" En plus de l’intérêt scientifique que l’on peut y voir, les résultats issus de ces projets peuvent résulter en propositions en terme de gestion de l’environnement, dans l’optique de la rendre plus pertinente et plus durable", dit fort justement le blog [LAB]MAP, un site de La main à la pâte. Les sciences participatives sont des programmes de recherche associant des scientifiques et une participation « citoyenne » d’amateurs volontaires, pouvant être des enseignants et leurs classes. Ils se placent en complément des programmes des grands organismes de recherche, sans lesquels ils ne sauraient exister : ces derniers sont à l’origine du choix des projets, de la proposition et/ou la validation des protocoles d’observations, du traitement des données… conçus pour pouvoir tirer des conclusions pertinentes. Une fois engagés dans ces actions – en respectant le protocole adopté – les (classes) volontaires vont effectuer des observations, des mesures, des échantillonnages, des comptages… et transmettre ces données sur un site internet dédié.
Sur le blog