crise de leur formation en France. Alain Boissinot, qui coordonne ce numéro de la Revue internationale d'éducation de Sèvres, l'atteste : "au moment où la France entreprend un réagencement en profondeur de son système de formation des maîtres, il paraît opportun d'élargir le champ du débat et d'étudier la façon dont des pays de tradition différente s'organisent en ce domaine". Si critique il y a sur le modèle français il faudra donc aller le lire entre les lignes au gré des articles consacrés chacun à un pays différent : Québec, Etats-Unis, Argentine, Royaume-Uni, Suède, Grèce, Corée du Sud | | | Formation des enseignants : « La professionnalisation, c’est ambigu »Peut-on dégager des évolutions universelles dans la formation des enseignants ? Quelle place doit y prendre la formation professionnalisante ? Comment préparer les profeseurs à l’enseignement en zone prioritaire ? Ces questions, et quelques autres, étaient posées le 19 janvier, à l’occasion de la publication, par le CIEP, du numéro 55 de la Revue internationale d’éducation de Sèvres. Il revenait à Alain Boissinot, coordonateur du numéro, d’y répondre. | | | | |
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