"Vae Victis" La formule resurgit au Québec où une équipe universitaire affirme que le harcèlement entre jeunes est lié à des facteurs génétiques. Pour ces chercheurs, le problème du harcèlement n'est pas à creuser du coté des bourreaux mais du coté des victimes.
"Certaines caractéristiques transmissibles génétiquement, qui se répercutent sur l'apparence physique ou sur les comportements – notamment l'agressivité, l'impulsivité ou l'hyperactivité – augmenteraient le risque de rejet ou de victimisation", affirme un chercheur. En toute logique il poursuit : " La bonne nouvelle est qu'il est possible de repérer dès la maternelle les enfants qui risquent d'avoir des rapports difficiles avec leurs pairs et d'intervenir rapidement auprès de ceux-ci".
On pourrait même carrément commencer par les parents ??
Communiqué