Harcèlement : Les victimes sont prédestinées affirme une étude québécoise 

"Vae Victis" La formule resurgit au Québec où une équipe universitaire affirme que le harcèlement entre jeunes est lié à des facteurs génétiques. Pour ces chercheurs, le problème du harcèlement n'est pas à creuser du coté des bourreaux mais du coté des victimes.

 

"Certaines caractéristiques transmissibles génétiquement, qui se répercutent sur l'apparence physique ou sur les comportements – notamment l'agressivité, l'impulsivité ou l'hyperactivité – augmenteraient le risque de rejet ou de victimisation", affirme un chercheur. En toute logique il poursuit : " La bonne nouvelle est qu'il est possible de repérer dès la maternelle les enfants qui risquent d'avoir des rapports difficiles avec leurs pairs et d'intervenir rapidement auprès de ceux-ci".

 

On pourrait même carrément commencer par les parents ??

 

Communiqué

Par fjarraud , le lundi 21 janvier 2013.

Commentaires

  • zobidon, le 21/01/2013 à 07:23
    Victimiser les victimes ou naturalisation du destin de victime?
    J'avoue rester dubitatif sur les conclusions de cette recherche. D'autant que le protocole n'est pas très détaillé dans le communiqué.

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