Réagissant à l'assassinat de Clément Méric , le 6 juin, Vincent Peillon a jugé normal de dissoudre "des groupes qui mettent la vie des gens en danger". "Au delà des forces de police", a continué le ministre, "i faut que tous les citoyens raisonnables aussi fassent pression pour que ces attitudes ne colonisent pas l'espace public".