" L’histoire récente témoigne que de grandes ambitions peuvent être abandonnées par des ruptures dans le suivi d’une politique nationale pour l’École, des changements de ministres", écrit le Cape, un collectif d'associations partenaires de l'école. "L’abandon à bas bruit d’une politique d’impulsion nationale, y compris de priorité budgétaire, transversale et cohérente, serait sans doute fatal à l’avenir même d’un service public de l’éducation renforcé sur tous les territoires de la République". Le Cape appelle " tous les responsables politiques, locaux et nationaux, à ne pas mettre en péril cette indispensable continuité de la Refondation".