Curiosité et plaisir à l'Ecole 

"Voulons-nous des élèves avec une tête bien pleine de compétences disciplinaires ou désirons-nous former des élèves avec une tête bien faite, curieux et capables de s'adapter aux recherches nécessaires pour trouver et comprendre les connaissances dont ils auront besoin par la suite?" interroge J Nimier sur son blog. "La réalité est évidemment plus complexe, les deux sont nécessaires, mais le clivage qui se profile dans la "Rénovation" est aussi présent en chacun de nous: nous savons que pour les années futures il nous faudrait faire un enseignement plus interdisciplinaire, en utilisant davantage le travail d'équipe, les TIC, la curiosité des élèves et donc des sujets proposés par eux ... et en même temps nous sommes attachés à nos habitudes, à nos savoir faire, à nos routines. Chacun résout comme il le peut ce conflit". C'est l'occasion de revenir sur le lien entre plaisir et Ecole avec une réflexion de MF Bonicel, F Zannier, L Turbetet D Marzt.

 

Sur Pedagopsy


Par fjarraud , le mardi 16 octobre 2012.

Commentaires

  • mormor, le 16/10/2012 à 09:31
    Comment réfléchir dans le vide ? L'intelligence ne se crée pas ex nihilo, elle a au contraire besoin d'être stimulée.
    Depuis des décennies, on vide progressivement nos enseignements de leurs contenus, les heures de cours se réduisent à peau de chagrin.
    Par ailleurs, par volonté de gérer des flux, à moindre coût, l'institution est de moins en moins exigeante, tant sur les passages et les orientations que sur la délivrance des diplômes.
    Les problèmes prioritaires ne sont pas le travail interdisciplinaires ni les TIC. C'est par un renforcement des contenus disciplinaires et une école exigeante que l'on stimulera nos élèves.
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