Actualité : La grogne des proviseurs et des principaux
"Nous
assurerons ce qui concourt à la réussite des élèves et évidemment à la
sécurité des biens et des personnes, mais nous ne rendrons plus des services
accessoires à l'institution". Libération du 19 mars rend compte de la
grogne des chefs d'établissements. Ainsi l'un d'eux témoigne de son désarroi
:
"Philosophiquement, je ne me reconnais plus dans ce qu'on me demande de
faire.. Ca fait deux ans que je puise 50 % de ma subvention de
fonctionnement dans les fonds de réserve du lycée".Article de Libération
Par François Jarraud , le lundi 22 mars 2004.