L'Expresso du 9 Février 2011 

 

Par François Jarraud

 

LE FAIT DU JOUR

Pour faire un bon élève il faut...…

ÉDITORIAL

Enseignement professionnel : silence on fait la diète

LE SYSTEME

La Fsu, la CGT et Sud appellent à manifester le 10 février l STI-STL : Le Snes demande un moratoire l Quand cadres de l'éducation nationale et des communes travaillent ensemble l Le lycée autogéré de Paris frappé par les suppressions de postes l Un professeur d'éducation musicale condamné pour violences

L’ÉLÈVE

Elèves en difficulté et parents diplômés : pourquoi des erreurs de transmission ?.

LA CLASSE

Réforme du lycée : Les observations d'Education & Devenir l Quels usages pédagogiques pour les tablettes numériques ?

PARTENAIRES

La médiation linguistique l Les champs disciplinaires interrogés par une conférence de consensus.

LA RECHERCHE

André de Peretti à Nantes …

LES DISCIPLINES

Français : L'AFEF analyse le rapport du HCI l Les métiers de santé

 

 

Le fait du jour

 

Pour faire un bon élève il faut...

Pour les enseignants en manque, une bonne nouvelle : il y a encore de "bons élèves". Et il y a encore des distributions de prix. Mardi 8 février, Luc Chatel et Emmanuel Rodocanachi, président de l'Académie des sports, remettaient le "prix national de l'éducation" à deux jeunes élèves de première S. C'est l'occasion de poser la question du cuisinier : quels ingrédients pour réussir un bon élève ?

 

Qu'est ce qu'un bon élève ? Créé en 1987, le prix national de l'éducation récompense chaque année deux élèves, choisis par l'Académie des sports et la Dgesco (direction de l'enseignement scolaire du ministère). Le prix est remis à des candidats choisis parmi des lauréats académiques. Il est ouvert aux élèves des lycées généraux et technologiques de première et aux lycéens de L.P. de première, terminale BEP ou deuxième année de CAP. Les candidats doivent être remarquables pour leurs bons résultats scolaires mais aussi leur valeur sportive et leur implication dans la vie de l'établissement ou dans la société. Les titulaires du prix national de l'éducation frisent la perfection : la tête et les jambes, la bonne camaraderie en plus.

Lisez la suite du reportage du Café

 

 

N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite).

Pour pouvoir réagir, il faut préalablement s’être inscrit sur le site et être identifié. À très vite !

 

 

Enseignement professionnel : silence on fait la diète

La question de l’insertion des jeunes est latente, lancinante et inquiétante. Le flot des sorties sans diplômes ne tarit pas malgré les virages des réformes, les incantations pour motiver élèves et étudiants à déserter les voies jugées non productives et parfois les incitations à prévenir le décrochage scolaire.

 

La question de l’insertion des jeunes est une question à tiroirs où il est commode de mélanger les causes et les conséquences pour ne plus discerner les remèdes. Inadéquation entre la formation et les qualifications requises par le marché du travail, difficultés cognitives ou embûches financières, tout est mélangé dans les constats. Pourtant, chaque motif mérite l’attention et chaque focale mène aux arbitrages budgétaires : moins d’argent pour l’école, moins de moyens pour enseigner et apprendre, moins d’enseignants eux-mêmes qualifiés et la litanie des sombres statistiques n’est pas près de s’arrêter.

 

La qualification est souvent pointée comme le nœud du problème. Comment former les élèves à une qualification leur assurant une insertion professionnelle ? C’était la motivation affichée de la réforme de la voie professionnelle. Proposer un Bac Pro plutôt qu’un Bep. Certes, cela garantissait une augmentation du niveau à la sortie du lycée ; à condition d’accompagner les élèves pour qu’ils réussissent en trois ans ce qu’ils faisaient auparavant en deux ans, Bep et Bac Pro à la suite. Au risque aussi de fermer la porte à ceux pour qui la route est un peu plus longue, ceux qui passaient auparavant par un CAP par exemple. Cette possibilité de cheminer doucement, d’emprunter les passerelles, les chemins de traverse, a été gommée, enfermant chacun dans un devenir tout tracé, bleu de travail à vie contre une perspective de blouse blanche, une alternative sépia dont les couleurs ont été ravivées.

 

L’enseignement professionnel mal considéré, peu connu et pourtant propice à la créativité pédagogique, bénéficie de peu de relais dans l’opinion lorsqu’il trébuche sous le coup des réformes ou de la diète budgétaire. Perçu plus comme une voie de garage que comme une voie d’insertion, plus comme une orientation sanction que comme une autre possibilité pour réussir sa scolarité, il subit dans l’indifférence les mesures contre-productives. Les élèves de la voie professionnelle sont souvent enfants de familles modestes peu habituées aux arcanes du système scolaire et aux instances de décision. L’augmentation des places en CAP pour compenser la suppression progressive des Bep devrait nous inquiéter, elle scelle dans les structures les portes de l’ascenseur social en arrimant au niveau V tous ceux dont les difficultés en troisième ferment l’accès à la seconde professionnelle. La fusion programmée entre les Bac pro secrétariat et comptabilité met à mal l’idée de former à un métier fourrant dans le même sac des métiers du tertiaire dont la technicité diffère.

 

Censée renforcer les compétences pour améliorer l’employabilité, la réforme de la voie professionnelle perd de son sens sous les coups de boutoir de Bercy. L’enseignement professionnel se nourrit de travaux et d’applications pratiques, gourmands en matériels et en encadrement, le prix à payer pour une insertion réussie et également une compétitivité de l’économie. Rogner sur la qualité éducative, c’est rogner aussi sur les compétences, les savoir faire acquis au lycée, diminuer les chances de trouver un emploi, de s’insérer. Alors, pour ne plus regarder impuissants la pente descendante des statistiques de l’insertion des jeunes, veillons sur l’enseignement professionnel.

 

Monique Royer

 

 

Revenir au sommaire

 

 

La Fsu, la CGT et Sud appellent à manifester le 10 février

Pour protester contre les suppressions de postes, la Fsu, la Cgt et Sud appellent à la grève et à manifester le 10 février.

 

" La FSU appelle les personnels à être en grève le 10 février pour dénoncer les suppressions de postes et exiger une autre politique éducative". Le syndicat estime que " en affirmant qu’il est toujours possible de faire mieux avec moins, le gouvernement se défausse de ses responsabilités sur les personnels du service public !". Il annonce de smanifestations dans plus de 70 départements. " Les choix du gouvernement ne règlent en rien, et même aggravent les difficultés réelles du service public d’éducation. Ils ne répondent pas aux besoins éducatifs de notre pays. Comment assurer la réussite de tous les élèves à tous les niveaux du système éducatif et élever le niveau de qualification de chacun avec encore 16000 postes en moins pour 62 000 élèves en plus à la prochaine rentrée ?"

 

Pour cette journée du 10 février, le ministère annonce 20% de grévistes dans le primaire. Le Snuipp annonce 40% de grévistes mais sur la seule ville de Paris. La dernière journée d'actions du 22 janvier avait été peu suivie.

Appel Fsu

Les manifestations du 10

 

STI-STL : Le Snes demande un moratoire

"Le SNES renouvelle son exigence d’un moratoire afin de prendre le temps de la construction d’une réforme ambitieuse pour les formations industrielles et de laboratoire pour les jeunes et le développement industriel du pays" annonce un communiqué du Snes. Pour le syndicat cette réforme rencontre "un rejet massif" qui "impose" le moratoire.

 

Le Snes rappelle que le CSE du 4 février a émis un avis négatif sur les programmes des nouvelles filières  STI2D, STL, STD2A. Le 1er février le Se-Unsa et le Sgen avaient écrit à Luc Chatel pour dénoncer la mise en place de la réforme. "L’écart entre les intentions que vous affichez, les déclarations rassurantes de la Direction Générale des Ressources Humaines et la réalité brutale de la mise en oeuvre du plan d’accompagnement dans les académies n’est pas acceptable." La réforme doit être appliquée à la rentrée 2011.

Communiqué Snes

La réforme est mal partie

 

Quand cadres de l'éducation nationale et des communes travaillent ensemble...

Du 2 au 4 février, à Angers, une dizaine d'inspecteurs IEN et une quinzaine de responsables locaux de services scolaires ont travaillé ensemble à l'initiative de l'Esen (école des cadres de l'éducation nationale) et de l'Andev (association des directeurs de l'éducation des villes). Il ont tenté de "repérer les contraintes et les facteurs qui favorisent un travail en partenariat".

 

Pour l'Andev, "c'est au sein des territoires dans lesquels coexistent et travaillent conjointement les acteurs locaux de l'éducation nationale et ceux des collectivités territoriales et des associations que se situe ce qui reste exemplaire du sevice public d'enseignement pour le premier degré".  C'est dire qu'elle se réjouit de voir cette formation devenir pérenne.

Communiqué

 

Le lycée autogéré de Paris frappé par les suppressions de postes

Selon l'équipe du lycée autogéré de Paris (LAP), la suppression de 5 postes menace la survie de l'établissement.

 

"J'ai découvert le LAP. A la différence de mon lycée précédent ça me convient". Milan, un élève de seconde du lycée autogéré de Paris a appelé le Café mardi8 février pour faire part de sa peur de voir son lycée fermé. "C'est un lycée qui a une manière différente d'enseigner", nous confie-t-il. "Dans mon lycée précédent on recevait un enseignement. Ici les élèves participent à la vie du lycée et aux cours. On veut garder notre lycée et on veut avoir notre bac".

 

Le lycée doit faire face à une réduction importante de ses moyens d'environ 20%. Pour l'équipe du lycée cela signifie la fermeture car ca entrainerait la suppression de 5 postes sur 25. Le lycée a lancé une pétition pour obtenir le maintien de ses moyens.

 

Du côté du rectorat on estime que l'effort demandé ne remet pas en question la survie du lycée. Le LAP "restera plus doté que n'importe quel lycée général de Paris". Le problème c'est que justement le LAP n'est pas n'importe quel lycée...

Le site du LAP

 

Un professeur d'éducation musicale condamné pour violences

Le tribunal correctionnel de Cambrai a condamné le 8 février un professeur d'éducation musicale à un mois de prison avec sursis et 301 euros de dommages et intérêts. Il est accusé par des élèves d'avoir donné des coups de carnet de correspondance à l'un et d'avoir bousculé l'autre. Le professeur fera appel de cette décision.

Dépêche AFP

 

 

 

Revenir au sommaire

 

 

Elèves en difficulté et parents diplômés : pourquoi des erreurs de transmission ?

Si la réussite scolaire est transmise automatiquement aux "héritiers", comment expliquer que certains parents très diplômés ont des enfants qui échouent à l'école ? Dans la dernière livraison d ela revue Sociologie, Gaële Henri-Panabière tente d'expliquer cette "anomalie".

 

"La métaphore de la transmission culturelle entre parents et enfants qui met en avant le fait que l’héritage familial ne se limite pas à des dimensions économiques ou biologiques, a pu faire oublier que la socialisation et les apprentissages familiaux ne relèvent pas d’une opération mécanique ou automatique", explique-t-elle. "En la faisant travailler jusqu’à ses points de rupture et dans différentes acceptions, en la confrontant à des observations empiriques notamment menées dans des situations où elle ne semble pas « fonctionner », nous avons pu insister sur les conditions matérielles ou symboliques dans lesquelles les enfants peuvent ou ne peuvent pas construire des savoirs ou des savoir-faire qui s’appuieraient sur ceux de leurs parents. En effet, des manières de faire ou de penser qui pourraient s’avérer scolairement rentables restent concrètement indisponibles pour les enfants de par la division du travail éducatif et domestique entre parents. Ils peuvent également être tenus à distance du fait de l’état des rapports de force internes à la constellation familiale ou par le biais des processus d’identification (notamment sexués) qui trament les relations parents-enfants. Ces relations peuvent être interprétées à la lumière du modèle de la communication (entre émetteurs et destinataires qui ne sont pas toujours en mesure de transmettre ou de recevoir l’information) à condition de tenir compte des limites de cette analogie".

L'article

 

 

Revenir au sommaire

 

La classe

 

Réforme du lycée : Les observations d'Education & Devenir

Quel bilan peut-on dresser de l'accompagnement personnalisé installé en seconde depuis la rentrée ? Pour Education et Devenir, Françoise Clerc nous livre les résultats d'un enquête menée auprès des professeurs de seconde.

 

" On note une difficulté générale à entrer dans la problématique de l’accompagnement. L’usage des mots en est un indice. Les anciennes appellations perdurent (ex. : dans certains établissements on parle encore d’aide individualisée) ou de nouvelles apparaissent (ex. : aide personnalisée)", note F Clerc. " La référence au socle commun n’est jamais évoquée spontanément par les professeurs. La notion de compétence se heurte à un refus massif, faute d’ailleurs d’une approche rigoureuse de la notion. De sorte que les résultats des évaluations du palier 3 ne sont que très rarement utilisés par les équipes de seconde pour orienter les objectifs de l’accompagnement. En revanche, certains lycées ont mis en place des évaluations diagnostiques en s’inspirant des anciennes évaluations d’entrée de seconde."

 

Plus positivement, F Clerc note que " D’une manière générale, les pratiques changent lentement : le travail en équipe n’est pas acquis, la pluridisciplinarité, la dimension transdisciplinaire de l’aide et la conduite d’une analyse réflexive dans le cadre de l’apprentissage du travail personnel ne sont pas familières"; mais que " La demande de formation est unanime". En conclusion, " Éducation & Devenir estime qu’il existe des marges de progression pour lesquelles les établissements ont besoin d’un accompagnement par des intervenants extérieurs et de mutualisation des expériences et des ressources".

L'article

Le désarroi des profs de seconde

 

Quels usages pédagogiques pour les tablettes numériques ?

A la veille d'un séminaire national sur les tablettes numériques, Educnet publie un entretien avec Jean-Michel Blanquer.

 

"Il me semble que nous sommes à l’aube d’un mouvement semblable à celui qui, au milieu des années 1970, a vu la généralisation, dans le cartable de l’élève, des calculatrices …  mais aujourd’hui on pourrait peut-être parler de « littératrices », si vous me permettez le néologisme". JM BLanquer salue avec intérêt les expérimentations de tablettes numériques à l'école. Parmi les contraintes repérée spar le patron de la Dgesco, "La connexion à l’internet sur des matériels « personnels » pose aussi des questions : je suis très attentif à la protection de l’anonymat des utilisateurs et à la qualité des sites internet accessibles en milieu scolaire. Les questions de santé seront aussi étudiées très attentivement qu’il s’agisse de l’exposition aux ondes ou des problèmes oculaires et musculo-squelettiques liés à des usages prolongés et réguliers".

La tribune

 

 

Revenir au sommaire

 

Etablissement partenaire

 

La médiation linguistique

"Parmi les propositions du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues, la consécration de la médiation linguistique comme compétence communicative spécifique est sans doute celle qui a le moins retenu l’attention des didacticiens et des décideurs institutionnels. Or, placer les activités de médiation au coeur de l’apprentissage des langues vivantes constitue certainement l’une des avancées les plus originales et  significatives du CECRL". L'Université Paris Créteil organise le 30 mars un colloque sur la médiation linguistique et la didactique des langues.

Le programme

 

Les champs disciplinaires interrogés par une conférence de consensus

Organisée par l'IUFM de Créteil, le 9 février, la 7ème conférence de consensus opposera et rassemblera des enseignants-chercheurs sur la thématique « Épistémologie, savoirs et champs disciplinaires ».

 

Le principe de la conférence de consensus consiste à exprimer le dissensus qui se fait jour au sein d’une communauté scientifique à propos d’une question controversée et à tendre vers la réduction de ces divergences. Un jury, réuni sous l’autorité d’un président, participe aux débats ; il assure la médiation entre la diffusion des résultats de la recherche et les prescriptions adressées aux formateurs d’enseignants. La conférence entendra notamment François Dosse (tournant pragmatique et herméneutique en histoire), JL Martinand (penser les activités éducatives en sciences et techniques), E Weider (le bilinguisme à l'école) etc.

Le programme

 

Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !

Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d'établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d'une lettre d'information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d'enseignement.

L'offre établissements

 

 

Revenir au sommaire

 

La recherche

 

André de Peretti à Nantes

A 96 ans, André de Peretti promet des surprises à l'occasion de la conférence organisée par l'université de Nantes le 25 mai. Sous le titre "Est-ce que vous dormez ? Mille et une propositions pour innover en éducation", la conférence sera l'occasion d'aborder les questions d'éducation avec le regard humaniste d'A de Peretti. Un événement à ne pas manquer !

S'inscrire

Sur le café : Lettre à un tuteur ou accompagnateur d’enseignant

 

 

Revenir au sommaire

 

Les disciplines

 

Français : L'AFEF analyse le rapport du HCI

"Il semble donc bien que pour aborder la question des difficultés scolaires, une forme d’offensive tout à la fois ethnicisante (pour ne pas dire raciste), anti-pédagogie et anti-sociologie se développe", affirme Bénédicte Etienne dans une tribune publiée sur le site de l'AFEF. "Face aux mensonges, il faut des arguments, face aux pseudo-explications, il faut des analyses, et ces explications et ces analyses, il faut les porter à la connaissance du plus grand nombre" affirme-t-elle. "Se contenter de croire qu’on a raison serait une erreur, dans la situation où nous sommes, et une association comme l’AFEF se doit d’être un relais pour celles et ceux qui persistent à penser et à complexifier, là où d’autres vocifèrent et simplifient. Les articles que nous présentons plus loin peuvent ainsi, chacun pris séparément ou dans la cohérence de leur mise en résonance, se réclamer de ce double impératif de combat et d’exigence."

Article AFEF

Sur le rapport du HCI

 

Les métiers de santé

Le 2 février, Hénart, Yvon Berland et Danielle Cadet ont rendu un rapport sur "les métiers en santé de niveau intermédiaire". Le rapport propose des réponses pragmatiques, en insistant sur la nécessité de former des paramédicaux au niveau Master, afin que ces derniers puissent prendre en charge les pathologies chroniques dans des conditions précises. Ces nouveaux personnels médicaux à responsabilité définie devraient ainsi pouvoir intervenir en relais du médecin, en étant eux-mêmes dotés d’un pouvoir de prescription.

Le rapport

 

 

Revenir au sommaire

 

le Cafe

 

Les anciens Expresso ?

Voir L'Expresso précédent

Les archives complètes de L'Expresso

 

L'Expresso directement sur votre site !

Vous nous l'avez demandé par téléphone, par courriel, par fax : comment   afficher sur mon site personnel les informations quotidiennes de L'Expresso ? Le webmestre du Café vous propose deux solutions simples qui nécessitent juste le copier-coller de quelques lignes.

 

Vous pouvez ainsi faire bénéficier les visiteurs de votre site  d'une information quotidienne et leur permettre d'être les premiers informés dans leur établissement.

Les conseils du webmestre

 

RSS : Le retour

Le changement de plate-forme avait mis à mal les fils RSS du Café. Ils sont  maintenant pleinement rétablis. Vous pouvez vous abonner aux flux simplement en cliquant sur l'icône RSS en bas de page. Et cela pour chaque rubrique du Café.

 

Participer au Café ?

Il y a bien des façons d'aider le Café : lui manifester son soutien, lui apporter son obole, lui passer des informations. Il y a aussi écrire dans le Café. Si vous vous retrouvez dans les orientations du Café, si vous souhaitez participer à une aventure unique de mutualisation, contactez-nous !

 

Le Café en chiffres

Le Café pédagogique compte plus de 150 000 abonnés à ses différentes éditions. Au mois de mai 2007, nous avons reçu 611 728 visiteurs qui ont généré plus de 28 millions de hits.

 

Le Café à la carte

Si vous découvrez Le Café Pédagogique, sachez que vous pouvez recevoir chez vous, dès parution et gratuitement, "L'Expresso", le flash quotidien d'actualité pédagogique et toutes les éditions du Café pédagogique.

Pour s'abonner

 

Revenir au sommaire

 

Par fjarraud , le mercredi 09 février 2011.

Partenaires

Nos annonces