"Les
effectifs des deux classes de ce village se réduisent au fur et à mesure que
le puits accuse des problèmes... Chaque semaine ce sont des parents qui
viennent m'annoncer qu'ils sont obligés de partir avec leurs enfants".
Dans les régions sylvopastorales du Sénégal la scolarisation avance moins
vite que la croissance de la population. La sécheresse est un facteur parmi
d'autres, nous dit Sud Quotidien. Parmi les autres facteurs, les traditions
(mariages précoces, travail des enfants), la corruption qui retarde les
investissements, la pauvreté. Pour un élu local,
"il faut mettre un terme
à la politique de l'autruche... L'ouverture de nouvelles campagne s'avère
nulle sans une approche globale intégrant les autres aspects tels l'accès à
l'eau, à la santé, aux programmes de lutte contre la pauvreté".
Sur
All Africa