Il me semble que cette question légitime trouve sa réponse dans divers éléments :
- la concertation générale a déjà eu lieu du temps de CHATEL et a été finalisée par un rapport célèbre sur lequel les différents acteurs vont s'appuyer sur ce dernier pour en sortir une mouture que nous aurons ou pas à approuver ou contester.
- dans les missions attribuées aux représentants du personnels élus en octobre 2011, une est essentielle : nous représenter et donc parler en notre nom. Ils nous représentent à nous de leur faire confiance. On ne se pose pas la question pour les élus politiques à quelque niveau que ce soit (qui demande à être consulté pour chaque décision prise par le conseil municipal?). Donc si nous allons être en vacances, eux vont devoir plancher, ce qui n'exclut pas les règles élémentaires de convivialité.
Dajta
De : fjarraud
Publié : dimanche 8 juillet 2012 10:36
Objet : La concertation entre doute, espoir et obligation
Bizarre, je réitère ma question du 28 juin, où est le mot enseignant dans les acteurs invités à plancher ? Surtout pour une concertation sur le temps des vacances et alors que les syndicats n’arrêtent pas d'inonder ma boite aux lettres avec des mots me souhaitant de bonnes vacances .
De : legiemble
Publié : vendredi 6 juillet 2012 08:12
Objet : La concertation entre doute, espoir et obligation