La FSU a tenu meeting le 22 novembre à Paris. Soulignant que « certaines orientations décidées par la loi de Refondation peinent à se concrétiser (scolarisation des moins de 3 ans, « plus de maîtres que de classes », réforme de l'éducation prioritaire qui risque de laisser nombre d'écoles et d’établissements au bord du chemin…), d'autres sont sources de difficultés (réforme des rythmes scolaires qui après avoir occupé le devant de la scène, produit des résultats largement insatisfaisants ; des ESPE qui font face à des difficultés immenses...), d'autres enfin restent en attente (collège, lycées, gouvernance...) », la Fsu considère que « le compte n’y est pas et que la priorité à l’éducation reste à confirmer. La fédération demande « de l'ambition pour tous les élèves » en améliorant les conditions de scolarisation, et « de l'ambition pour tous les personnels » en améliorant les conditions de travail et revalorisant les salaires.