"Je ne laisserai pas une infime minorité bloquer le fonctionnement des établissements et ce à quelques semaines du baccalauréat. Des instructions très fermes ont été données aux recteurs et aux préfets". Face à la menace de blocage des lycées jeudi 7 lancée par la Coordination lycéenne, F. Fillon a promis aux députés de la fermeté. Inversement la Fidl, le Snes ont annoncé qu'ils soutenaient le mouvement. L'Unl, le plus important des syndicats lycéens, est plus réservé : "nous ne lançons pas d'appel mais nous soutiendrons les initiatives qui seront... décidées démocratiquement". Mercredi 6, l'inspection académique de Rodez était occupée. La grogne persiste chez les lycéens.
Communiqué
Dépêche AFP
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