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COMPTABILITÉ GESTION FINANCE 


Focus sur le tableau des flux de trésorerie

Voilà dix ans, le Parlement européen adoptait le règlement CE n°1606/2002 concernant l’application des normes internationales en Europe. On a, depuis, beaucoup commenté les conséquences de cette décision sur les comptes de nos entreprises, notamment pour ce qui concerne la notion de juste valeur (fair value) mais on oublie cependant que le référentiel IFRS a également impacté la présentation des comptes, dans l’objectif de mieux répondre au besoin d’information financière des investisseurs. Dans ce référentiel, selon la norme IAS1, le bilan et le tableau des flux de trésorerie priment sur le compte de résultat. Il y a 25 ans en France, le conseil supérieur de l’Ordre des Experts Comptables préconisait déjà la présentation d’un tableau des flux de trésorerie permettant d’expliquer la variation de trésorerie, en accompagnement des états de synthèse que sont le bilan et le compte de résultat.

La trésorerie est un facteur clé du maintien et du développement de l’activité et permet d’assurer la pérennité de l’entreprise. Les analystes financiers ainsi que les agences de notation financière sont très sensibles au niveau de cash généré par les entreprises, surtout en période de crise, et les anglo-saxons utilisent d’ailleurs une expression assez représentative de l’importance qu’ils lui accordent : « cash is king ». Pascal Quiry et Yann Le Fur considèrent que l’analyse des flux de trésorerie est « l’alpha de la finance (à moins que ce ne soit l’oméga !) » car elle apporte des informations sur le passé et sur le futur.

http://www.creg.ac-versailles.fr/spip.php?article561  


Des solutions pour gérer un trou de trésorerie ponctuel

Avec la crise, de nombreuses PME font face à une baisse de leur activité ou à des retards de paiement entraînant à terme des problèmes de trésorerie. De la négociation avec son banquier au prêt personnel, des solutions existent pour gérer au mieux le fameux trou de trésorerie.

http://www.chefdentreprise.com/Chef-d-entreprise-Magazine/[...]  


La dématérialisation gagne chaque jour du terrain

La dématérialisation devient un passage obligé pour l’entreprise que ce soit dans ses relations avec l’État, mais également avec ses clients, ses partenaires et ses collaborateurs. Ainsi, l’État oblige à télédéclarer et télépayer la TVA via EDI (Échange de données informatisé) ou EFI (Échange de formulaires informatisé) pour toute entreprise soumise à l’impôt sur les sociétés dès le 1er octobre 2012. Celles non soumises à l’IS et réalisant 80 000 euros de chiffre d’affaires devront s’y mettre un an plus tard. Au 1er octobre 2014, toute entreprise, sans condition de chiffre d’affaires, sera obligée de passer par ce biais dématérialisé pour s’acquitter de cette taxe. Il en va de même pour les déclarations à l’Urssaf, au Pôle emploi, aux caisses de retraites, aux impôts... Par ailleurs, depuis le 1er janvier 2012, l’État est tenu d’accepter les factures, ainsi que les réponses aux appels d’offres publics, remises par voie électronique.

http://www.institut-sage.com/voir/1632  


Pourquoi mettre en place un contrôle de gestion ?

Votre entreprise est en plein développement et vous souhaitez pérenniser sa rentabilité économique ? Anticiper vos orientations stratégiques ? Votre entreprise éprouve des difficultés passagères (économiques, conjoncturelles, organisationnelles) et vous souhaitez les raisons qui en sont la cause ? L'outil le mieux adapté pour répondre à vos questions est le contrôle de gestion. Mais en quoi consiste-t-il ?

http://www.finyear.com/Pourquoi-mettre-en-place-un-contro[...]  


La patience du chef d’entreprise est mise à rude épreuve pour l’obtention d’un crédit

L’obtention d’un crédit n’est pas une mince affaire en ces temps économiques troublés cumulée au durcissement de la réglementation internationale bancaire avec Bâle 3 relatif à l’augmentation de leurs fonds propres face aux prêts. A première vue, le panorama ne soulève pas l’enthousiasme. « Il existe actuellement une pénurie de crédit », affirme David Brault, président et fondateur d’Objectif Cash, cabinet spécialisé en direction financière opérationnelle et management de transition. « Les banquiers nettoient leurs lignes de crédit et proposent leur système d’affacturage en remplacement. Ceci se conjugue à une économie atone qui a pour conséquence une pénurie d’investissements et une baisse de la demande de crédit. Avec la crise et le manque de visibilité des chefs d’entreprise demeurent très prudents. Pour beaucoup le problème est aujourd’hui de survivre. »

http://www.institut-sage.com/voir/1634


Nouvelles règles de décompte des droits à congés payés

Depuis le 1er juin 2012, tout salarié présent à l'effectif de l'entreprise peut prétendre à la prise de ses congés-payés acquis, sans période minimum d'ancienneté requise. Ainsi, l'article L3141-3 du Code du travail accorde 2,5 jours ouvrables par mois de travail effectif, sauf dispositions plus favorables, et précise que la durée totale du congé exigible ne peut excéder 30 jours ouvrables. C'est l'article 50 de la loi du 22 mars 2012 relative à la simplification du droit et à l'allègement des démarches administratives, dite loi Warsmann, qui est venu simplifier les conditions d'ouverture du droit à congés payés. Il met par ailleurs le droit national en conformité avec le droit communautaire, et plus particulièrement l'article 7 de la directive européenne de 2003 concernant certains aspects de l'aménagement du temps de travail, ainsi que la jurisprudence de la CJUE qui estime que l'ouverture du droit au congé annuel payé doit intervenir dès le premier jour travaillé. L'ancienne rédaction de l'article L3141-3 du Code du travail subordonnait jusqu'alors l'ouverture de ces droits au respect d'un certain nombre de conditions, dont une d'ancienneté minimum. Il prévoyait que tout salarié qui justifie avoir travaillé chez le même employeur pendant un temps équivalent à un minimum de 10 jours de travail effectif a droit à un congé de deux jours et demi ouvrables par mois de travail.

http://www.net-iris.fr/veille-juridique/actualite/3013[...]  


APS Le Fournil des amis

Une APS, pour le BTS CGO, qui aborde les processus P1, P4, P5 et P7. Les étudiants sont collaborateurs dans un cabinet qui leur confie le dossier d'un client. Il s'agit d'une SARL ayant pour activité la fabrication et la vente de pain. Le chef d'entreprise souhaite que le cabinet lui confirme sa bonne impression sur le démarrage de l'activité et le conseille sur l'opportunité d'une embauche.

http://crcf.ac-grenoble.fr/index.php?tg=article[...]  


Recouvrement judiciaire, sortir de la quadrature du cercle grâce à la médiation interentreprises

Bien que l’entreprise n’ait pas le choix - au-delà de sa réputation à l’égard de ses débiteurs, et des nécessités de sa trésorerie, recouvrer ses créances est aussi une obligation fiscale - elle éprouve bien des difficultés à se décider à agir judiciairement contre un client, tant la décision parait négative et l’action, aléatoire. On connait le désintérêt de la profession d’avocat pour ce domaine, et les problèmes engendrés par l’efficacité très relative des sociétés de recouvrement amiable, en matière judiciaire, même à l’aide de leurs « réseaux » d’avocats. Il est clair qu’en matière judiciaire, l’idéal est de ne pas en avoir besoin ! C’est un système objectivement très complexe ; si une créance connait tous les rebondissements procéduraux possibles et imaginables, elle subira 9 procédures successives et 66 étapes judiciaires. Le procès pourra se dérouler potentiellement devant 684 juridictions !

http://www.finyear.com/Recouvrement-judiciaire-sortir-de-la-qua[...]  


AlauxSoft Facturation

AlauxSoft Facturation est un logiciel qui dans sa version gratuite permet de faire des devis, des factures, suivre l'évolution du chiffre d'affaires. La version sous licence payante permet quant à elle en plus le suivi des charges, des stocks, des bénéfices.  Ce logiciel se destine avant tout aux Auto-entrepreneurs, entrepreneurs indépendants, et petites entreprises.

http://www.alauxsoft.com/prod07inffr.htm  


Une palette d’outils est disponible pour complémenter la rémunération des collaborateurs

Associée aux salaires, aux primes et aux commissions, il existe d’autres biais pour rémunérer le salarié qu’on peut catégoriser en deux parties : les avantages financiers et en nature. Ces avantages ont pour but d’attirer, de fidéliser et de récompenser les talents sans toujours faire peser le poids des cotisations sociales sur les épaules de l’entreprise et du salarié. Néanmoins, ces types de rémunération restent encadrés par des règles et taxations propres à suivre strictement afin d’éviter tout litige avec le salarié et/ou les administrations fiscales et sociales. Ces rémunérations viennent en complément des incentives.

http://www.institut-sage.com/voir/1635

 

Sur le site du Café

Par stephanegoze , le mercredi 27 juin 2012.

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