Doit-on autoriser l'usage d'un logiciel de correction de l'expression française dans les examens ? Le débat est devenu politique au Québec où la ministre de l'enseignement supérieur s'y montrait favorable avant de revenir en arrière sous la pression de l'opposition. Avec le covid et des épreuves à distance, les résultats des élèves des Cegep québécois (premier cycle universitaire) se sont nettement amélioré en français. Tout accuse les logiciels de correction. La Fédération des Cegeps propose d'utiliser un logiciel de correction, Antidote, pour l'épreuve de français.
Dans Le journal du Québec