"Alors que nous allons reprendre les cours dans un contexte de contamination massive, sans protocole réellement protecteur de la santé des personnels, nous sommes stupéfaits d’entendre de la part du ministre qu’il y a « un risque d’absentéisme accru » ! Est-il vraiment pertinent de qualifier ainsi les professeurs susceptibles de tomber malade", écrit l'APHG. L'association des professeurs d'histoire-géographie rappelle que "les professeurs n’ont pas failli, fidèles au poste, en dépit de conditions d’exercice très dégradées".
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