L'actualité de la semaine (du 3 au 10 juin 2022) 

Politique

Macron et "l'inévitable" privatisation de l'Ecole

Pour Emmanuel Macron, l'évolution de l'Ecole est visiblement une priorité. Après sa visite marseillaise du 2 juin, il est revenu sur la question scolaire dans un entretien publié par la presse régionale le 3 juin. Présentée comme une "révolution culturelle" pour l'Ecole à l'aide d'une "réorganisation nationale", la réforme macronienne devrait être de plus grande ampleur que ce qui semblait. Avec la réélection d'E Macron, sauf surprise aux législatives, la France va entrer dans le mouvement qui emporte les pays occidentaux dans une privatisation accélérée des systèmes éducatifs.

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Un rapport sénatorial pousse à la privatisation de l'éducation

Comment remédier à la crise de recrutement de l'éducation nationale ? En laissant les chefs d'établissement recruter et en différenciant les salaires, répond le rapport rédigé par le sénateur LR Gérard Longuet pour la Commission des Finances du Sénat. Il veut  augmenter "la productivité" des enseignants en augmentant leurs missions et en restructurant le réseau d'établissements de façon à en réduire le nombre. Ce rapport sénatorial va un peu plus loin que les annonces d'Emmanuel Macron. Mais il les éclaire en dévoilant l'objectif budgétaire : répartir la marge budgétaire dégagée par la chute du nombre d'élèves dans les années à venir. La privatisation de l'Ecole c'est comme les retraites...

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Emmanuel Macron dévoile à Marseille son plan pour l'Education

"Ce qu'on a lancé (à Marseille) c'est retrouver le sel de l'école républicaine". En visite dans une école marseillaise qui participe à l'expérimentation de "l'école du futur", Emmanuel Macron a précisé son projet pour les enseignants et l'école devant Pap Ndiaye. La revalorisation aura une part inconditionnelle et une part liée au "nouveau pacte". Une heure et demi de maths sera proposée à la rentrée aux lycéens de première qui le souhaitent. Le président veut mettre "de la flexibilité" dans le système et "généraliser" l'expérimentation marseillaise des postes avec ses postes "à exigence particulière".  Un nouveau pas dans la déréglementation s'annonce.

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Stéphane Crochet : "On est encore et toujours dans le flou"

Secrétaire général du SE Unsa, Stéphane Crochet réagit aux déclarations d'Emmanuel Macron à Marseille. Pour lui il s'agit d'annonces politiques plus que de véritables décisions. Le président de la République entretient le flou sur ses projets.

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Le Snuipp réfute nettement le plan Macron

" Ce projet remet pourtant en cause gravement les principes égalitaires qui fondent l’école républicaine", estime le Snuipp-Fsu dans une déclaration du 2 juin. " Si les écoles en éducation prioritaire bénéficient de davantage de moyens, c’est dans la logique de donner plus à celles et ceux qui ont moins au vu de critères objectifs comme les catégories socio-professionnelle des familles. Ce n’est pas le cas pour ces 59 écoles où le seul critère est la rédaction d’un projet “innovant” et dont 21 ne sont même pas en éducation prioritaire. Ces écoles bénéficient pourtant chacune d’un quart de décharge de direction et d’une partie de la dotation spécifique de 2,5 millions d’euros attribuée en fonction de leur projet sans clé de répartition définie. Pendant ce temps, la grande majorité des écoles en éducation prioritaire n’obtient aucun autre moyen supplémentaire.. Au sein de ces 59 écoles, le recrutement se fait désormais sous forme de poste à “exigence particulière” avec une commission où siège le ou la directrice et un ou une adjointe de l’école. Un fonctionnement qui déroge au système égalitaire de nomination jusqu’alors à l’oeuvre d’autant que ces postes ne demandent pas de spécificité... Cette expérimentation est à la fois une application avant l’heure de la loi Rilhac qui entend instaurer une forme de hiérarchie au sein des écoles et la fuite en avant du modèle des “contrats locaux d’accompagnement” qui contractualise l’octroi de moyens supplémentaires et débouche sur une école à plusieurs vitesses. Sa généralisation entraînerait une mise en concurrence des écoles pour l’attribution de moyens, le démantèlement du système de nomination des personnels, la création d’un nouvel échelon hiérarchique et ouvrirait la voie à une possible adaptation locale des contenus scolaires… C’est cette feuille de route que vient de tracer aujourd’hui le président au nouveau ministre de l’éducation. Le SNUipp-FSU réfute totalement cette vision de l’école".

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Maths : Les associations scientifiques contre l'arbitrage d'E Macron

" Les mesures visant à ajouter 1h30 dans l'enseignement scientifique du tronc commun, en 2022 ou en 2023, sont inadaptées pour répondre aux problèmes soulevés par la réforme", estiment les associations mathématiques et scientifiques, dont l'Apmep, l'Udppc, la CFEM, Femmes & mathématiques et la SMF. "Elles contreviennent aux objectifs d'une formation mathématique pour tous et toutes à la hauteur des besoins de la société et des aspirations des lycéennes et lycéens. Permettre le temps de la réflexion et la mise en place d'un groupe de travail regroupant les différents acteurs compétents pour proposer des solutions pérennes pour la rentrée 2023 est la seule solution satisfaisante actuellement". Les associations demandent au ministre, dans une lettre du 2 juin, de " surseoir à toute mesure prise à la hâte et de recevoir sans délai, avant toute prise de décision définitive, une délégation des sociétés savantes et associations de professeurs".

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JP Delahaye : L'autonomie des établissements n'est pas une idée neuve

Réagissant à l'actualité, JP Delahaye rappelle les difficultés que rencontre l'école française à donner de l'autonomie aux écoles et établissements. Car l'idée remonte au 19ème siècle. " Pourquoi la mise en œuvre effective de l’autonomie a-t-elle été si longue ? Probablement, c’est mon hypothèse, parce que l’autonomie n’a jamais été au fond une demande venant du terrain, en tout cas pas exprimée en tant que telle par les enseignants et leurs représentants. Cela a toujours été une démarche venant du ministère, une autonomie décrétée en quelque sorte", écrit-il. Parmi les obstacles à l'autonomie, outre les marges budgétaires, il cite "l'absence de démocratie interne à l'établissement contraire au principe même d'autonomie". La loi Rilhac vient justement de supprimer les petites républiques des professeurs des écoles...

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Claude Lelièvre : Macron et la privatisation

"Lors de sa visite à Marseille jeudi dernier, Emmanuel Macron a donné certaines indications ou perspectives qui peuvent être comprises comme un « précipité » en ce début de second quinquennat de ce qui était à l'ordre du jour depuis quelque temps et à l'horizon depuis la loi Debré instituant le cadre des établissements privés sous contrat", écrit Claude Lelièvre sur son blog. L'historien montre comment de la loi Debré (1959) à 2022 l'idée d'une gestion privée de l'éducation  a fait son chemin dans l'école publique. "Cela semble se ''précipiter'', conclue t-il.

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Le Snpden ne veut pas recruter les enseignants

"Demander aux chefs d'établissements de recruter les enseignants aboutira in fine à un transfert de responsabilité (un de plus) quant à l'actuelle énorme pénurie d'enseignants", écrit le Snpden Unsa sur son fil Twitter. "C'est non !" Le premier syndicat de personnels de direction prend position. L'exemple suédois montre que cette réforme fait aussi rapidement fuir les personnels de direction...

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Que prépare Macron pour l'entrée au collège ?

"Il faudra déployer l'évaluation des savoirs fondamentaux en CM2 et mener des transformations inédites au collège, notamment au niveau de la 6ème qui est une classe bascule comme le CP". Dans un entretien donné à la presse régionale le 3 juin, E Macron annonce l'extension des évaluations nationales en Cm2 et , en lien, une réforme de la 6ème. Il n'en dit pas plus. Mais le lien établi invite à s'interroger sur l'avenir du collège unique. En aout dernier l'Institut Montaigne , très proche d'E Macron, appelait à de la "flexibilité". Il demandait "une diversification des enseignements au collège (avec potentiellement une première spécialisation)". E Macron prépare t-il un premier tri des élèves dès la 6ème sous prétexte d'un renforcement des fondamentaux en 6ème pour une partie des élèves ?

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L'Institut Montaigne prophète du séparatisme

En aout dernier, l'Institut Montaigne, proche de JM Blanquer et d'E Macron, avait publié des propositions pour le quinquennat qui ont ruisselé dans le programme d'E Macron. C'est le cas par exemple de la réforme de la voie professionnelle. Il revient avec un nouveau programme dédié cette fois aux "quartiers pauvres". La partie dédiée à l'éducation invite le gouvernement à réaliser deux réformes. La première concerne la maternelle propulsée "clé de la réussite des élèves issus des quartiers prioritaires de la politique de la ville". Ce que propose l'Institut c'est "d'expérimenter dans les QPV (quartiers de la politique de la ville) des programmes de forte stimulation cognitive dès le plus jeune âge". L'Institut s'appuie sur deux études américaines, notamment le programme Perry Preschool dont l'évaluation a été menée sur le long terme. Incontestablement ce programme a donné des résultats mais ilne concernait qu'un petit nombre d'enfants qui disposaient d'un encadrement exceptionnel avec un enseignant très expérimenté pour 6 enfants. Ce n'est pas ce qu'envisage l'Institut Montaigne qui prévoit un encadrement pas des "enseignants" payés 20€ de l'heure pour un coût total de 50 millions. IL s'agit pour l'Institut de remplacer les enseignants par des "professionnels" spécialement formés. Les enfants pauvres ne méritent pas mieux. La même logique vaut pour les autres niveaux d'enseignement. L'Institut Montaigne propose de remplacer le concours exceptionnel de Créteil par des contractuels recrutés spécialement "sur profil".De là à penser qu'ils pourraient être fournis par Le choix de l'Ecole, une association déjà bien installée à Créteil et très proche de l'Institut Montaigne, il n'y a qu'un pas. C'est la même logique de fournir aux enfants pauvres des "professionnels" à la place des enseignants. Le séparatisme social se porte bien.

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Les villes éducatrices inquiètes du "démantèlement" de l'Education nationale

Réseau d’élus investis dans les politiques éducatives territoriales, le Réseau français des villes éducatrices, réagit à la crise du recrutement des enseignants. "Nous demandons des actions immédiates pour améliorer les conditions de travail et de rémunération des enseignants, et augmenter ainsi l’attrait de cette profession. Les autres personnels éducatifs dépendants de l’Éducation Nationale ont aussi besoin de voir leurs rémunérations augmentées, en ce qui concerne les AESH il s’agit même d’une question de dignité. Nous demandons aussi à ce que les enseignants vacataires recrutés soient formés avant de se trouver devant des classes", écrit le RFVE. "La fourniture de services publics fonctionnels nécessite une vraie volonté politique".

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L'intersyndicale de l'éducation veut préparer la rentrée avec Pap Ndiaye

" Le dialogue avec toute la communauté éducative sera un principe important". Le 20 mai, lors de son arrivée au ministère, Pap Ndiaye avait promis le dialogue. L'intersyndicale de l'éducation, réunissant la Fsu, l'Unsa, FO, le Sgen Cfdt, la Cgt et le Snalc, lui rappelle sa promesse. " Un travail profond sur les rémunérations, le recrutement, l’entrée dans le métier et la formation doit s’engager pour la rentrée 2023 car la situation de cette année n’est pas seulement conjoncturelle", déclare l'intersyndicale. " L'urgence de la situation impose un dialogue social sincère. Les OS représentatives au CTMEN demandent à être reçues le plus rapidement possible par le ministre afin de connaître la réalité de chaque territoire pour la rentrée 2022, et les mesures envisagées pour les territoires et les disciplines les plus en difficulté".

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La FCPE, le maire et la guerre scolaire en Bretagne

La FCPE, première association de parents d'élèves, réagit le 8 juin à la décision du Conseil d'Etat concernant la scolarisation d'enfants de moins de 3 ans à l'école maternelle. En février et mar 2021, le maire de Pluneret (Morbihan) refusait la scolarisation de plusieurs enfants de moins de 3 ans dans l'école maternelle publique de la commune. Les parents ont saisi le tribunal administratif de Rennes en référé et celui ci le 26 aout leur a donné raison et a invité le maire à accepter la scolarisation des enfants. Mais le maire a fait appel devant le Conseil d'Etat et celui ci a rendu sa décision le1er juin (n°456625).Le Conseil d'Etat considère que le maire ne peut pas s'opposer par principe à cette scolarisation. Mais il estime la décision du maire valable car le projet éducatif de l'école ne mentionnait pas l'accueil des enfants de moins de 3 ans et l'école manquait de locaux et de matériel pour les accueillir. La FCPE , qui a défendu les parents devant le Conseil d'Etat, estime que cela crée une inégalité de fait entre les enfants puisque selon les communes ils seront scolarisés ou pas. Elle souligne aussi que le projet de l'école a été modifié et annonce son intention de continuer l'action juridique. Pour la FCPE, la décision du maire est aussi à lire par rapport au contexte breton. Le refus de scolariser les enfants à l'école publique pousse les parents à les scolariser à l'école privée sous contrat. Le maire met en avant un manque de moyens de l'école publique mais sa décision se traduira par l'augmentation du forfait d'externat versé par la commune à l'école privée...

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Anne Miquel Val conseillère éducation d'E Borne

Ancienne conseillère éducation de Jean Castex, Anne Miquel-Val devient conseillère technique éducation d'Elisabeth Borne, sous la direction de François Weil, chef de pôle. Ancienne CPE et proviseure adjointe, elle était auparavant conseillère sociale au cabinet de N Elimas.

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Sud 93 gagne son procès contre 5 parlementaires Les Républicains

MM Aubert, Verchère, Bazin, Poletti et Fournier ont perdu leur procès contre le syndicat Sud 93.  Après JM Blanquer, ils avaient saisi la justice en juillet 2019 pour demander la dissolution du syndicat Sud éducation 93 en raison d'ateliers en non mixité lors d'un stage de formation antiraciste. Le tribunal de justice de Bobigny rejette leur demande et les condamne à verser 5000€ à Sud Education 93. Pour autant, relève le syndicat, cette affaire n'est pas totalement close. Un article récent de Médiapart a révélé l'implication de l'adjointe du Dasen 93 dans des manoeuvres visant à empêcher les enseignants d'aller à un stage similaire.

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Métier enseignant

Démissions : Qu'est ce qui pousse les enseignants ?

Alors que le taux de démissions est en rapide hausse en France,deux  sociologues, Richard Etienne et Céline Avenel (LIRDEF Université P Valéry de Montpellier) interrogent des enseignants démissionnaires, d'autres qui souhaitent partir et des formateurs sur les raisons de ces départs. Ils montrent comment la formation et l'organisation du système éducatif jouent un rôle dans ces départs.

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Les premiers sujets du brevet

C'est la préparation de la population au risque de tsunami et la force nécessaire au Rover martien qui sont tombés a l'épreuve de sciences au brevet (DNB) en Amérique du nord. En histoire les élèves ont du répondre à des questions sur le discours d'investiture de de Gaulle du 1er juin 1958. Retrouvez aussi les sujets de maths et de français.

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Bac : Les sujets de philosophie

"Le bonheur nous échappe t-il inévitablement ?" "Faut-il préférer le naturel à l'artificiel ?" Voilà deux sujets de philosophie tombés au bac général et au bac technologique des pays du groupe 1 (Maghreb, Afrique noire, Europe). Un joli texte de Montesquieu était proposé au bac technologique.

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Une intersyndicale saisit Pap Ndiaye sur le paiement d'oraux du bac

" Les PLP ne sont pas des bénévoles". L'intersyndicale de la voie professionnelle (Cgt, Snuep Fsu, Snalc, Sud et Cnt) demande le paiement des oraux de chef d'oeuvre. Il s'agit d'une nouvelle épreuve passée en CAP et au bac professionnel. " vitrine de communication de l'ancien ministre, ne sont pas en reste. L'évaluation de ce dispositif nécessite d'organiser des oraux très chronophages pour tous les élèves de terminale CAP et Baccalauréat professionnel. Et, comble du mépris pour les personnels, le ministère refuse de les rémunérer", écrit l'intersyndicale. Le nouveau ministre répondra t-il ?

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Etranger : Le décret d'avril annulé !

La mobilisation des professeurs détachés dans les établissements français à l'étranger est payante. Après avoir obtenu le report de l'augmentation de leur cotisation retraite (plus qu'un doublement !), un nouveau décret publié le 3 juin annule carrément la mesure.

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BTS : Modification des épreuves

Un décret publié au JO et deux arrêtés modifient les conditions de titre ou diplôme requis pour s'inscrire en section de technicien supérieur et les modalités d'obtention du BTS par la validation des acquis de l'expérience. Il définit pour l'ensemble des candidats les conditions de reconnaissance de l'acquisition de blocs de compétences constituant le BTS. Il crée des épreuves orales de contrôle au BTS. Il modifie la durée requise pour se présenter à l'examen du BTS au titre de son expérience professionnelle. Il précise les situations dans lesquelles la mise en œuvre du contrôle en cours de formation (CCF) est de droit pour les personnes morales préparant au BTS et distingue les situations dans lesquelles le CCF peut être mis en œuvre pour une partie ou pour l'ensemble des épreuves du BTS. Il rectifie la référence à un article du code et supprime les mentions concernant les sections d'apprentissage. Enfin, il reporte au 1er janvier 2023 l'entrée en vigueur des dispositions relatives à la passation de la certification en langue anglaise.

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Examens : De nouveaux sujets

De nouveaux sujets sont en ligne. Pour le bac 2022, l'épreuve de français (EAF) d'Amérique du Nord. Le brevet (DNB) a commencé en Amérique du Nord et trois sujets sont disponibles : dictée, rédaction et grammaire. Pour le Cap, venus aussi d'Amérique du nOrd ou de métropole, les sujets de français, de maths -physique chimie et de PSE.

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Belgique : Les enseignants en tête des métiers en crise

" Quels sont les diplômes qui offrent les meilleures perspectives d’emploi à Bruxelles ?", demande la RTBF ? Selon un Observatoire de l'emploi local, les enseignants arrivent en tête  devant le paramédical, l'administration et le travail social. " Pour effectuer ce classement, view.brussels a calculé le pourcentage de jeunes qui ont trouvé un emploi de minimum un mois dans l’année suivant leur inscription chez Actiris, l'organisme bruxellois chargé de la politique de l'emploi." L'enseignement secondaire fait partie, avec la garde d'enfant, les soins infirmiers et la sécurité, des domaines qui offrent le plus d'opportunités d'emploi...

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Par fjarraud , le vendredi 10 juin 2022.

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