Nous avions demandé à l'entourage de la ministre le 9 février ce qu'elle pensait faire suite à l'ouverture du site Bonnenote. La réponse est arrivée via BFM le 20 février. "Je ferai ce qui sera utile de faire", dit la ministre. "Car ce n'est pas acceptable par rapport aux repères que l'on défend à l'école". Un second site de vente de devoirs s'est ouvert, créé par un importateur de produits protéinés..