La constante macabre en colloque 

En partenariat avec Le Café pédagogique, le Mouvement contre la constante macabre d'André Antibi organise le 4 juin à Paris son colloque annuel.

Le système EPCC, dont l'objectif initial est d'aider les professeurs à éradiquer la constante macabre, présente d'autres avantages très importants : augmentation sensible de la confiance entre élèves/étudiants et enseignants, amélioration de la relation entre les parents d'élèves et l'École, forte incitation des élèves et des étudiants à travailler, meilleur bien-être à l'école et à l’université. C'est sur ces deux derniers points qu'un accent particulier sera mis lors du colloque. Il apparaît qu'une spécificité importante du système EPCC est de concilier travail et bien-être. Ce point présente un intérêt tout particulier, compte tenu des derniers résultats des enquêtes internationales sur le bien-être des élèves.

 

Avec comme chaque année la participation de personnalités de renom, parmi lesquelles des responsables d’associations, de services ministériels, de syndicats, … notamment le Recteur Philippe Joutard (Historien), Paul Malartre, Claudine Kahane (co-SG du SNESUP-FSU), Mathieu Hanotin (VP du Conseil Général de Seine-Saint-Denis), Jacques Moisan (ancien doyen de l'IG de Mathématiques), Pascal Balmand (SG de l'Enseignement catholique), Jacques Grosperrin (auteur du Rapport parlementaire du 7 avril 2010), Emmanuel Davidenkoff (Rédacteur en chef de l’Étudiant), François Jarraud (Rédacteur en chef du Café Pédagogique), … Ont également prévu d’y participer Jean-Michel Blanquer (ancien Directeur général de la DGESCO) ; ainsi que la FAGE, la FIDL, l’UNEF, l’UNL (Mathias Nieps),

 

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Par fjarraud , le mardi 29 avril 2014.

Commentaires

  • Viviane Micaud, le 30/04/2014 à 20:23
    Dommage que André Antibi, a choisi de vulgariser le terme "constante macabre" sous la pression des pédagogos. Il y a des choses justes dans son analyse. Cependant le terme constante macabre est un dénigrement subliminal des enseignants. Il inculte dans les esprits que ceux-ci font exprès de pénaliser les jeunes alors que la quasi-totalité d'entre eux font au mieux pour les aider.
    Contrairement à ce qu'écrit cet article, les problématiques de notation interviennent de manière très secondaire dans le bien-être scolaire. 
    Les principaux causes du mal-être à l'école sont :
    - les violences entre élèves, en particulier envers ceux qui s'investissent dans l'effort scolaire,
    - le fait que les devoirs à partir de la 4ème sont infaisables pour ceux qui maîtrisent insuffisamment l'expression (d'où la spirale de l'échec),
    - des informations inadaptées voire fausses sur le système scolaire et l'orientation qui créent des anxiétés inutiles et des mécompréhensions sur la meilleure manière de réussir.
    Je ne suis pas contre de travailler sur le ressenti de la notation. Mais, il faudrait éviter les exagérations de ses conséquences sur les élèves.
  • Jean Agnes, le 29/04/2014 à 07:55

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