Reçues le 17 octobre par Vincent Peillon, les collectivités territoriales ont pu négocier avec le ministre leur participation dans le refondation. A l'issue de la réunion, François Bonneau, président de la région Centre et vice-président de l'ARF en charge de l'éducation, explique pourquoi ce nouvel acte est nécessaire. Il précise aussi dans quel esprit les régions entendent utiliser leurs nouvelles prérogatives en matière d'orientation et de formation.
La réforme des rythmes scolaires au primaire fait grand bruit. Que préconisez vous pour l'accompagnement scolaire de fin de journée ?
Il faut de la souplesse dans la mise en oeuvre et tenir compte des conditions locales. En aucun cas des enfants ne doivent quitter l'école avant 16h30. Cela représente un volume de 2h à 2,5 h d'interventions faites par des moyens éducation nationale ou des moyens des collectivités territoriales. Dans nombre de communes le périscolaire est déjà développé et cela se traduira surtout par un transfert de moyens du mercredi matin aux après-midi.
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