François, je comprends tellement que vous ayez supprimé mon message. Ce n'est peut-être pas tant  que vous n'ayez rien contre son contenu. Mais peut-être plutôt que vous en validez le sens : il y a des limites sérieuses à l'intrusion du réel numérique dans la classe, thèse en contradiction avec le sens unilatéral de l'article.

Je remets le bon lien vers l'article :
http://www.cafepedagogique.net/lemensuel/lenseignant/schumaines/histoire/Pages/2013/144_chronique.aspx
"A nouveau, les usages du numériques « encerclent » l’espace de la classe sans véritablement y pénétrer. Néanmoins la question se pose de savoir jusqu’à quand la classe restera rétive au numérique et à quel moment les barrières de la classe céderont. Cette question est essentielle, car ignorer les pratiques du numériques des élèves hors la classe revient à créer des inégalités entre élèves non seulement dans la maîtrise des outils, mais dans les apprentissages scolaires."

Mon commentaire mettait l'accent, à l'aide de 2 copiés/collés publicitaires de mon compte Facebook, sur l'intrusion des publicités sur le mur même des Facebook, entre les articles de personnes de mon réseau. Des collègues viennent de renoncer à son usage en classe.

Pour Twiter pas encore de problème. Rappelons l’alternative "libre", Babytwit :
https://babytwit.fr/main/login

Pour Wikipédia, en rappel, les articles dans les sciences dures sont en général convaincants. Les articles dans les sciences humaines ont du mal à faire la synthèse des différents points de vue qui traversent plus encore ces sciences. Les articles sur les artistes sont eux souvent faibles. Les passionnés s'y autorisent sans compétences. Les "experts" effrayés fuient.

Sans rancune aucune pour la suppression du commentaire. N'importe quel enseignant aurait eu votre réflexe, protecteur de tous. Merci à vous.
Cordialement.