Duwoye a parfaitement raison. C'était évident que nous arriverions à cette orientation contrainte dès l'annonce du principe de la réforme du lycée. Je ne comprends pas pourquoi le SNES, et les syndicats de chefs d'établissements l'ont nié. Ils savaient bien que la réforme de Darcos a été arrêté car elle était inorganisable à cause des contraintes de construction des emplois du temps.

Par ailleurs, on sait que l'orientation par choix successifs est une vue de l'esprit. Il faut une orientation par essai-erreurs avec le droit de changer d'orientation et un accompagnement pour rattraper les lacunes sur les fondamentaux pourvu que l'élève fasse des efforts.