L'Expresso du 9 Décembre 2011 

 

  Par François Jarraud

 

LE FAIT DU JOUR

Voie technologique : Pour le SNES, "ça va péter"...

ÉDITORIAL

L’enjeu du technologique et du professionnel

LE SYSTEME

Rencontres PEP : Les convictions d'un mouvement engagé l Fondapol : Pour en finir avec l'école républicaine... l L'OZP décrypte le vade-mecum du préfet des études l L'UNSA veut la tête du recteur de Martinique l Quel recrutement pour les L.P. ? l Les chefs d'établissement du Snpden prêts à évaluer sous condition les enseignants l Les Pass Education de retour en janvier.

L’ÉLÈVE

Sortir : Cézanne et Paris l La santé des enfants de 5 ans.

LA CLASSE

Collège : Calendrier des conseils et du brevet l Lycée : Les dates du bac et des conseils de classe l Mesures de responsabilisation : Un exemple de convention au J.O. l EIST : Gare au bouillonnement demande le ministère...

LA RECHERCHE

Agnès Van Zanten : Critique de la personnalisation …

LES DISCIPLINES

Les révoltes du monde arabe l Le sport rend plus savant l Les châteaux de la Seine.

 

 

 

Voie technologique : Pour le SNES, "ça va péter"

STL, STI, STG, ST2S : toutes les voies technologiques enchaînent les réformes, certaines la réforme de la réforme. Comment cela se passe-t-il sur le terrain ? Pour le Snes, qui réunit le 8 décembre un colloque national, la situation devient très grave dans certaines branches comme STI ou STL. La réforme génère une grande souffrance au travail.

 

L'enseignement technologique est en crise. S'il représente encore un quart de tous les bacheliers, celle-ci diminue. Toutes les voies connaissent une érosion à l'exception de ST2S. Elle est particulièrement forte en STI. Et cela même si la filière donne accès à des études supérieures et à une insertion réelle dans  l'emploi. Aujourd'hui son identité est questionnée entre filières générales réformées et un enseignement professionnel qui devient une voie d'accès au supérieur.

 

"On n'est pas loin de se foutre sur la gueule pour savoir qui va rester", témoigne un enseignant de STI. "Les inspecteurs nous renvoient la responsabilité de tout ce qui va mal". Les témoignages réunis par le SNES pour le colloque de la voie technologique viennent de toute la France, de Bayonne à Dunkerque. Pourtant les situations décrites en STI et STL sont partout les mêmes. Les seules interrogations c'est de savoir quand les élèves vont exprimer leur ras le bol.

Lisez le reportage

 

 

N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite).

Pour pouvoir réagir, il faut préalablement s’être inscrit sur le site et être identifié. À très vite !

 

L'Éditorial de Jean-LOuis Auduc

 

L’enjeu du technologique et du professionnel

En 2011, un bachelier (71,6% d’une classe d’âge)  sur deux obtient son diplôme dans le cadre d’une filière technologique ou professionnelle.

 

Cette situation a deux conséquences. La part des bacheliers généraux dans la classe d’âge n’a que peu augmenté depuis vingt ans. Tous ceux qui écrivent sur le baccalauréat « distribué à tout le monde » devraient se souvenir que sur 21 ans, entre 1990 et 2011, le pourcentage d’une classe d’âge obtenant un baccalauréat général n’a augmenté que de 7,5% alors que le pourcentage total de bacheliers toutes filières confondues s’est accru de 28,1%.

 

Ce développement des bacheliers technologiques et professionnels a eu inévitablement des conséquences dans l’enseignement supérieur que nous permet de bien mesurer la note de la DEPP parue le 14 novembre 2011. Il y a en France en 2010-2011 environ 2 300 000 étudiants dont seulement 1 400 000 sont inscrits dans les universités. Pourquoi cette différence ? parce que les bacheliers technologiques et professionnels qui vont dans l’enseignement supérieur choisissent peu l’université (28,5 % pour les bacs technos, 7,7%  % pour les bacs pros). Ils s’orientent indépendamment des IUT, avant tout vers les BTS, les écoles spécifiques, les écoles de commerce et l’apprentissage (150 000 étudiants préparent un diplôme du supérieur par l’apprentissage). L’enseignement privé, de ce fait, représente dans le supérieur 1 étudiant sur 6, majoritairement sous statut privé « marchand », puisque les instituts catholiques qui représentaient 7,8% en 2000 n’en représentent plus que 6,5% en 2010.

 

Au total, cette poussée des formations professionnelles et technologiques permet en 2009 que 46,4% des jeunes d’une classe d’âge sont titulaires d’au moins un diplôme de l’enseignement supérieur ( 53,8% pour les femmes et 39% pour les garçons).  L’objectif des 50% de diplômés du supérieur est donc atteint et dépassé en 2011.

 

On peut donc dès lors se demander, quand on se rappelle que les enseignants de ces filières ont été les grands oubliés de la mastérisation, pourquoi, face aux attaques contre cette voie incontestable de promotion sociale qui permet la réussite de nombreux jeunes, il y a une telle absence de ripostes et de réflexions ? Est-ce parce que les enseignants, les décideurs, ceux qui écrivent ou qui parlent dans les médias n’y scolarisent pas leurs enfants ?

 

Pourquoi le monde universitaire laisse-t-il se développer le privé marchand et l’apprentissage sans proposer des perspectives à la hauteur du nombre de bacheliers concernés ?

 

Pourquoi tant de réticences à dire qu’aujourd’hui un diplôme du supérieur sur deux (comme les bacheliers) vient de ces filières et continuer dans une démarche élitiste à ne diffuser des chiffres de diplômés du supérieur qui ne concernent que les  voies universitaires générales ?

 

L’enjeu des qualifications professionnelles supérieures est décisif pour le développement économique futur d’un pays. Il est indispensable qu’il figure au premier plan des préoccupations de ceux qui exercent ou qui veulent exercer le pouvoir  et qu’ils ne se contentent pas de mener un débat sur la liaison secondaire-supérieur qui ne concerne que les formations traditionnelles. N’est-il pas utile de rappeler que ce sont des ministres de gauche en 1986 et en 2000 qui ont créé le bac pro, la licence professionnelle afin de permettre une diversification et une démocratisation du supérieur ?

 

Jean-Louis Auduc   

 

 

Revenir au sommaire

 

 

Rencontres PEP : Les convictions d'un mouvement engagé

"Il ne peut y avoir de bonne gestion que si elle est ancrée sur des valeurs". Centenaire mais pas morte. Pour ses 1ères Rencontres, réunies à Issy-les-Moulineaux du 8 au 10 décembre, la PEP (Pupilles de l'enseignement public) s'est fixée un objectif : affirmer qu'elle est bien un mouvement, au moment où elle s'organise et se développe.

 

C'est un retour aux origines. La PEP est née durant la première guerre mondiale, de la volonté de Républicains, comme Durkheim ou Léon Bourgeois, de venir au secours des orphelins de guerre. Ces pupilles de la nation, les philosophes de la Sorbone voulait aussi les arracher à la charité de l'Eglise. Et la PEP a affirmé tout de suite ce qui reste aujourd'hui ses valeurs de base : solidarité , laïcité. "Une laïcité qui n'est pas un mot utilisé pour exclure", précise de suite Joël Derrien, président de la Pep.

Lisez la suite

 

Fondapol : Pour en finir avec l'école républicaine...

Le prêt à penser de droite vient de glisser à l'extrême droite. Fondapol, un thinktank qui inspire l'UMP, propose de créer deux systèmes éducatifs, celui des gueux et celui des gens bien. Et à l'intérieur des systèmes de rétablir la saine hiérarchie qui fait des professeurs les garde chiourmes d'un côté, les valets de l'autre, de l'ordre bourgeois. Il fallait oser. Ils l'ont fait. Et cela va peser lourd sur la campagne électorale.

 

La France des Bantoustans. Quand nous regardons Nicolas et Mamed, vous, moi, nous croyons bêtement qu'ils ont des droits égaux. Fondapol ne le pense pas. Pour Fondapol, "de nouvelles formes d'hétérogénéité sociale rendent désormais impossible la distribution d'un même savoir à tous". Cette "proposition n°1"  fonde tout le programme de Fondapol. Elle affirme que les pauvres sont inéducables. La vision qu'elle donne du pays c'est celle d'un pays composé de barbares et de citoyens, la coupure entre les uns et les autres étant sociale. Cette vision va plus loin que celle de la IIIème République avec ses deux systèmes éducatifs, celui des pauvres et celui des riches, en ce sens où elle affirme l'inéducabilité des pauvres là où la République prônait leur élévation. C'est une France des Bantoustans que propose Fondapol.

 

Deux écoles pour deux pays. Fondapol propose donc la création de deux systèmes éducatifs. D'un côté "l'école fondamentale", comprenez celle où l'on tente de transmettre le minimum de maths, français, EPS et d'obéissance dont les enfants de pauvres ont besoin pour rester pauvres. De l'autre la vraie école où Fondapol instaure la sélection permanente et où règne le principe d'autorité incarné par des chefs d'établissement tout puissants. La première s'arrête en 3ème pour les meilleurs.

 

Les professeurs sont des idiots. Où se situent les professeurs dans cette vision d'apartheid social ? Pas très haut si on en juge la proposition qui prévoit le doublement de leur salaire. Parce que Fondapol propose aussi que "les enseignants doivent être dans l'établissement de façon continue toute la semaine". Mathématiquement "l'impact budgétaire sera neutre grâce à l'augmentation du nombre d'heures de présence devant les élèves". Et oui si le certifié ou le PE fait 38 ou 40 heures de cours par semaine on peut généreusement lui doubler son salaire. C'est une nouvelle application du "travailler plus pour gagner plus"...

 

Quelles conséquences ? On ne sait à l'heure actuelle pas ce que sera le programme du candidat Sarkozy. Ce que signifient les "propositions" de Fondapol c'est que la pensée de droite a rompu les amarres qui l'enchaînaient aux principes républicains. Fondapol prêche la guerre sociale. Ca promet une campagne violente que Fondapol reste l'inspiratrice du candidat de droite ou qu'elle devienne son repoussoir.

Les propositions de Fondapol

 

L'OZP décrypte le vade-mecum du préfet des études

L'Observatoire des zones prioritaires décrypte le "vade-mecum" que vient de publier le ministère. " La fonction de préfet des études, comme d’ailleurs l’ensemble du dispositif Eclair, reste très centrée sur le second degré et ne prend en compte que marginalement la liaison interdegrés et la recommandation de donner la priorité à l’école primaire (maternelle comprise) qui fait consensus chez les observateurs et dans les rapports officiels nationaux ou internationaux. Par ailleurs, le vade-mecum passe totalement sous silence le rôle essentiel tenu jusque-là par les autres acteurs spécifiques à l’éducation prioritaire, que le bilan des RAR effectué par le MEN avait pourtant souligné, notamment pour les professeurs référents".

Article du QZP

 

L'UNSA veut la tête du recteur de Martinique

Qu'a dit précisément André Siganos, recteur de Martinique, lors d'un voyage à Saint Domingue ? Pour l'Unsa "des propos inacceptables à l'égard de la population martiniquaise". Curieusement, interrogé par le Café, l'Unsa renvoie vers un communiqué d'Indépendance et Direction (ID), un syndicat de chefs d'établissement concurrent du syndicat UNSA. Selon ID, le recteur aurait fustigé l'ardeur au travail du Martiniquais et condamné l'usage du créole. Le recteur est accusé d'avoir tenu des propos colonialistes. Il aurait aussi dénoncé le manque de travail de l'encadrement éducatif martiniquais. Dans un communiqué, le recteur dément. "Je me suis inquiété, comme j’ai pu l'entendre formuler par de nombreux responsables martiniquais, de ce que des jeunes aujourd'hui aient pu ne jamais voir leur mère travailler, compte tenu du chômage persistant. Quant au créole, comment pourrait-je en nier l'importance, alors que je suis responsable d'une circulaire permettant à toute école de Martinique d'organiser un enseignement hebdomadaire de créole d'une heure et demie, et ceci au détriment de l'enseignement du français?" La demande rarissime de l'Unsa montre que la crise est grave à la Martinique.

 

Quel recrutement pour les L.P. ?

"Alors que la réforme de la « Masterisation » entre dans sa 2ème année d’application, les conséquences sur la formation et le recrutement des futurs professeurs de l’enseignement professionnel (PLP) sont catastrophiques", écrit le Snuep Fsu. Pour le syndicat, " partout sur le territoire et dans l’ensemble des formations proposées pour les préparations aux concours PLP, nous assistons à un effondrement du nombre d’étudiant-es". Il demande la suppression du Cles2 et du C2i2e ainsi que "des mesures urgentes" du ministère.

 

Les chefs d'établissement du Snpden prêts à évaluer sous condition les enseignants

" Le système actuel de notation est obsolète et inopérant pour reconnaitre l’investissement des personnels comme apprécier leurs compétences professionnelles. Le passage à une évaluation au sein de l’établissement, déjà engagé pour tous les autres personnels, serait reconnaitre le métier des enseignants tel qu’il est aujourd’hui c'est-à-dire significativement défini par l’environnement dans lequel il s’exerce : la classe et l’établissement", écrit le Snpden, principal syndicat de chefs d'établissement. Mais le Snpden reconnaît que l'appréciation de la didactique disciplinaires "relève des corps d'inspection" et ne saurait faire partie de l'évaluation. Enfin le Snpden entend que l'entretien d'évaluation n'ait pas "pour objectif de gérer des flux d'avancement".

 

Les Pass Education de retour en janvier

"Les cartes Pass Education seront bien renouvelées en janvier", annonce le Snuipp qui avait écrit à ce sujet au ministère. Cette carte professionnelle permet un accès gratuit aux monuments nationaux. Le Snuipp demande que les conseillers pédagogiques et les personnels des Maisons départementales du handicap puissent en bénéficier.

Communiqué

 

 

 

Revenir au sommaire

 

 

Sortir : Cézanne et Paris

Cézanne, peintre provençal ou peintre parisien ? Jusqu'au 26 février, l'exposition "Cézanne et Paris" au musée du Luxembourg tord le cou à l'image de Cézanne, artiste solitaire et retiré en Provence. A travers plus de 80 toiles venues du monde entier, elle nous apprend que le "maître d'Aix" a réalisé plus de la moitié de ses oeuvres en Ile de France.

 

Si Cézanne est généralement associé à la Provence, on ne saurait l'y restreindre. Plus de la moitié de son temps consacré à la peinture se passe en Ile de France. Entre 1861 et 1905 ,il n'a cessé d'y revenir et d'y séjourner, effectuant le trajet plus de vingt fois. L'exposition interroge ces incessants va et vient entre le Nord et le Sud et démontre que c'est à Paris ,plus qu'en Provence, que Cézanne élabore les "formules" d'un nouvel ordre pictural qui feront de lui la figure tutélaire des artistes du xxème siècle, "notre père à tous" selon Picasso.

Lisez la suite d el'article

 

La santé des enfants de 5 ans

"Les disparités de santé entre académies touchent des aspects aussi différents que l’asthme, plus répandu à l’Ouest de la France, ou les problèmes d’audition, d’élocution et de vision, qui peuvent influer considérablement sur les parcours scolaires des enfants", écrit une nouvelel Note d'information du ministère. Celle-ci, qui évalue la santé des enfants en grande section de maternelle, montre une très grande disparité entre académies.

 

"Les problèmes de surcharge pondérale sont inégalement répartis sur le territoire national. C’est dans l’académie de Strasbourg que les enfants en surpoids ou obèses sont les plus nombreux (15 %) et celle de Nantes où ils le sont le moins (7 %). En moyenne, 12 % des enfants scolarisés en grande section de maternelle sont en surpoids ou obèses. Les proportions de caries dentaires sont plus fréquentes au nord et à l’est de la métropole (académies de Reims, Lille, Strasbourg et Amiens) ainsi que dans les Dom (académie de La Réunion)... Les enfants qui passent le plus de temps devant la télévision et les jeux vidéo sont ceux des académies des Dom, de Créteil, celles du nord et de l’est de la France".

La note

 

 

Revenir au sommaire

 

 

Collège : Calendrier des conseils et du brevet

Une note publiée au B.O. du 8 décembre fixe le calendrier des conseils de classe de fin d'année et des épreuves du brevet. Ce dernier aura lieu les 28 et 29 juin. Les conseils de classe de fin d'année devront avoir à compter du 13 juin.

La note

 

Lycée : Les dates du bac et des conseils de classe

Le B.O. du 8 décembre publie le calendrier des examens. Les épreuves du premier groupe du bac technologique et général ainsi que du bac professionnel auront lieu du 18 au 22 juin. Les épreuves anticipées sont étalées du 19 au 22 juin.

 

La même note annonce que les conseils de classe portant sur les voeux APB et portant avis sur l'orientation doivent avoir lieu "avant la fin du premier trimestre". Il faut donc espérer que vous avez anticipé sur ce texte ! Les conseils de classe de fin d'année de prmeière auront lieu à partir du 11 juin. La saisie des voeux dans APB du 20 janvier au 20 mars.

La note

 

Mesures de responsabilisation : Un exemple de convention au J.O.

Le Journal officiel du 9 décembre publie un exemple type de convention entre un établissement scolaire et une structure d'accueil dans le cadre des nouvelles mesures de responsabilisation prévues par la nouvelle circulaire sur la discipline dans les établissements secondaires. Le texte prévoit l'emploi du temps de l'élève et le contenu du programme de responsabilisation.

La convention

 

EIST : Gare au bouillonnement demande le ministère

"Cet enseignement, plus créatif et plus actif, développe parfois une réflexion plutôt « bouillonnante », qui n’est pas forcément propice, au début de son déploiement, au développement de la rigueur des élèves", écrit une note de la DEPP. L'Enseignement intégré de science et technologie est expérimenté au collège. La note a interrogé les professeurs des 38 collèges qui l'ont utilisé en 2008-2009. " Avec le temps, les professeurs, plus expérimentés dans l’EIST, transfèrent leurs pratiques nouvellement acquises dans leur enseignement disciplinaire, et développent dans l’EIST celles qui favorisent la rigueur. Les deux types d’enseignement, intégré et disciplinaire, seraient donc amenés à s’influencer l’un l’autre en s’améliorant. C’est pourquoi, malgré des divergences quant aux conditions de faisabilité ou aux modalités de sa généralisation, la quasi-totalité des professeurs semblent d’accord sur le bien- fondé pédagogique de cet enseignement".

La note

 

Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !

Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d'établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d'une lettre d'information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d'enseignement.

L'offre établissements

 

 

Revenir au sommaire

 

 

Agnès Van Zanten : Critique de la personnalisation

"En remplaçant l'objectif d'une école pour tous par celui d'une école pour chacun et en déplaçant la responsabilité de l'Etat vers les individus, ce discours (sur la personnalisation) rompt pourtant significativement avec les valeurs qui ont animé les politiques éducatives depuis l'après-guerre", écrit Agnès Van Zanten dans L'Express. "Par ailleurs, connaît-on vraiment les effets des initiatives qui y sont associées ? Celles-ci peuvent-elles réduire l'échec scolaire et les inégalités sociales face à l'école, inégalités en aggravation constante depuis plusieurs décennies ? Il est permis d'en douter. En effet, leur efficacité est étroitement liée à trois conditions, largement absentes des dispositifs actuels". 

Dans L'Express

 

 

Revenir au sommaire

 

 

Les révoltes du monde arabe

Curiosphère offre un remarquable dossier électronique pour découvrir les révoltes du monde arabe à la fois en vue d'ensemble et par pays. Le dossier s'appuie sur des reportages vidéos auprès des spécialistes. On a là un outil pratique et motivant pour aborder des questions d'histoire et de citoyenneté.

Révolutions du monde arabe

 

Le sport rend plus savant

La pratique sportive améliore les résultats scolaires affirme une étude IZA réalisée par des universitaires suisses. Ils ont calculé que les enfants pratiquant des activités sportives ont de meilleures performances scolaires. POur eux cela tient au fait que ces pratiques développent la coopération et l'estime de soi.

Etude IZA

 

Les châteaux de la Seine

Il était une fois des coteaux verdoyants , abritant des folies et des demeures de maîtres, voire de petits Trianons. Le Cosneil général des Hauts de Seine invite à découvrir dans une visite interactive le méandre du fleuve à la fin du XVIIIème au moment de l'apogée des châteaux.

Les chateaux

 

 

Revenir au sommaire

 

le Cafe

 

Les anciens Expresso ?

Voir L'Expresso précédent

Les archives complètes de L'Expresso

 

L'Expresso directement sur votre site !

Vous nous l'avez demandé par téléphone, par courriel, par fax : comment   afficher sur mon site personnel les informations quotidiennes de L'Expresso ? Le webmestre du Café vous propose deux solutions simples qui nécessitent juste le copier-coller de quelques lignes.

 

Vous pouvez ainsi faire bénéficier les visiteurs de votre site  d'une information quotidienne et leur permettre d'être les premiers informés dans leur établissement.

Les conseils du webmestre

 

RSS : Le retour

Le changement de plate-forme avait mis à mal les fils RSS du Café. Ils sont  maintenant pleinement rétablis. Vous pouvez vous abonner aux flux simplement en cliquant sur l'icône RSS en bas de page. Et cela pour chaque rubrique du Café.

 

Participer au Café ?

Il y a bien des façons d'aider le Café : lui manifester son soutien, lui apporter son obole, lui passer des informations. Il y a aussi écrire dans le Café. Si vous vous retrouvez dans les orientations du Café, si vous souhaitez participer à une aventure unique de mutualisation, contactez-nous !

 

Le Café en chiffres

Le Café pédagogique compte plus de 250 000 abonnés à ses différentes éditions. Au mois de mai 2007, nous avons reçu 611 728 visiteurs qui ont généré plus de 28 millions de hits.

 

Le Café à la carte

Si vous découvrez Le Café Pédagogique, sachez que vous pouvez recevoir chez vous, dès parution et gratuitement, "L'Expresso", le flash quotidien d'actualité pédagogique et toutes les éditions du Café pédagogique.

Pour s'abonner

 

Revenir au sommaire

 

Par fjarraud , le vendredi 09 décembre 2011.

Partenaires

Nos annonces