Contre l'extrémisme, l'empathie 

 " Il faut que chaque adulte chargé d’élèves puisse incarner avec conscience les valeurs qu’il prétend enseigner", explique Benoît Falaize dans une tribune du Monde.Pour lutter contre les extrémismes, l'enseignement de l'histoire ne suffit pas. "L’attention à chacun des élèves, avec patience et un respect profond, est déterminante. C’est aussi à cette condition d’exemplarité professorale que le développement de l’empathie peut être source de valorisation des aptitudes à relever ce qui appartient aux discours de haine ou de compréhension attentive de l’autre. C’est conduire une pédagogie tournée résolument vers la compréhension de l’autre".

 

Dans Le mOnde

B Falaize sur l'enseignement de l'esclavage

Sur l'enseignement de la Shoah

Enseigner l'histoire à l'école

 

 

Par fjarraud , le lundi 11 juin 2018.

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