"La sécurisation des 3 heures en tronc commun général, la création de la spécialité destinée à approfondir le travail initié en histoire-géographie, ne doivent pas masquer les problèmes suscités par cette réforme, en particulier la disparition du caractère national du baccalauréat, qui contrevient au principe d’égalité", note l'APHG, association des professeurs d'histoire - géo, dans un communiqué. "L’APHG s’oppose à la dilution disciplinaire dans des dispositifs n’ayant pour but qu’une conception utilitariste : la co-intervention de la réforme de la voie professionnelle délégitime les professeurs et ne permettra pas l’acquisition d’une culture générale et citoyenne solide pour l’ensemble des lycéens...Les inquiétudes qui remontent du terrain ne doivent pas être prises à la légère".
Communiqué