En
redéfinissant les filières de l'enseignement secondaire (elles passeraient
de 15 à 7), en retardant la spécialisation à la dernière année de lycée,
l'Algérie entreprend une réforme de l'enseignement secondaire qui fait suite
à celle de l'enseignement "moyen" (collège). Pour le gouvernement il s'agit
à la fois
"d'adaptation du système éducatif aux nouvelles exigences de la
mondialisation" et de mettre un terme à un système qui génère un fort
taux d'échec. Au bac 2004, seulement 42% des candidats ont été reçus, dont
nombre de filles (112.000 pour 63.000 garçons).
Article du MatinArticle El MoudjahidSur
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