Bonjour, je suis assez d'accord (même totalement d'accord) avec le commentaire précédent.
Nous ne voulons pas être de petits chefs mais nous voulons être reconnus!
En France, on a l'art de vouloir monter une catégorie contre une autre pour des questions électorales, pour garder ses propres petits privilèges!
Les directeurs, directrices font tout avec rien...
Les autres (y compris ceux qui sont censés nous défendre), font rien avec tout...
Combien de suicides faudra t-il pour que notre voix soit entendue ?
Des années d'élucubrations sur notre statut, pas statut, miettes de pain ou pas miettes de pain...
Des années de brassage d'air sur le sujet , mais JAMAIS RIEN DE CONCRET!
A t-on déjà vu des entreprises fonctionner sans "chefs" ? Désolé, mais parfois il faut un pilote à bord de l'avion.
Où est le problème que la/le directeur (rice) puisse être reconnu(e) comme un chef d'établissement ? Il prend déjà toutes les décisions sans l'être ? Va à toutes les réunions sans reste rétribué(e) ? 
Pour faire la compta, c'est le dirlo, dans le second degré, c'est le gestionnaire;
Pour surveiller, c'est le dirlo et les enseignants, dans le second degré, ce sont les surveillants ;
Pour les malades, c'est le dirlo, dans le second degré, c'est l'infirmière ;
Pour les cas problématiques, c'est dirlo, dans le second degré, c'est l'assistante sociale ;
Pour les appels téléphonique, c'est dirlo, dans le second degré, ce sont les secrétaires ;
Je continue ?
Les directeurs veulent du temps, de la reconnaissance et cela ne n'est pas trop difficile à comprendre !
Alors statut ou pas statut, peut-on se poser enfin les bonnes questions? ou doit-on encore mourir ?

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De : fjarraud
Publié : mardi 8 octobre 2019 07:32
Objet : Directeurs : Les syndicats s'opposent sur le statut