L'enterrement était à la mode jeudi 14 dans les manifestations parisienne (3.000 personnes) et toulousaine (au moins autant). Une vingtaine de lycées ont été fermés, occupés ou perturbés. Le ministre semble avoir réussi à diviser le mouvement lycéen. La Fidl participe le 15 avril à une rencontre au ministère. Pour elle
"une main se tend vers nous : on ne dit pas "rangez votre main" mais "montrez-nous ce que vous êtres prêts à faire". L'UNL, qui a annoncé le 14 qu'elle n'entendait plus négocier avec F. Fillon, participe le 15 à cette rencontre.
"Il y a un moment où il faut calmer la situation" estime sa présidente.
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