L'Expresso du 14 Octobre 2009 

 

Par François Jarraud

 

LE FAIT DU JOUR

Réforme du lycée : Soulagements et déceptions

ÉDITORIAL

Lycée : Deux ans de perdus

LE SYSTEME

Lycée : P. Meirieu : "un simple lifting" l Lycée : Pour Claude Lelièvre, une réforme élitiste l Lycée : La réforme Sarkozy l Les maths pèsent trop lourd dans le lycée français l L'Assemblée vote la loi sur la formation

L’ÉLÈVE

Le lycée du coté des lycéens… l Une étude anglaise montre les méfaits de l'école à la maison

LA CLASSE

Etablissements, devenez partenaires du Café !

LA RECHERCHE

L'Université d'automne du Snuipp

LES DISCIPLINES

Jean Sarkozy  : 50 000 signatures  l Un tiers de la population sujet aux violences et maladies l Histoire : Gorbatchev raconte la chute du communisme

 

 

Le fait du jour

 

Réforme du lycée : Soulagements et déceptions

Syndicats et associations de parents réagissent à la présentation par Nicolas Sarkozy le 13 octobre de la réforme des lycées. Si certains semblent soulagés par l'extrême modestie des propositions, la majorité des acteurs de l'Ecole est déçue.

 

Devant le nouveau texte, le Snes "prend acte" et évoque "un plan de réforme du lycée prudent et en partie décalé". Si le syndicat évoque "de nombreuses zones d'ombre", il estime que le président " a tenu compte des mobilisations de l'année dernière". Le Snpden accueille favorablement le texte mais pose la question de son application sur le terrain. Il "regrette que la question du baccalauréat soit éludée alors qu’elle est l’interface centrale entre l’enseignement secondaire et supérieur et que l’articulation des enseignements du lycée avec le socle commun soit peu abordée".

 

Déception chez les parents. La Peep "attend une réforme du lycée ambitieuse" , constate "l'absence d'une proposition de changement profond" sur l'évaluation et croit que le texte est l'amorce d'une véritable réforme. La Fcpe doute que le budget permette d'appliquer une seule des mesures anoncées.

 

Et chez les enseignants. " Les changements proposés ne correspondent pas à la réforme ambitieuse que le Sgen-CFDT, seconde organisation représentative des personnels de lycée, revendique" a déclaré ce syndicat. " Le droit à l'erreur est affirmé mais aucune mesure réellement alternative au redoublement n'est proposée… La mise en œuvre de l'ensemble de ces mesures reposera essentiellement sur l'investissement des personnels. Le Sgen-CFDT sera très attentif aux conséquences sur leurs conditions de travail et à la reconnaissance de cet investissement" Pour le Se-Unsa, "la réforme attendra… Le président de la République, sur le lycée, a préféré des mesures partielles à une réforme d’ampleur. Certaines de ces mesures, comme la fluidification des parcours lycéens ou les rapprochements avec l’enseignement supérieur, sont positives ; d’autres, comme l’aide individualisée ou l’orientation vont se heurter à l’insuffisance des moyens humains".

 

Pour Education & Devenir, sous la plume de Claude Rebaud, "le président Sarkozy propose une série de mesures qui ne sont pas à la hauteur d’un diagnostic sur les difficultés actuelles de notre système scolaire, diagnostic partagé par la droite et la gauche…. Les mesures annoncées dans les domaines de l’orientation, de l’accompagnement des élèves, de la vie lycéenne s’apparentent plutôt à une proposition de catalogue où tout est mêlé, où les concepts restent flous". 

 

Pour JP Huchon, président de la région Ile-de-France, "on ne peut pas lancer une réforme et passer en même temps sous silence les suppressions massives d’emplois dans l’Education. En deux ans, le gouvernement Fillon aura supprimé près de 30.000 postes : 13.500 en 2009, 16.000 en  2010."  La région rappelle que "beaucoup de mesures annoncées reprennent des politiques menées de longue date par le Conseil régional d’Ile-de-France pour les lycées, domaine au cœur de ses compétences".   

Communiqué Sgen

Communiqué Snes

Communiqué Peep

Communiqué Se-Unsa

 

 

 

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Lycée : Deux ans de perdus

Est-il possible de réformer le lycée français ? A l'évidence, non ! Le texte présenté le 13 octobre par Nicolas Sarkozy est davantage un enterrement, celui du rêve d'un nouveau lycée démocratique, qu'une naissance. Ceux qui attendaient une véritable réforme du lycée restent sur leur faim. Ceux qui  espéraient des avancées significatives sur au moins un des points noirs des lycées sont aussi déçus, tant il apparaît que les solutions proposées ont une efficacité nulle ou fortement réduite.

 

Le président promet de rééquilibrer les filières. Mais son projet se limite en fait à la modification des contenus d'enseignement de la seule filière littéraire. Pourra –t-on rendre celle-ci plus attractive uniquement en améliorant le niveau de langues ou en développant une branche "loisirs" ? On évite au moins de cette façon une réflexion d'ensemble sur les enseignements de base à donner au lycée…

 

Le président promet davantage d'égalité et de suivi personnalisé. Mais l'accompagnement des élèves est déjà présent dans les lycées à travers les heures de module et d'aide individualisée à hauteur de 4 heures hebdomadaires. Comment le nouvel accompagnement va-t-il se matérialiser ? Il est probable qu'il remplace ces deux dispositifs, d'ailleurs souvent dévoyés. Sera-t-il suffisant pour réduire les inégalités scolaires ? Le président de la République a d'emblée en début de discours fermé la porte à tout aménagement des contenus d'enseignement et des pratiques pédagogiques. On reste donc dans la philosophie des béquilles pour élèves faibles tel que cela est pratiqué au primaire et au collège. L'efficacité de ces dispositifs reste à démontrer.

 

Le président promet une meilleure orientation. La question du redoublement qui pourrit effectivement le système scolaire français du haut en bas, et qui n'est traitée ici que dans les années où elle est moins criticable, peut difficilement trouver de solution dans un stage de remise à niveau durant un mois d'été. Ce que montrent justement les études sur le redoublement c'est que n'est pas parce qu'on refait le programme qu'on règle les difficultés de l'élève. La solution résiderait plutôt dans un véritable travail d'accompagnement durant l'année scolaire. Les stages passerelles sont une idée mieux adaptée à condition d'être très vigilant sur le processus de réorientation lui-même de façon à le mettre au service du seul élève. A défaut on aura seulement donné un nouvel outil de tri dans les établissements et renforcé l'élitisme.

 

Finalement, avec un texte aussi limité, N Sarkozy enterre la réforme des lycées. Il aura fallu deux années de détermination gouvernementale, de négociations, de crises pour aboutir à un texte aussi modeste, qui ne retient du rapport Descoings que les mesures les plus limitées. Pour un moment encore, le local sera plus beau que le national.

Réformer le lycée : un dossier

 

 

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Lycée : P. Meirieu : "un simple lifting"

"On n'a pas de réforme. On a un lifting du lycée et la mise en place de quelques prothèses" déclare au Café Philippe Meirieu. L'ancien directeur de la consultation sur les lycées en 1998 jette un regard très critique sur les propositions Sarkozy.

 

"La mesure phare, les deux heures d'accompagnement individuel et collectif, reste évasive : où va-t-on prendre ces heures ? Dans les heures de soutien et de vie de classe en 2de ? Il est à craindre qu'elles soient rapidement récupérées et utilisées pour des enseignements disciplinaires. Tant qu'on ne touche pas à l'équilibre central du lycée entre heures de cours et heures d'études, tant qu'on ne touche pas au bac, à l'organisation des disciplines, on a pas véritablement de réforme. La réforme oublie la question de la maîtrise de l'écrit. Pour l'acquérir il faut mettre en place de véritables études dirigées où les élèves apprennent à faire leurs devoirs. Ce n'est visiblement pas l'orientation de cette réforme".

Lire la suite de l'entretien avec P. Meirieu

 

Lycée : Pour Claude Lelièvre, une réforme élitiste

"La structuration générale des filières (avec ses dominantes) n’est plus en cause, et a fortiori la filière "S" (dont on ne touche pas un cheveu)" nous explique C Lelièvre. L'historien de l'éducation a bien voulu analyser pour les lecteurs du Café la réforme Sarkozy. "On ne rompt donc pas avec le lycée élitiste, peut-être même au contraire. Car l’innovation centrale retenue pour la filière "L" (qui serait, paraît-il, transformée en « filière d’excellence internationale ») et les « souhaits » de Nicolas Sarkozy pour que soient réservés aux bacheliers de la série sciences et technologies industrielles (STI) « des » places dans les IUT (ou même que soient développées les quelques classes préparatoires qui leur sont propres) vont peut-être dans un certain sens élitiste. Encore que Nicolas Sarkozy prend bien soin de ne pas s’avancer sur le taux de bacheliers technologiques qui pourrait être requis dans les IUT ".

Lire la suite de l'entretien avec C Lelièvre

 

Lycée : La réforme Sarkozy

Un bon constat pour aboutir à six mesures. Le président de la République a présenté le 13 octobre la réforme des lycées qu'il compte mettre en place. Il maintient le calendrier. La réforme sera présentée aux parents, lycéens et enseignants dans les semaines à venir par le ministre. Les décisions définitives seront prises avant la fin de l'année. L'application aura lieu à la rentrée 2010.

 

Le président a commencé par un constat sévère mais argumenté des difficultés des lycées. Il a mis en avant les inégalités sociales et les sorties sans qualification : 35 000 bacheliers quittant le lycée sans le bac chaque année, 80 000 bacheliers quittant le supérieur sans diplôme, deux fois moins de chance pour un enfant de milieu ouvrier d'accéder à l'enseignement supérieur, 5 fois moins pour une classe préparatoire. Puis le président à présenté une réforme en 6 points.

 

Orientation : "une véritable révolution" annonce Nicolas Sarkozy. Deux principes : l'orientation doit être progressive et réversible. Pour cela le redoublement qui n'est "jamais une solution" doit devenir "l'exception". Pour que les élèves puissent passer en classe supérieure malgré un niveau insuffisant ou changer d'orientation, le ministère créera des stages de vacances. Il y aura des stages passerelle offrant le complément de programme pour changer de filière. Ils pourront aussi avoir lieu en cours d'année. Il y aura aussi de stages de remise à niveau permettant d'éviter le redoublement. Parallèlement le ministère développera les plateformes multimédia d'information sur l'orientation.

 

Tous les lycées devront développer des liens avec le supérieur et les entreprises. Chacun offrira une banque de stages en entreprises. Les services partagés d'enseignement entre supérieur et lycée seront encouragés ainsi que les stages d'enseignants en entreprise. "Comment orienter vers un monde qu'on ignore " demande N Sarkozy ?

 

Réforme de la voie technologique. Le président annonce une refonte des programmes STI. Plus généralement, il annonce des places réservées en BTS et en IUT pour les bacheliers technologiques et la multiplication des classes préparatoires aux écoles d'ingénieur.

 

Il faut sauver la voie littéraire. N Sarkozy voit trois solutions : la création d'un nouvel enseignement de langues et civilisations étrangères propre à la série permettant une ouverture internationale; l'introduction de disciplines nouvelles comme le droit; la création d'un enseignement culturel et artistique ouvrant sur les métiers des loisirs.

 

Accompagnement personnalisé pour les élèves. Pour N Sarkozy il y a trop de cours (1036 heures annuelles en France contre 921 h dans le spays OCDE) et pas assez de plages de travail personnel. Dès la rentrée les élèves disposeront de deux heures d'accompagnement par semaine en seconde. Ce sera étendu en 1ère et Tale en 2011 et 2012. Sous l'autorité d'un enseignant ils pourront bénéficier de soutien ou d'approfondissement ou encore travailler leur orientation. Cet accompagnement devra trouver place dans les horaires actuels "à moyens constants". Une marge de manoeuvre sera laissée aux établissements.

 

Un plan d'urgence pour les langues. N Sarkozy annonce un nouveau plan pour les langues. Les épreuves du bac seront réformées pour laisser plus de place à l'oral. Pour cela l'Etat s'appuiera sur des assistants de langue et la visioconférence. Les élèves seront regroupés par groupe de niveau. Enfin chaque lycée devra passer un partenariat avec un établissement étranger et organiser des voyages à l'étranger pour tous les élèves. L'Etat compte sur les régions pour aider financièrement les enfants des familles défavorisées à financer ce voyage…

 

L'histoire des arts introduite au lycée. Un enseignement transversal d'histoire es arts sera introduit au lycée grâce à une réforme des programmes de français, histoire et sciences. Il sera évalué au bac. Chaque lycée devra avoir un partenariat avec un établissement culturel local. Il devra nommer un enseignant "référent culture". Chaque lycée devra aussi avoir son ciné club avec une salle équipée pour la projection. Une plateforme développée par France Télévision mettra à disposition des établissements une banque de 200 classiques du film utilisables dans ce cadre. Les établissements seront encouragés à prévoir des retransmissions en direct de créations théâtrales ou d'opéras…

 

Plus d'autonomie pour les lycéens. L'engagement associatif ou dans l'établissement des élèves sera reconnu dans le livret de compétences. Ce sera un "plus" pour l'accès à l'enseignement supérieur. L'âge légal de prise de responsabilité associative sera abaissé de 18 à 16 ans. Les élèves seront associés à la gestion de la cantine et des espaces des établissements.

Ecouter le discours de N Sarkozy

Le dossier officiel

Réformer le lycée : un dossier

 

Les maths pèsent trop lourd dans le lycée français

"Aujourd'hui, le problème en France est que les mathématiques ont pris trop d'importance dans le système d'éducation" déclare au Monde Eric Charbonnier, économiste et expert des questions d'éducation à l'OCDE.

 

"La hiérarchie des filières n'est pas aussi marquée dans un certain nombre de pays" poursuit-il, "même si l'importance donnée aux filières scientifiques existe. Les pays qui réussissent sont aussi des pays qui ont développé des systèmes d'orientation entre le secondaire et l'enseignement supérieur beaucoup plus performants qu'en France. Souvent, les élèves français ne savent pas quelle orientation choisir à la fin du baccalauréat. Souvent, les élèves français choisissent aussi les filières mathématiques et scientifiques même si leur vocation est plus axée sur la littérature. Aujourd'hui, cette hiérarchisation pose un problème dans l'orientation entre secondaire et enseignement supérieur".

Dans Le Monde

 

L'Assemblée vote la loi sur la formation

L'Assemblée a adopté le texte de la loi sur la formation professionnelle. Le texte avait été critiqué par exemple pour la remise en cause de la décentralisation : le projet de loi soumet les plans régionaux de formation à la signature du gouvernement.  Le texte doit maintenant être discuté au Sénat le 14 octobre.

Le dossier législatif

Dans le Café

 

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Le lycée du côté des lycéens…

Les deux principales organisations lycéennes ont réagi au texte de N Sarkozy. L'UNL fait un accueil prudent à la réforme. "L’UNL craint une réforme inefficace par manque de moyens… Les intentions du Président de la République restent largement à préciser". La FIDL soulève des questions. "Il y a des manques gravissimes", notamment "rien sur les inégalités entre les établissements… Il n'y a rien sur le fait qu'il existe d'un côté des lycées ghettos, des lycées poubelles, et de l'autre des lycées d'élite".

Communiqué Unl

Dépêche AP

 

Une étude anglaise montre les méfaits de l'école à la maison

Une étude parlementaire anglaise a mis en évidence les inconvénients de l'école à la maison. Selon elle, les enfants éduqués par leurs parents ont deux fois plus de chances d'être connus par les services sociaux et 4 fois plus d'être au chomage.

Article du Guardian

 

 

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La classe

 

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L'offre établissements

 

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La recherche

 

L'Université d'automne du Snuipp

Il reste quelques places, paraît-il , pour participer à l'université du Snuipp. Du 23 au 25 octobre, à Lalonde-des-Maures, l'université sera un point de rencontres des enseignants et des chercheurs. Impossible de citer tous les intervenants. Mais sachez qu'on croisera dans l'université Christian Baudelot et Roger Estabket, Agnès Florin, Philippe Meirieu, Olivier Houde, Michel Fayol, Sylvain Connac, etc. Un grand rendez-vous.

Le programme

 

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Les disciplines

 

Jean Sarkozy  : 50 000 signatures

Près de 50 000 personnes se sont déjà exprimées contre la nomination à la tête de La Défense d'un jeune bachelier, surtout fils du président de la République.

La pétition

 

Un tiers de la population sujet aux violences et maladies

L’enquête Événements de vie et santé (2005-2006) montre que les liens entre des violences subies et un état de santé dégradé s’établissent dans des contextes biographiques personnels difficiles. Si les deux tiers de la population âgée de 18 à 75 ans apparaissent « protégés » des atteintes violentes et des événements difficiles de la vie, le dernier tiers cumule violences subies (atteintes psychologiques, physiques ou sexuelles), état de santé mentale dégradé et parcours biographique heurté.

Etude de la Drees

 

Histoire : Gorbatchev raconte la chute du communisme

"Lors d'une visite en RDA en 1989, à l'occasion du 40e anniversaire de la République est-allemande, j'ai été très impressionné par ce que j'ai vu" raconte Gorbatchev dans Le Figaro. "J'ai longuement parlé avec le président Erich Honecker et il m'a étonné. Je pensais qu'il ne comprenait pas ce qui se passait. Ou qu'il refusait d'accepter le processus qui était en cours et qui, de toute évidence, mettait la question de l'unité de l'Allemagne sur la table."

Article du Figaro

 

 

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Par fjarraud , le mercredi 14 octobre 2009.

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