" La gestion de l’agence doit sans conteste être améliorée". La Cour des comptes a rendu public le 18 octobre un référé rendu le 26 juillet concernant l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger (AEFE) , principal acteur de l'enseignement français dans le monde. La Cour dénonce " le caractère embryonnaire du contrôle de gestion" de l'agence , le contrôle étant effectué par l'ordonnateur des dépenses.
" À la lumière de ces constats, la Cour est conduite à soulever, une nouvelle fois, la question de la pertinence de confier la présidence du conseil d’administration de l’Agence à la direction générale de la mondialisation du ministère", soulève la Cour. Il peut " apparaître contestable que le directeur général de la mondialisation, responsable d’un des programmes budgétaires finançant l’enseignement français à l’étranger, soit à la fois président du conseil d’administration et assure la tutelle de l’établissement."
La Cour demande de séparer la présidence du CA de la tutelle t de garantir le principe de séparation de l'ordonnateur et du comptable au sein de l'agence.
Le référé
Sur le rapport 2016