"Face à la montée du complotisme et à l'augmentation des adhérent(e)s aux théories du complot, nos réactions instinctives pourraient être la déprime ou la moquerie. Pourtant, il s'avère plus constructif de ne pas céder à la panique et de s'accorder un temps d'arrêt pour réfléchir". Ce dossier québécois propose de "mieux comprendre le phénomène". Surtout il offre des pistes pour l'aborder en classe dans le second degré, notamment en cours de sciences.
Le dossier