Alors que plusieurs syndicats participent le 31 janvier à une journée d'action commune pour les salaires et la suppression de la journée de carence, le Se-Unsa, second syndicat du primaire, se tient à l'écart. C4est l'occasion de demander à son secrétaire général son sentiment sur ce moment particulier où la refondation commence à s'incarner.
Des intersyndicales appellent à des actions le 31 janvier et le 12 février. Le Se Unsa n'y participe pas. Pourquoi ?
Le mouvement du 12 février est contre la loi d'orientation et le décret sur les rythmes scolaires. Or ce n'est pas notre position. On a voté au CSE pour la loi. Par rapport au mouvement du 31 janvier, dans le contexte de crise actuel, on estime qu'il est difficile de faire une grève de témoignage.
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