" La continuité de la mise en œuvre du socle commun, qui n’est pas remis en cause par le ministre mais qui va faire l’objet d’une redéfinition, exige le maintien du LPC dans sa fonction d’attestation de l’acquisition des grandes compétences du socle aux différents paliers", écrit le Se Unsa en réaction à la décision de V Peillon, annoncée dans l'entretien accordé au Café pédagogique, de remplacer cette année le livret personnel de compétences par un LPC provisoire allégé.
Pour le Se unsa, "le LPC, malgré ses défauts, a conduit les équipes à s’approprier les compétences du socle commun, à questionner les modalités traditionnelles de l’évaluation... Le LPC n’est pas seulement l’outil technocratique dénoncé par ceux qui en demandent la suppression, il représente une première tentative, certes insatisfaisante, de mettre en œuvre une évaluation progressive, et positive des acquis des élèves".
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