Comment travailler l'erreur en classe de langue ? 

Camille Pointel, étudiante en master MEEF, analyse la question dans son mémoire en expérimentant en lycée. " Sensibiliser les élèves à la visée communicative de la langue et non pas à la dimension de précision linguistique désacralise l’erreur et sa perception négative. Par ailleurs, pointer du doigt ce qui est réussi permet aux élèves de préserver leur estime de soi (globale) ainsi que la perception qu’ils ont d’eux-mêmes dans un domaine spécifique, tout en questionnant leur auto-efficacité dans la tâche donnée suite aux erreurs qui ont été commises. Allier ces mises en exergue de ce qui a été réussi, à des retours précis avec notamment la mise en activité (récapitulatif, microtâches ou questions de P.R.L) leur permet d'accéder à une métaréflexion sur leur propre stratégie d'apprentissage, favorise la mémorisation et les conduit ultimement vers plus d’autonomie".

 

Le mémoire

 

Par fjarraud , le jeudi 27 septembre 2018.

Commentaires

  • cjpuren, le 27/09/2018 à 10:05
    C'est une bonne idée que de signaler ainsi des mémoires d'ESPE. Y compris dans ma perspective un peu particulière, qui est de voir les idées en cours en ESPE pour la didactique des langues.

    Concernant la publication par cette ESPE de Grenoble, à quoi riment les limitations qu'elle impose à l'usage ? Le format, sauf erreur de ma part, ne permet la recherche automatique (CTRL + F) que page par page. Par les temps qui courent (où les chercheurs courent, eux aussi, après le temps...), autant laisser ce texte sur une étagère poussiéreuse de bibliothèque.

    C.P.
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