"Même si l’Enseignement catholique n’est pas directement concerné par cette disposition du projet de loi, il considère qu’elle porte atteinte de façon disproportionnée à l’une des modalités d’exercice de la liberté d’enseignement dans notre pays", explique Philippe Delorme, secrétaire général de l'enseignement catholique, dans En Correspondance, la lettre du SGEC. "La logique d’exclusion et de sanction qui y prévaut vis-à-vis des familles me semble loin d’une École de la confiance et de l’accueil",dit-il. Deux remarques qui visent directement l'article 21 qui est discuté le 11 février.