Ressources 

Sciences : Bestioles à domicile Partez à la découverte des petites bêtes qui vivent chez vous... et même sur vous ! L'exposition fourmille d'ateliers pour se familiariser avec les mœurs de nos petits colocataires, sans se gratter la tête (ou presque). Entre dégoût et fascination, il est surtout question de se rendre compte de la diversité de ce monde parallèle et de son importance. Car, parmi ces charmantes bestioles, certaines s'avèrent très utiles pour l'environnement ou même pour notre bien-être ! C'est à l'espace Champs libres à Rennes. Et c'est particulièrement adapté aux enfants du primaire.L'exposition http://www.espace-sciences.org/jsp/fiche_pagelibre.j[...] Enseigner les sciences au primaireLe dernier numéro de Fenêtres sur cours, la revue du Snuipp, contient un intéressant dossier sur l'enseignement des sciences au primaire. On retiendra par exemple l'entretien avec Pierre Léna, responsable de La main à la pâte, qui pointe la nécessité de la formation et du soutien institutionnel pour promouvoir l'enseignement des sciences au primaire. Deux conditions rarement réunies.
Fenêtres sur cours 349
http://www.snuipp.fr/IMG/pdf/FSC_349.pdf Des maîtres formateurs qui "brassent du vide"Le Snuipp publie un enquête qui récapitule les observations des maîtres formateurs dans le cadre de la nouvelle formation des stagiaires. Selon le Snuipp, " Les missions des MF sont lourdes. Ils ont l’impression d’être au coeur des dysfonctionnements du système. Il en résulte beaucoup de stress et un sentiment de « brasser du vide » !"  La nouvelle organisation dénature la formation. " La tutelle de l’IA a pour conséquence de supprimer le travail avec l’IUFM, alors que pour les MF le travail avec des didacticiens est indispensable pour croiser les regards, enrichir réflexion et pratiques". Enfin elle relève de grandes inégalités selon les départements.
L'enquête Snuipp
http://www.snuipp.fr/Maitres-formateurs-retours-d L'enquête ministérielle
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2011/01[...] Familles-école, la dernière étude de Changements pour l'Egalité

Comment et dans quelles conditions la relation familles populaires-école peut avoir des effets positifs sur les apprentissages scolaires des enfants ?
Cette deuxième partie de l'étude du mouvement sociopédagogique belge, « À l'école des familles populaires », propose un éclairage théorique sur le rapport social que les parents établissent avec l'École.
Les chercheurs s'intéressent aux liens existant entre l'enfant-élève, sa famille et l'école. Les résultats de certaines recherches-actions permettent de mieux comprendre comment le fonctionnement de cette triade a des effets sur la réussite ou l'échec scolaire des enfants. Des récits de pratiques montrent dans quelles conditions la relation familles-école peut avoir des effets positifs sur les apprentissages des enfants.
La transformation des relations familles populaires-école comporte, selon CGé, de véritables enjeux démocratiques et politiques et s'inscrit dans le cadre d'un projet éducatif émancipateur pour les familles.
Téléchargement gratuit de l'étudehttp://www.changement-egalite.be/spip.php?article1967voir aussi :http://www.changement-egalite.be/spip.php?rubrique218 La JPA lance sa campagne de solidaritéMercredi 19 janvier, les vrais voeux de l'éducation n'étaient pas au Grand Palais mais rue de Grenelle. Toute l'Ecole s'était retrouvée pour soutenir la campagne de la Jeunesse au Plein Air (JPA) en faveur des vacances des enfants défavorisés.

Ne boudons pas notre plaisir. Il est rare de voir les différents acteurs de l'Ecole réunis et solidaires pour une cause commune. Pourtant, mercredi 19 janvier, dans les salons du ministère, il y avait bien toute l'Ecole : Luc Chatel, Jean-Michel Blanquer, directeur général de l'enseignement scolaire, François Testu, président de la JPA, quelques syndicalistes, des inspecteurs d'académie, des enseignants, une CPE, et une cinquantaine d'élèves de l'école élémentaire d'Ory de Nancy et du collège Montabuzard d'Ingré (45). Tous sont venus participer au lancement de la campagne 2011 de la Jeunesse au Plein Air.

Lisez le reportage du Café
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2011[...] Faut-il sauver la cursive ? Dans quelques semaines l'état de Virginie, aux Etats-Unis, aura à décider de la disparition ou du maintien de l'enseignement de l'écriture cursive dans ses écoles.

Le phénomène n'est pas propre à cet état américain. La presse américaine s'y signale son érosion rapide depuis une année. Ainsi à l'Université de Portland (Oregon) on compterait seulement 15% des travaux écrits en cursive.  Les autres sont écrits en écriture d'imprimerie.

Plusieurs facteurs expliquent ce déclin de la cursive. Paradoxalement un des facteurs tient à l'école. En Georgie, les évaluations obligatoires qui se sont imposées à l'école évaluent beaucoup de choses mais pas l'écriture cursive. Son apprentissage, assez long, est donc considéré comme du temps perdu par rapport à tout ce qui est évalué et a des retombées sur l'avenir de l'école.

Mais le principal facteur c'est bien sûr le développement des TIC. La plupart des enfants savent utiliser un clavier avant d'apprendre à tracer des cursives. Ils se tournent naturellement vers le mode d'écriture et de lecture sur ordinateur. L'école les aide puisqu'en université les travaux ne sont même plus écrits manuellement. En Georgie, à partir de cette année, les tests de 4ème et de 1ère seront faits sur ordinateurs , y compris la rédaction.

Faut-il laisser mourir l'écriture cursive ? Des enseignants estiment qu'il ne sert à rien de lutter contre une évolution qui semble inévitable car liée à une évolution des pratiques culturelles. Après tout ce ne serait pas la première écriture à disparaître. Les paléographes savent que les évolutions sociales pilotent les graphies. Les défenseurs de la cursive ont aussi des arguments sérieux. Ils soulignent les difficultés de communication entre générations et même entre élèves et professeurs. Enfin ils s'interrogent sur l'impact de cette disparition sur la construction de la pensée. L'écriture manuelle engage le corps et les sens dans la construction de la pensée d'une façon différente que le clavier.
Dans l'Oregon http://www.oregonlive.com/education/index.ssf/20[...] En Georgie
http://www.edweek.org/ew/articles/2011/01/16/[...] Sur un forum d'enseignants
http://www.proteacher.net/discussions/sho[...] Un député UMP demande le renforcement de la surveillance des cours d'écoles"Le nombre de maîtres chargés d’assurer la surveillance des élèves durant les récréations doit tenir compte de l’importance des effectifs et de la configuration des lieux. Il ne peut être inférieur à deux". Eric Diard, député UMP, a déposé cette proposition de loi qui ne serait pas sans conséquences sur les conditions de travail.  Il avait également déposé en novembre dernier une autre proposition demandant l'enseignement des questions environnementales...
Proposition de loi
http://www.assemblee-nationale.fr/13/propositions/pion3100.asp Le Défenseur des droits va-t-il les enterrer ?L'Assemblée nationale a  adopté le 18 janvier en première lecture la loi organique créant un "défenseur des droits". Cette nouvelle autorité semble surtout destinée à éradiquer des autorités jugées trop indépendantes.

Le nouveau Défenseur des droits remplacera la Halde, la Commission nationale de déontologie de la sécurité, le Contrôleur général des lieux de privation de liberté et le Défenseur des enfants, toutes autorités qui avaient fait preuve d'une indépendance  reconnue. Ce sera bien différent pour le défenseur, nommé en conseil des ministres et donc dépendant du président de la République et chargé de remplacer toutes ces autorités à lui seul.

Les députés ont sauvé des éléments du Défenseure des enfants. "Sur proposition du Défenseur des droits, le Premier ministre nomme un adjoint dénommé « Défenseur des enfants »" précise le projet de loi. "Le Défenseur des enfants, en tant qu'adjoint, peut être saisi directement des réclamations qui lui sont adressées : 1° Par un enfant lorsqu’il invoque la protection de ses droits ou une situation mettant en cause son intérêt ; 2° Par les représentants légaux de l’enfant, les membres de sa famille ; 3° Par les services médicaux ou sociaux ; 4° Par toute association régulièrement déclarée depuis au moins cinq ans à la date des faits et se proposant par ses statuts de défendre des droits des enfants".

Pour l'Unicef, qui s'était battue pour le maintien du défenseur des droits, "l'impossibilité pour le défenseur des enfants de s'autosaisir des situations mettant en cause l'intérêt supérieur et les droits de l'enfant, la non prise en compte automatique des recommandations du défenseur des enfants par le défenseur des droits... restent des principes qui vont à l'encontre des positions défendues par l'Unicef".

Le projet de loi
http://www.assemblee-nationale.fr/13/dossiers/defens[...] Les enfants perdent leur protecteur
http://www.cafepedagogique.net/lemensuel/leleve/Pa[...] Brassens à la Cité de la musique Ce sera la grande exposition du printemps. Du 15 mars au 21 août, la Cité de la musique présente une exposition qui s'appuie sur une profusion d'objets qui renvoie à la multiplicité des univers de Brassens. Et aussi quelques gags car Brassens n'est pas un personnage triste. Par exemple le Championnat du monde des Brassens où vos élèves, moustache à l'appui pourront interpréter Brassens devant une caméra... Des concerts auront lieu dans l'exposition du 16 au 19 mars avec Emily Loizeau, la Compagnie des musiques à ouir, La pompe moderne ou les Wampas.
Cité de la musiquehttp://www.citedelamusique.fr/francais/Default.aspx

Sur le site du Café
Sur le Web
Par MBrun , le lundi 24 janvier 2011.

Partenaires

Nos annonces