La multiplication des signaux d’alarme concernant le réchauffement climatique semble correspondre à des cycles thématiques : un mois pour le cyclone surabondant, un autre pour le glacier qui recule. Ces temps-ci, c’est la saison de l’Arctique (voir la rubrique géographie du précédent numéro). Un article sur le site du Nouvel Observateur offre un double intérêt : il fait le point sur un réchauffement plus rapide là-bas qu’ailleurs . Mais on comprend aussi l’intérêt pédagogique du lieu étudié : les conséquences pour ses habitants (des ours polaires aux phoques sans oubliés les peuples qui s’y trouvent) sont beaucoup plus compréhensibles, et ces figures sympathiques aux opinions publiques beaucoup plus mobilisatrices que les aspects globaux du réchauffement. Benoît Picherit sur H-Français propose une sélection de liens vers des articles liés comme le précédent au rapport sur l’évaluation de l’impact sur le climat de l’arctique, commandé par le Conseil de l’Arctique (pays riverains).
http://archquo.nouvelobs.com/cgi/articles?ad=sciences/20041108.FAP2420.html&host= http://permanent.nouvelobs.com/
http://h-net.msu.edu/cgi-bin/logbrowse.pl?trx=vx&list=H-Francais&month=0411&week=b&msg=lJhe%2bvjjPi42oJ7ORu7sDQ&user=&pw=
http://amap.no/acia/index.html
– A chacun son réchauffement : la pédagogie de l’ours polaire.
