Le SGL semble peu se soucier du coût déjà exorbitant de cet examen devenu inutile et qui représente tout au plus un sésame pour l'accès aux études supérieures. Mais il faudrait encore organiser, en plus des épreuves anticipées, des sujets partiels et les corriger... 
Tout cela n'est pas raisonnable. Faut-il rappeler que c'est bien sur les notes du contrôle continu que se basent les écoles qui sélectionnent après le bac (avec la formule consacrée figurant sur tout courrier d'admission positive : "sous réserve de l'obtention du baccalauréat", le sésame donc). Faut-il aussi rappeler que s'il existe un barème national pour le baccalauréat, celui-ci est affiné par académie, volià pour l'équité nationale.
Plus sérieusement, le contrôle continu sur les deux années de première et de terminale, agrémentées de 4 ou 5 épreuves ponctuelles (de quoi occuper une semaine complète, pas plus, une épreuve par jour), cela me semble constituer un juste équilibre.