Peillon : L'objectif c'est bien de changer la classe 

"Nous avons encore beaucoup de chemin à parcourir pour convaincre les uns et les autres pour que le changement apparaisse dans les classes". S'adressant aux cadres du ministère, le 17 janvier, à l'occasion des voeux ministériels, Vincent Peillon  a repris les réformes menées à bien en 2013 et rappelé le cap.

 

Le ministre a affirmé avoir "toujours le soutien des plus hautes autorités de l'Etat". Mais "la bataille que nous menons pour maintenir les moyens de fonctionnement et d'action sur certains sujets n'a pas toujours été simple cette année", précise-t-il. "Ilo y a des concentrations de moyens pas toujours au service de ceux qui en ont l eplus besoin", a déclaré le ministre faisant peut-être allusion aux CPGE. "Notre responsabilité c'est aussi de faire ce travail pas toujours de dire "plus, plus". V Peillon a estimé que la bataille des rythmes "n'a pas été simple" mais "qu'on va y arriver". Il a rappelé que "il ne peut y avoir de refondation de l'école sans une adhésion profonde des personnels".

 

George Pau-Langevin a rappelé la nécessité pour l'Ecole de travailler avec tous ses partenaires et fixé un cap général à la réussite éducative. "Nous sommes en train de bâtir la génération de demain. De permettre aux jeunes d'enter dans le monde en ayant confiance en eux et dans les valeurs de notre pays".

 

Par fjarraud , le lundi 20 janvier 2014.

Commentaires

  • heurtebise, le 21/01/2014 à 05:57
    Le premier chemin à parcourir eut été de venir voir ce qui se passait dans les classes (sans caméras et journalistes s'entend) pour comprendre ce qui s'y passait, mais on ne peut pas à la fois contenter les professionnels du tourisme, la pensée néo-libérale, le troisième acte de la décentralisation et la réalité du terrain de ceux qui œuvres quotidiennement à l'éducation nationale. Il n'y aura rien de bâti parce que la refondation Peillon n'a aucune fondation, parce que la loi d'orientation Peillon n'a aucune direction et le déforme des rythmes déstructure un équilibre maintenu fragilement depuis 17 ans de casse de l'éducation.  Le premier changement dans les classes serait de voir ENFIN les effectifs baissés de façon significative... Allez monsieur Peillon, l'Europe vous attend, laissez l'éducation aux professionnels et retournez à votre carrière et vos ambitions. Vous avez déjà fait beaucoup de mal en ne répondant pas aux attentes de la profession, ayez au moins la décence de partir à temps!
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