" Par pure idéologie comptable, vous appliquez à l’enseignement une purge qui rappelle celles qui ont été pratiquées durant les années Sarkozy, avec les dégâts que l’on sait. Cette décision compromet le redressement de l’école engagé en 2012 grâce à un grand plan de recrutement et de formation des enseignants, alors que 40 000 élèves de plus sont attendus". Le 18 septembre, la députée PS et ancienne ministre de la réussite scolaire, interpelle le gouvernement sur les 1800 suppressions de postes. " Comment allez-vous rectifier le tir, après avoir envoyé ce très mauvais signal à la jeunesse de notre pays ?" C'est Benjamin Griveaux qui lui répond : " L’éducation, vous le savez, est au cœur de la politique du Gouvernement, depuis les premiers jours du quinquennat"....

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