Comptabilite Gestion Finance 

 

La régulation de la finance et ses limites

Des banques sous-capitalisées, une grosse prise de risques, un fort aléa moral, une supervision défaillante constituent des facteurs de la crise financière de 2007-2009 qui s’est traduite par des coûts sociaux et fiscaux élevés supportés notamment par l’économie réelle (Thomas MIROW). Par conséquent, la crise financière a remis en cause le postulat d’autorégulation des marchés et a mis en exergue les échecs de la régulation financière antérieure. La régulation micro-prudentielle et la discipline du marché ont montré leurs limites.

D’après la définition du dictionnaire Le Robert (1985), la régulation est le « fait d’agir sur un système complexe et d’en coordonner les actions en vue d’obtenir un fonctionnement correct ou régulier ; processus par lequel un mécanisme ou un organisme se maintient dans un certain équilibre, conserve un régime déterminé ou modifie son fonctionnement de manière à s’adapter aux circonstances. ». En économie, la régulation concerne un marché ou un type de marchés ou l’ensemble du système économique et désigne les mécanismes et les moyens permettant d’en assurer le bon fonctionnement. Pour certains, l’intervention régulatrice des pouvoirs publics ne doit pas nuire au libre jeu des forces du marché et doit favoriser le fonctionnement de la main invisible (Adam SMITH, La richesse des nations). En revanche, pour d’autres, la régulation doit modifier le fonctionnement de certains marchés en fonction d’objectif d’intérêt général. La régulation vise dans ce cas à inciter les acteurs à orienter leurs comportements tout en les laissant libres d’agir dans ce cadre. Les marchés financiers ont pour objectif de faire se rencontrer les besoins des acteurs, par exemple ceux qui cherchent des capitaux et ceux qui souhaitent placer les capitaux dont ils disposent. Les actifs qui s’échangent sur ces marchés sont des actions, des obligations, des crédits à court terme, des devises, des matières premières, etc. Ces actifs peuvent être échangés sous différentes formes : transaction au comptant (spot), à terme (forward), option d’achat ou de vente ou produits dérivés complexes (Rémi BACHELET). L’interrelation entre les intermédiaires financiers entraîne le risque de faillite d’une institution financière qui génère à son tour un effet en chaîne déstabilisant le système financier et l’économie réelle (risque systémique). En parallèle, les marchés financiers se caractérisent intrinsèquement par l’instabilité et non pas par un processus menant vers l’équilibre entre l’offre et la demande. Autant de raisons qui justifient l’intervention des régulateurs afin de garantir l’organisation du fonctionnement des marchés, l’information et la transparence des acteurs et la protection des épargnants.

http://www.creg.ac-versailles.fr/spip.php?article548  

 

20 clés essentielles pour choisir votre prestataire de
solution de dématérialisation de factures clients

Pour les sociétés ayant des difficultés à contrôler leur fond de roulement, l’automatisation du traitement des factures clients constitue une solution rapide. La suppression des processus manuels associés à cette fonction permet aux sociétés : d’éliminer le taux élevé d’erreurs de traitement des factures ; de réduire la lenteur des encaissements, les retards de paiement et les coûts élevés par facture (envoi et archivage) ; de gérer efficacement la création de rapports et les mises à jour de statuts et d’améliorer le service client de façon proactive.

http://www.lemondeinformatique.fr/livre-blanc/guide-20-cles-essentielles-pour-choisir

 

Quelle valeur donner à l’entreprise non-cotée ?

Rapprochement, fusion-acquisition, transmission à l’intérieur du groupe familial : bien souvent des évaluations arbitraires sont établies en ce qui concerne les PME, faute de point de référence pour les professionnels du chiffre. Or, 60 000 entreprises changent de dirigeants chaque année, un phénomène qui devrait prendre de l’ampleur avec les départs en retraite massifs des entrepreneurs dans les années à venir. Le réseau Absoluce et deux spécialistes de l’évaluation, Michel Ternisien et Laure-Marie Neuburger, se sont donc appuyés sur les travaux les plus récents conduits aux Etats Unis, pour publier une étude qui détermine quelle valeur donner aux PME non-cotées par grands secteurs de l’économie française. Ce travail permet désormais de donner un repère fiable, indispensable et permanent aux opérations patrimoniales initiées par les dirigeants.

http://www.cfo-news.com/Quelle-valeur-donner-a-l-entreprise-non-cotee_a22232.html  

 

Comment les banques notent les entreprises

Excellentes ? Bonnes ? Assez bonnes ? Médiocres ? Ou franchement mauvaises ? Quelles notes votre société obtiendra-t-elle auprès de ses banques en 2012 ? Cette question est d'une actualité brûlante si, comme une écrasante majorité des entreprises, vous publiez vos comptes annuels en avril ou en mai. En effet, vos notes bancaires sont recalculées chaque année après la sortie de vos bilans.

http://lentreprise.lexpress.fr/relation-banque-entreprise/comment-les-banques-notent

 

Stéphane est-il une charge ou une ressource pour
Delyce ?

Le salarié ne représente-t-il qu’un coût pour l’organisation ? Comment mesurer l’activité du salarié et ainsi déterminer sa capacité à être une véritable ressource pour l’organisation ? Le salarié n’est-il une ressource que par son activité de production ? Une séquence pédagogique du CRCOM.

http://www.crcom.ac-versailles.fr/spip.php?article723  

 

Les salaires par diplômes comptables en 2011

Les salaires, selon le dernier diplôme comptable obtenu par chaque participant à l'enquête. Il ne sera retenu que les critères où le nombre de réponses aura été suffisant afin d'obtenir une étude représentative de la profession. En effet, pour certains diplômes ou certaines professions, le nombre de participants étant d'un ou deux, l'interprétation qui en découle sera à prendre avec beaucoup de prudence. Autre précision : les participants en contrat autre que CDI, CDD et intérim, à temps complet, ne seront pas retenus. Cela signifie que les contrats d'apprentissage par exemple ne sont pas pris en compte pour l'étude. Mais à la différence de l'enquête 2009, il y a une base qui permettra de faire une comparaison avec les chiffres trouvés avec deux années d'intervalle.

http://www.compta-online.com/les-salaires-par-diplomes-comptables-2011-en15  

  

Faire bon usage de ses moyens de paiement

Carte de paiement, chèque, virement... Au fil du temps, les moyens de paiement se multiplient. Reste que tous ne se valent pas. Chacun d'entre eux garde ses propres spécificités et répond à des situations différentes. Nos conseils pour les utiliser au mieux et échapper aux incidents.

http://www.journaldunet.com/argent/banque/utiliser-ses-moyens-de-paiement  

 

Le DAF face à la gestion de son système
d’informations, je t’aime moi non plus

Depuis maintenant près de 20 ans, toutes les entreprises de l’hexagone se sont équipées et ont renouvelé au moins une fois leur équipement en matière d’informatique de gestion. Le DAF, consommateur patenté de données (donc de solutions de gestion) n’échappe pas à la règle. Il est même l’un des interlocuteurs de l’entreprise les plus sollicités (avec ou derrière le DSI). Il suffit de l’écouter compter ses succès… Et ses déboires en termes de migration de système d’informations pour s’en convaincre ! Et pourtant, cette maturité incontestable du marché acquise au fil de ces 2 dernières décennies ne semble pas contribuer à rendre le Directeur Financier plus serein lorsque se dessine à l’horizon la perspective d’une… migration.

http://www.cfo-news.com/Le-DAF-face-a-la-gestion-de-son-Systeme-d-Informations  

 

Les formes sociales

Un tableau comparatif, sur deux pages, des grandes formes de sociétés (SARL, EURL, SA, SAS, SASU), ainsi que l'entreprise individuelle et l'EIRL. Des explications sur les notions utilisées, les enjeux des choix opérés et leurs conséquences sont fournies. Chaque lien permet d'avoir des précisions en atteignant une page explicative.

http://www.netpme.fr/creation-entreprise/50-tableau-formes-sociales-partie-1.html  

 

La réduction des cotisations patronales

La réduction générale de cotisations dite « Fillon » est accessible à de nombreux employeurs et s’applique aux salaires allant jusqu’à 1,6 Smic. Pour les entreprises de plus de 19 salariés, le montant de la réduction peut atteindre 26 % du salaire brut. Pour les entreprises de 1 à 19 salariés, ce montant est majoré et peut atteindre 28,1 % du salaire brut. La réduction est calculée en fonction de la rémunération brute annuelle du salarié.

http://www.urssaf.fr/images/ref_1841-GuideFillon_janv_2012.pdf  

 

Sur le site du Café
Sur le Web
Par stephanegoze , le dimanche 22 avril 2012.

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